Nous nous sommes embrassés tous ensemble, Edna au centre de notre groupe, profitant une dernière fois pour caresser son corps dessiné pour l’amour. Revenus à la maison, nous avons dormi tous ensemble dans la chambre parentale. Réveil tardif, évidemment. Katia, entièrement nue, près de moi nue également. Roland dormait à poings fermés. À peine je caressais sa jolie poitrine que déjà elle se réveillait. Je profitais pleinement de ce corps voluptueux, ses seins, son ventre, ses cuisses. Sa chatte délicieuse. Elle caressait machinalement la queue de son mari qui l’avait ignorée toute la soirée. Elle ne s’en plaignait pas, elle venait de passer une nuit mémorable avec Idrissa entre autres. Mais, désormais dans son cocon familial, elle souhaitait reprendre une relation plus cohérente avec sa vision des choses. Je l’avais aidée à retrouver sa libido et c’est avec son époux qu’elle voulait faire l’amour maintenant. Elle se plaça à quatre pattes et plongea sur la queue dressée par les caresses. Roland restait inerte mais son corps réagissait favorablement aux caresses buccales. Voyant ce joli cul bouger au rythme de la fellation, je m’approchais par derrière elle et lui offris une feuille de rose.
Elle répondait particulièrement bien à cette caresse, aussi je m’équipais de mon gode ceinture pour la prendre en levrette. Je pénétrais sa chatte déjà trempée et dès que le gode fut bien imbibé, j’investissais son anus frétillant. C’est un plaisir incomparable de pouvoir être femme et baiser comme un homme. Mieux que beaucoup d’hommes, je dois dire. Roland était bien réveillé maintenant, et prêt à accueillir son épouse qui ne se gêna pas pour s’empaler sur le vit dressé. Je me déplaçais derrière elle pour reprendre son cul ouvert. Roland la tenait par les hanches, moi par les seins. Elle criait son plaisir sans discontinuer. Elle jouit plusieurs fois avant que je ne la laisse. Exténuée, elle s’allongea sur le dos. Roland n’avait pas joui encore et se remit entre ses cuisses. Il la pénétra de nouveau mais plus calmement. Il souhaitait faire durer le plaisir. Je remarquais qu’il se tournait parfois vers moi, admirant le gode qui venait d’enculer son épouse. Sans qu’il ne demande, je compris son envie. Mais moi, en avais-je envie ? Pas vraiment mais j’acceptais pour le remercier de m’avoir offert sa femme, et cette soirée. Le gode était encore recouvert de la mouille de son épouse. Son trou du cul était resté ouvert après les nombreuses pénétrations subies. Je rentrais donc très facilement en lui.
Je me calais sur son rythme et donnait un petit coup de rien quand il était au fond de sa femme. Elle se remit à jouir de façon continue, sans voix. Encore une première fois pour moi, ce week-end. Enculer un mec pendant qu’il baisait sa femme. Déjà fait avec mes soumises, mais première fois avec un homme. Rares sont les hommes qui avouent être bisexuels. Étant une femme, je suis persuadée que toutes les femmes ont, ou auront un jour, des pulsions, des envies envers d’autres femmes. Pourquoi ne pas généraliser et dire que les hommes sont eux aussi attirés vers les hommes. Très peu oseront l’avouer et encore moins passeront à l’acte. Peut-être que l’homme, et la femme, naissent homosexuels. C’est la société qui leur explique ensuite ce qui est bien, ou mal. On nous inculque très jeunes, même dans les livres pour enfants, qu’une famille, c’est un papa, une maman et les enfants. Jamais deux papas, ou deux mamans. Bien sûr, il faut un homme et une femme pour faire un enfant. C’est la nature. Mais c’est la société qui a imposé notre style de vie. La plupart l’acceptent, certains refusent et se mettent au ban de la société qui n’admet pas les différences.
Heureusement, cela a tendance à évoluer et c’est très bien. À quand un Walt Disney avec des lesbiennes, ou des gays. Imaginons les sept nains. Sept petits mâles qui vivent en autarcie totale. Pourquoi ne pas imaginer une relation consentie entre l’un, ou l’autre ? Ou bien tous ensembles ? Mais je m’égare un peu. Reprenons le fil de l’histoire. La jouissance de Katia fut décuplée par le fait que j’enculais son mari pendant qu’il la baisait. Moi-même, je ressentis un immense pouvoir quand enfin, il se libéra en elle. Un vrai sentiment de puissance. Je régnais en Maîtresse sur ce lit, dans cette chambre. Après tant de plaisirs, ils se remirent doucement, allongés sur le dos. J’étais restée entre eux deux. Pour finir de me combler, ils se mirent à deux pour m’offrir un orgasme d’anthologie. Katia me bouffait la chatte et le cul parfois, Roland s’occupait exclusivement de ma poitrine. Il me raccompagna à la gare de Lyon-Part-Dieu. Katia était avec nous aussi mais avait pris place devant, près de son homme. Ils devaient récupérer leur fille qui rentrait de son week-end, peu après le départ de mon train. De longues effusions avant de se quitter. Je promis de revenir régulièrement. Roland était complètement d’accord mais nous laissa, Katia et moi, prévoir les visites. Il fallait s’assurer que ni l’une ni l’autre ne soyons indisposées. Et que leur fille ne soit pas présente. Ou alors, il faudrait lui expliquer, lol.
Je peux vous affirmer, chers lectrices et lecteurs, que je tiens toujours les promesses, et celles concernant mon plaisir encore plus. Donc, vous reverrez Katia, Roland, Edna, et quelques surprises. Pour en finir enfin avec ce chapitre, très long chapitre, faisant suite aux renégociations des contrats, je me devais de revoir Luc et Hafid, les deux commerciaux parisiens. Je restais bien évidemment en contact régulièrement avec eux, pour le travail, mais chaque mail, chaque appel réservait une partie plus personnelle. Très souvent, l’un ou l’autre me demandaient quand j’allais me décider à venir les voir, à Paris. Un jour enfin, en parlant avec Luc, il eut la surprise de m’entendre dire :
« Quand voulez-vous que je vienne vous voir. »
Je lui précisais que je tenais à les voir tous les deux ensemble. Pas l’un sans l’autre. Ils devaient tout organiser, de mon arrivée jusqu’à mon départ. Je prévoyais juste mon vol entre Nice et Paris. Il me fit répéter deux fois, tellement il était surpris que j’accède à ses désirs.