Immersion totale (08/11)

Je savais que Giacomo était absent, mais les caméras qui surveillaient l’accès à son bureau devaient fonctionner en permanence. Et enregistrer, au cas où, une présence indésirable se manifesterait. J’allais donc me promener dans ce couloir et, étant certaine d’être seule, je soulevais mon tee-shirt pour lui montrer combien je pensais à lui, malgré son absence. Intérieurement, j’espérais qu’il avait installé l’appli sur son téléphone et qu’il visionnerait mon exhibition en temps réel. Je suis retournée plusieurs par jour dans ce couloir, poussant l’audace jusqu’à soulever ma jupe et baisser ma culotte pour lui exposer mon cul. J’étais tremblante d’excitation en revenant de mes petites incartades, et Vanessa sembla se rendre compte de quelque chose. Elle ne pouvait deviner la raison, évidemment, mais elle devint suspicieuse.  Plusieurs fois, je la retrouvais dans les couloirs en revenant de mon petit couloir. Je suis devenue un peu plus prudente ce mercredi, ne pouvant pas être découverte, avant d’avoir revu mon prince charmant. L’attente jusqu’au jeudi fut vraiment interminable. J’avais néanmoins préparé une nouvelle surprise à Giacomo. En secret, chez moi, j’avais visionné des tas de vidéos sur le sujet qui m’importait et je pensais être prête pour la surprise que je lui réservais. C’est donc fièrement rassurée que je me présentais devant sa porte, le jeudi vers dix heures du matin, après avoir vu Vanessa disparaitre dans un bureau, à l’opposé. Comme prévu, la porte s’ouvrit par miracle devant moi, sans que j’aie à demander. Giacomo était bien là, derrière son bureau et souriait de mon audace. Il avait bien vu, et revu, les enregistrements de caméras sur son portable. Il en avait d’ailleurs fait un petit montage vidéo qu’il se proposa de me montrer. J’étais debout, coincée entre ses genoux écartés, face à l’écran de son ordinateur. Il lança la vidéo devant mes yeux écarquillés. Je n’imaginais pas que la résolution serait aussi parfaite. J’en tremblais d’excitation en voyant cette jeune fille impudique qui s’exhibait devant la caméra. Il posa ses mains sur mes hanches, releva ma jupe derrière avant de me faire asseoir sur ses genoux, sur son sexe déjà bien développé. Il bandait pour moi, j’en étais certaine, et je me voyais presque arriver à mes fins. À savoir, devenir femme grâce à lui. Je le sentais durcir contre mes fesses. Volontairement, je me frottais insidieusement sur sa queue que j’imaginais très belle, comme celles que j’avais pu voir sur Internet.

Il se laissait faire, je devais donc prendre moi-même les initiatives. Je me levais à regret et me tournais aussitôt vers lui. Lui adressant un regard carnassier, comme j’avais vu d’autres filles le faire, je m’accroupis devant lui, caressant la bosse que formait le devant de son pantalon. Je réussis à baisser le zip, entièrement et à sortir un beau morceau de chair de son boxer. Il me souriait toujours, connaissant mon inexpérience. Il voulait voir jusqu’où j’étais capable d’aller. Moi, je le savais où je voulais aller. Où j’espérais recevoir cette queue splendide que je tenais difficilement entre mes doigts. J’avais commencé, je devais aller jusqu’au bout de mon projet. Alors, fièrement, je sortais timidement la langue de ma bouche pour toucher enfin à son sexe, bien bandé. C’était ma toute première fellation, ma première pipe. Rien que de dire, (d’écrire) ce mot, je ressens encore des papillons dans mon ventre, et mon cerveau s’emballe. J’avais vu énormément de vidéos et je crois que j’ai parfaitement réalisé mon challenge. Quand il s’est enfin répandu en moi, remplissant ma gorge, je me sentais femme comme s’il venait de me dépuceler. J’espérais une suite, bien logique, à notre emballement mais un visiteur inattendu se présenta à la porte de bois. Je dus me rhabiller vite fait, et sortir en laissant entre son visiteur. J’avais un dossier à la main, donné par Giacomo, qui prétextera sûrement que j’étais une stagiaire, venue prendre des notes. Il n’était pas question de revenir le voir dans l’après-midi, j’étais sous la surveillance constante d’une Vanessa plus enquêtrice que jamais. Il me restait une journée, une seule, pour réussir à convaincre Giacomo de faire de moi une femme. Enfin. Pour arriver à mes fins, je devais mettre toutes les chances de mon côté. Je choisis soigneusement les vêtements que je porterais, le lendemain. Ce vendredi, c’était MON jour, ma dernière chance. C’est ainsi que je le voyais du haut de mes presque seize ans. J’arrivais toujours à la même heure pour ce dernier jour, plus déterminée que jamais. Six étages à monter par l’escalier, je dépose mon manteau et mes affaires dans la salle de convivialité. Pour mon dernier jour, j’avais amené des petites viennoiseries pour mes collègues. À leur arrivée, un peu plus tard, elles furent très touchées de cette gentille attention. Ce furent leurs propres mots. Moi, je n’avais qu’un seul objectif et je m’y tenais ardemment.

Je m’éclipsais discrètement vers dix heures du matin, direction le bureau de Giacomo. Je fis très attention de ne pas être suivie. Vanessa était en salle de convivialité avec les autres et j’avais prétexté devoir aller aux toilettes. Un peu de marche, puis ce petit couloir où la moquette étouffait mes pas. J’aperçus le voyant rouge de la caméra qui s’allumait comme j’approchais. Un déclic et la porte s’ouvrit en silence, comme par miracle. C’était sûr et certain, j’étais attendue. Je m’avançais fièrement jusqu’au bureau de mon prince charmant. Il était toujours aussi beau, aussi mystérieux. Il avait une telle aura que cela faisait de lui un être exceptionnel. Envoutant comme le diable en personne. Mais un gentil diable. Arrivée tout près de lui, j’ôtais directement mon maillot et la brassière que je portais dessous. J’étais venue pour m’offrir à lui et c’était exactement ce que je faisais. Il m’observa un moment avant d’oser poser ses mains sur moi, sur ma taille. Il me fit faire un pas en avant et sa bouche entra en action sur mes tétons. Sa langue était divine, ses caresses buccales me transportaient hors de mon corps. J’étais si bien dans ses bras. Et j’attendais le moment où il découvrirait la surprise que je lui avais préparée.

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