Il eut la surprise en ouvrant le second carton. Des petites culottes affriolantes, en dentelle, en satin. De toutes formes, de toutes couleurs. Il commença à les ranger avec précaution. Il y en avait vraiment beaucoup. Et, de toucher ces sous-vêtements, cela l’excitait au plus haut point. Dans le dernier tiroir, il rangea les soutiens-gorge, les corsets et autres vêtements dont il ignorait le nom. Tout attentionné à ce qu’il faisait, il n’avait pas vu Mirabelle tout près de lui. Elle le félicita pour la façon qu’il avait de ranger ses petites affaires, en en prenant grand soin. C’est à ce moment-là qu’elle remarqua que cela n’était pas sans effet sur le jeune homme. Sans le lui demander, elle s’accroupit face à lui avant de baisser son short. Le slip maintenait difficilement le sexe, au bord de l’explosion. Elle le baissa à son tour et la queue jaillit, comme un petit diable hors de sa boite. Quand je dis « petit diable », c’est uniquement pour l’image car Dany était bien pourvu par la nature. Il craignait par-dessus tout d’éjaculer trop rapidement, comme la veille. Aussi, il se retint le plus possible. Mirabelle caressait sa queue, il n’osait même pas la regarder. Quand soudain, il fut englouti presque tout entier par une bouche humide, et gourmande. Mirabelle maintenait son érection au summum, serrant la base lorsqu’elle le sentait proche de la fin. Elle le suça un long moment avant de le laisser venir en elle. Il tressaillait, il voulut la prévenir. Mais elle savait pertinemment ce qui allait arriver et elle en était ravie. Et Dany était comblé, lui aussi. C’était terminé pour la chambre. Restait principalement la grande salle et la cuisine. Les cartons furent vidés, leurs contenus rangés au fur et à mesure dans le courant de l’après-midi. Ce n’est que vers seize heures que Mirabelle décida de la pause, de nouveau sur le canapé. Il attendit patiemment qu’elle lui propose la suite du programme. Ils restèrent à discuter un moment. Puis, Mirabelle lui demanda s’il connaissait un bon garagiste où mettre sa voiture en réparation. Elle avait déjà effectué des réparations dans un petit garage mais elle pensait s’être fait rouler par le patron. Ce n’est qu’à ce moment que Dany lui apprit que sa mère, Océane, travaillait dans le meilleur garage de la ville. Il suffisait de l’appeler et ils pourraient sans doute y aller aussitôt. Ce qu’il fit aussitôt.
Il appela sa mère et passa son téléphone à Mirabelle qui expliqua son souci. Renseignements pris auprès du chef de l’atelier, la voiture pouvait être prise en charge dès ce soir, pour une réparation dans la journée du lendemain. Mirabelle la remercia et elle lui dit qu’elle arrivait, dès qu’elle serait prête. Elle rendit ensuite son téléphone à Dany et se dirigea vers la salle de bain. Au moment de refermer la porte, elle se tourna vers lui.
« Tu veux rester là ? »
Comme la veille, ils prirent leur douche ensemble. Il résista plus longtemps à la caresse et il put de nouveau téter les deux seins de Mirabelle. Mais il fallait faire vite, tout de même. Il se rhabilla seul, tandis que Mirabelle se rendait dans sa chambre, entièrement nue. Elle était vraiment splendide à se promener ainsi, dans le plus simple appareil. Elle ressortit de sa chambre, habillée d’une robe et de collants noirs. Ils prirent la voiture et Dany la guida jusqu’au garage où travaillait sa mère. C’était la première fois que les deux femmes se rencontraient. Mirabelle la première la remercia pour tout ce qu’elle faisait pour elle, et sa voiture. Océane la remercia à son tour de s’occuper de son grand garnement, lorsqu’elle n’était pas là. Elles se mirent à rire toutes les deux, comme si elles étaient amies de longue date. Le courant passa immédiatement entre les deux femmes, réunies autour de Dany, heureux de les voir aussi complices. Mirabelle expliqua au chef d’atelier la raison de sa venue. Dany resta près de sa mère qui se félicitait d’avoir un garçon aussi serviable. Bien sûr qu’elle aussi aurait aidé sa voisine, si elle avait été disponible. Mais c’était Dany qui s’était proposé et, semble-t-il, avait fait une grande et bonne impression sur la nouvelle propriétaire. Elle était vraiment gaie en revenant vers ses nouveaux amis. Océane demanda à partir un peu plus tôt, c’était presque l’heure de la débauche pour elle. Tous les trois prirent la direction de la voiture de la famille et Océane prit place derrière le volant. Mirabelle s’installa évidemment à ses côtés et Dany prit place derrière sa mère. Retour vers la maison. Océane parlait sans cesse, faisant observer à Mirabelle ici un château, là-bas un pont ouvragé. Elle était très en verve et Mirabelle attentive à tout ce qu’elle disait se tournait à droite, à gauche, glissant ici ou là un commentaire avisé. Puis, soudainement, Océane ne dit plus rien.
Il fallut plusieurs minutes à Dany pour se rendre compte du silence pesant qui régnait désormais dans l’habitacle. Il observa sa mère, elle semblait perturbée, elle qui pourtant n’était jamais avare de réflexions lorsque quelqu’un, ou quelque chose, la dérangeait. Derrière elle, Dany observait ses regards, qu’elle portait très souvent vers les pieds de sa voisine. Non, pas ses pieds, mais ses cuisses. À force de remuer de droite et de gauche, la robe était remontée très haut et dévoilait … La peau nue au-dessus des bas noirs. C’était uniquement ce que voyait Dany, de sa position. S’il avait été à la place de sa mère, c’est la petite culotte qu’il aurait pu apercevoir. Mirabelle semblait totalement indifférente, comme si dévoiler sa nudité, ou presque, ne la dérangeait nullement. Quand Océane dût passer des vitesses, pour décélérer, sa main tremblait, si proche des cuisses ouvertes de sa voisine. Dany était encore jeune et loin d’être expert mais il pouvait comparer avec ce qu’il avait déjà vécu, la veille. Même si elle se dévoilait, Mirabelle devait certainement savoir que sa voisine la regardait avec un intérêt particulier. Comme elle l’avait fait avec le fils, elle en montrait plus que n’importe qui ne l’aurait fait, en pareille situation.