Je n’ai pas encore évoqué mes vacances de cet été-là. Après une semaine prise en Juillet pour être totalement disponible pour Céliane, ma nièce, j’avais posé une autre semaine au mois d’Août. Je n’avais absolument rien prévu à l’avance pour cette semaine et ce sont mes week-ends précédents qui m’ont permis d’être invitée chez Fanny et Joël. J’arrivais donc chez eux en fin d’après-midi et Justine, leur jeune apprentie, me montra où déposer mon sac, sans réveiller Joël qui dormait encore un peu. Il y avait un peu de monde à la boutique et je laissais la jeune fille retourner auprès de sa patronne. J’ai simplement pris mes affaires de toilettes et une serviette pour aller prendre une douche au camping. Vu qu’ils m’avaient déjà vue avec Jérôme et Ingrid, j’ai pu entrer sans problème. Je ne connaissais personne en particulier, mis à part mon frère et sa famille. Je fis donc un peu surprise de voir une femme, que je ne connaissais pas du tout, qui me fixait intensément. Elle semblait me connaitre, ou me reconnaître. Moi, j’étais certaine de ne pas savoir qui elle était. J’ai remarqué qu’elle me suivait vers l’espace douches, sans pour autant m’aborder. Je n’avais rien à craindre d’elle mais j’étais tout de même curieuse. Je me suis tournée avant d’entrer dans la cabine et j’ai vu qu’elle avait été abordée par un couple d’anglais qui la nommait : Marie-Rose (meyri-rrooze, avec l’accent britannique). Je ne m’en occupais plus du tout car Céliane, qui m’avait aperçue de loin, venait de se faufiler dans ma cabine. Je refermais la porte pour dire bonjour à ma nièce. Elle commençait à caresser mes seins lorsque quelqu’un frappa à la porte. J’ouvris sur la femme qui me suivait depuis tout à l’heure.
« Je sais quelles cochonneries vous faîtes dans les douches. C’est intolérable. »
Puis, elle se déchaina en apercevant Céliane.
« Et en plus, avec des enfants. Vous êtes vraiment une perverse de la pire espèce. »
Elle aurait certainement continué si Céliane ne l’avait pas attrapée par le haut de sa robe pour la faire entrer dans la cabine. Elle portait une robe de plage, dans un tissu très léger, le haut était élastiqué et il était évident qu’elle ne portait rien dessous. Pas de soutien-gorge. Aussi, quand Céliane l’agrippa, elle retint sa robe et entra rapidement dans la cabine. Céliane referma à clé, derrière elle. Elle s’était de nouveau tournée vers moi et s’apprêtait à m’insulter encore un peu quand Céliane attrapa de nouveau sa robe et la baissa jusqu’à la taille. Elle n’avait rien vu venir, pensant que c’était moi la perverse et que Céliane était une de mes proies. Elle se tourna vers ma nièce pour lui expliquer qu’elle venait la sauver de mes griffes. Mais Céliane avait déjà posé ses petites mains sur les seins offerts devant ses yeux. Je pris aussitôt les mains de cette furie pour éviter qu’elle repousse Céliane trop violemment.
« Mais non, qu’est-ce que vous faîtes, mademoiselle ? »
Céliane avait gobé l’un de ses tétons et elle tétait avidement cette généreuse poitrine. Son autre main caressait le sein libre. La femme allait encore protester lorsque je posais délicatement mes lèvres sur les siennes. Juste un peu réticente au début, elle finit par se lâcher totalement et se laissa emporter par les tourbillons de plaisir que nous faisions naître en elle. Je n’avais même plus besoin de tenir ses mains, elle en avait posé une derrière la nuque de Céliane et accompagnait la tétée. Sa robe était restée accrochée à ses fesses. Mais un simple mouvement et la voilà au sol. Elle résista un peu plus lorsque Céliane commença à baisser sa culotte mais elle n’avait déjà plus la force pour empêcher cette toute jeune femme de la mettre nue. Ce n’était certainement pas ce qu’elle avait prévu en me suivant. Mais plutôt l’inverse. Je crois, elle me le confirma plus tard, qu’elle voulait m’effrayer, me menacer des pires sanctions, puis elle aurait profité de mon corps, impunément. Je l’aurais laissée faire tout ce qu’elle voulait, pourvu que l’on évite le scandale. Au final, c’était elle la proie mais je suis certaine qu’elle en tirait autant de plaisir que son scénario initial. Céliane avait obtenu ce qu’elle voulait et elle pouvait la doigter à sa guise. Ce fut très vite quatre doigts qui allaient et venaient en elle. J’avais baissé la tête pour embrasser ses seins, lui sucer les tétons bien durs. Elle ne se défendait plus du tout et je crois bien qu’elle a failli s’évanouir au moment de l’orgasme. Elle était belle, haletante, les yeux brillants de reconnaissance. Je ramassais sa robe, toujours au sol, pour l’accrocher à la patère. Puis, je me déshabillais rapidement pour l’amener sous le jet de la douche. Céliane prit le temps de se dévêtir elle aussi avant de nous rejoindre. Marie-Rose n’osait pas toucher la jeune femme qui l’avait pourtant si bien faite jouir. Elle se tourna vers moi pour poser ses mains sur mes hanches, mon ventre, mes seins. Elle commençait à agir comme la Maîtresse en jouant avec mon corps. Et j’adorais ça.
Mais elle se jeta littéralement dans mes bras lorsque Céliane commença à s’attaquer à son cul. Deux bonnes claques retentissantes, puis ses petits doigts qui s’immiscèrent entre les deux lobes. Dans son anus. Un doigt, puis deux. C’était la première fois que quelqu’un s’intéressait à cette partie de son anatomie et elle en éprouvait une honte indescriptible. Mais le plaisir vint rapidement inhiber toutes ses réticences et elle s’abandonna totalement à la caresse prodiguée. J’avais glissé ma main devant pour la doigter en même temps que Céliane l’enculait. Elle me regardait, bouche ouverte, cherchant son souffle. Quand Céliane pinça violemment l’un de ses tétons, elle partit immédiatement dans un délire orgasmique très puissant qui là, lui fit réellement perdre connaissance. C’est moi qui l’ai maintenue debout, quand ses jambes arrêtèrent de la supporter. Adossée à la paroi de faïence, je m’accroupis légèrement, écartant ses cuisses au maximum. Céliane ouvrit de grands yeux de ce spectacle et reprit possession de cette chatte offerte. Trois doigts, quatre. Le cinquième ?