Il l’avait menacé de divulguer la sex-tape où on la voyait entièrement nue. Les autres jours, à la cafétéria, il se collait à elle dans la file d’attente. Elle sentait son gros chibre dans son dos, sur ses fesses. Elle trouvait toujours une place unique à une table. Sauf aujourd’hui où elle dû accepter qu’il s’assoit près d’elle. Coincée par le mur, elle avait subi ses attouchements sur ses cuisses, puis entre ses cuisses. Ils étaient seuls à cette table et il faillit accéder à son intimité. Elle avait renversé son verre d’eau dans un geste de défense et plusieurs personnes s’étaient tournées vers eux. Elle en avait profité pour se lever et partir. Fabienne avait reculé son fauteuil, lui laissant la place pour s’agenouiller. Francine s’était glissée sous la jupe longue et avait trouvé une chatte dénudée, mais déjà légèrement humide. Elle sentait si bon, c’était un vrai régal de lécher cette fente délicieuse. Fabienne se laissait emporter par le plaisir que lui procurait cette bouche gourmande. Après avoir joui longuement, elle tira la robe vers le haut, mais sans l’ôter complètement. Elle se mit à jouer avec les gros tétons érigés. Francine ronronnait comme une chatte sous les caresses, et mouillait beaucoup.
Avant qu’elle n’atteigne l’extase, Fabienne la fit se relever, se tourner face au bureau. Elle lui plaça les avant-bras sur le plateau et la tête posée dessus. Entièrement dénudée et à la merci de son bon vouloir. Elle lui fit écarter les jambes puis joua avec son bijou anal. Elle tirait dessus, le faisait bouger de droite à gauche, lui lançant chaque fois des éclairs de jouissance, trop faibles pour la faire décoller mais répétés, de façon rapprochée. De son autre main, elle lui pelotait les seins, l’un après l’autre. Puis, enfin, elle s’occupa de sa fente dégoulinante. Elle lui rentra trois doigts, facilement, tellement elle était lubrifiée. Elle la limait à toute vitesse, l’amenant rapidement à l’extase. Elle la bascula sur son fauteuil et se jeta entre ses cuisses pour y récolter le fruit de son labeur. Elle se régalait de cette mouille odorante et parfumée. Elle réussit à la faire jouir une seconde fois en aspirant son clito. La tête toujours dans mon cou, Francine me donnait encore envie de la satisfaire, et moi avec. Elle est tellement sexy et désirable que je me mets à genoux sur elle, je pose mes lèvres sur son ventre qui frémit instantanément. Je lèche sa peau et remonte lentement vers ses seins. Je veux prendre mon temps, ne pas me précipiter sur ma proie, me faire désirer et surtout l’exciter en trouvant ses points sensibles.
J’embrasse doucement un de ses seins avant de sucer son téton tout rose qui durcit et s’allonge sous les titillements de ma langue. Elle gémit doucement sous ma langue fureteuse et je passe sur le téton gauche pour lui faire de même et l’aspirer avidement entre mes lèvres. Puis mes lèvres redescendent en-dessous de sa poitrine, vers son ventre, et je chatouille son nombril avec la pointe de ma langue. Son souffle s’accélère quand ma langue glisse beaucoup plus bas et s’insinue dans le haut de sa fente. Elle gémit encore tendrement sans dire un mot. Ne pas risquer de briser cet instant magique. On est hors du temps, de l’espace. Je regarde, j’admire sa chatte magnifique, parfaitement rasée, et je glisse ma langue entre ses lèvres humides et d’un goût exquis, la déplace vers le haut sur un petit bouton qui s’échappe de sa protection. Par de doux petits coups de langue je l’aide à sortir de sa cachette tout en me délectant de ses nymphes délicatement plissées. Quand elle commence à roucouler de plaisir sous l’effet de mes caresses buccales et de mes attouchements, je suce délicatement son clito et un spasme lui fait arquer son corps pour presser sa chatte sur ma bouche. Profitant de son abandon total, j’intensifie mes léchouilles et mes succions. J’attrape ses chevilles que je ramène contre ses fesses, faisant ainsi s’écarter ses cuisses au maximum pour déguster sa chatte qui s’offre à moi. Ses mains attrapent ma tête et la presse encore plus fort entre ses cuisses.
Ma main droite trouve sa fente dégoulinante de jus tandis que la gauche commence à malmener ses seins. J’enfonce trois doigts dans son vagin pour la doigter fiévreusement pendant que ma langue et mes lèvres ravagent son clito. Mon autre main serre et pince ses seins, leur donnant chacun le même temps, la même attention. En moins de cinq minutes de ce traitement, Francine se tend et gémit en pleurant sous l’effet de son troisième orgasme. Quand elle se calme un peu, je retire ma tête de ses cuisses et je regarde son beau visage embelli par la jouissance. Elle est sublime, et sereine. Je m’approche de sa bouche et colle mes lèvres sur les siennes, pour lui rouler une pelle, humide à souhait, avec ma langue qui fouille sa bouche comme jamais. Mon corps ondule sur le sien, mes mains caressent sa poitrine, gonflée de plaisir. Ses tétons tous durs roulent sous ma paume. Je redescends entre ses cuisses que j’écarte le plus possible pour admirer sa chatte imberbe, je caresse l’intérieur de ses cuisses, remonte vers l’aine en écartant doucement ses lèvres intimes. Je plonge ma tête entre ses cuisses pour glisser le bout de ma langue dans cette fente pour explorer la chair rose et tendre de son sexe. Instinctivement, elle veut resserrer ses cuisses mais je l’en empêche. Ma langue remonte entre ses lèvres de chatte, effleure le capuchon de son clito et lèche doucement le pourtour de sa chatte joliment bombée. Je fais plusieurs fois le tour et mon souffle chaud caresse sa peau sensible. J’insiste un peu sur le renflement qui cache son clito. Le bourgeon s’ouvre à nouveau sous ma bouche et je pose un tendre baiser dessus lorsqu’il apparaît enfin. Je n’insiste pas et descends plus bas sur sa rosace brune que je caresse du bout de ma langue. Surprise un peu, elle se crispe et, quand je remonte ma langue vers le bas de son sexe maintenant entrouvert, elle se relâche totalement. J’en profite, en écartant bien ses fesses, pour redescendre plus bas et pousser le bout de ma langue dans son anus qui s’est distendu.