Immersion totale (09/11)

Sous ma longue jupe de gitane, je n’avais rien du tout. Ses mains glissèrent doucement de ma taille vers mes fesses. J’étais habituée, et c’est exactement ce que je voulais, ce que j’attendais. Je sentis très vite un petit moment de surprise. Ses mains inquisitrices, par-dessus ma jupe, semblaient chercher ce qu’elles ne trouvaient pas. Très rapidement, il releva le tissu de la longue jupe pour caresser directement la peau de mes cuisses. De mes fesses. Qu’il découvrit totalement nues. J’avais réussi ma surprise et lui-même leva la tête vers moi, étonné par mon audace. Il me retourna, face à son bureau et souleva ma jupe jusqu’à ma taille pour voir de ses yeux mon petit cul. Il était littéralement en admiration devant le spectacle que je lui offrais. Un très léger bip se fit entendre, et une led s’alluma sur son téléphone fixe, posé sur le bureau. Sans rabaisser ma jupe, il me fit asseoir sur ses genoux et alluma l’écran de son ordinateur. Je vis apparaitre le couloir et une personne qui s’approchait de la porte en bois. Je découvrais avec horreur que Vanessa avait trouvé où je passais une bonne partie de mon temps, quand je n’étais pas avec elle. Giacomo semblait interloqué, il ne connaissait pas cette personne et il n’attendait personne, ce matin-là. Il me demanda alors.

« Tu la connais ? C’est toi qu’elle cherche ?  »

Aux deux questions, je dus répondre Oui. Sans me prévenir, il actionna un bouton, sous son bureau, et la lourde porte s’ouvrit en silence devant une Vanessa plus que surprise. Elle fut encore plus étonnée de me trouver assise sur les genoux d’un homme, alors que j’étais torse nu. Elle m’avait déjà vue ainsi, la veille, dans le bureau de Bérénice. Elle resta là, sans voix, tandis que la lourde porte se refermait toute seule. C’était donc à moi de faire les présentations.

« Vanessa, je te présente Giacomo.  »

« Giacomo. Voici Vanessa, une collègue avec qui je m’entends super bien.  »

Elle regardait mon visage, ou bien mon buste, puis le visage de mon prince charmant. Elle aussi semblait prête à tomber sous son charme. Je lui fis signe de s’approcher, ce qu’elle fit, telle une automate. Quand elle fut assez près, je pris sa main que je posais sur l’un de mes seins. Elle ne refusa nullement le contact, appréciant particulièrement ma peau douce et parfumée. Son autre main vint se placer automatiquement sur l’autre sein qu’elle caressa aussi tendrement que l’autre. Je m’appuyais contre le torse de Giacomo et, dans le même temps, j’approchais sa bouche de ma poitrine. Elle résista faiblement, mais succomba rapidement à l’envie de me lécher, de me sucer. D’aspirer dans sa bouche les tétons que je lui offrais. Giacomo observait ce qui se passait avec un intérêt certain. Tous les hommes, je crois, rêvent de voir deux femmes ensemble, avant de faire l’amour avec elles. Je sentais son sexe qui grossissait à vue d’œil contre mes fesses nues. J’étais au centre de toutes leurs attentions et je me sentais libérée d’un grand poids. Ma meilleure amie, ici, venait de rencontrer mon amant. L’était-il vraiment ? Pour moi, oui. Et je savais comment je pouvais faire fondre entièrement cette amie intime. J’attrapais sa main libre que je posais sur ma cuisse, sous le tissu de ma jupe. Elle remonta doucement vers l’intérieur de mes cuisses, le plus haut possible. Elle aussi sembla très étonnée de ne trouver aucun tissu pour protéger mon intimité. La surprise, que j’avais préparée pour mon prince charmant, avait eu un double effet. Je savais que Vanessa appréciait quand Bérénice la doigtait. J’ignorais alors si elle aussi lui prodiguait les mêmes caresses. À Bérénice ou bien à d’autres femmes. Elle semblait hésitante, tremblante. Je la repoussais gentiment afin de pouvoir me lever, tout en maintenant ma jupe autour de ma taille. Je lui présentais mon petit cul, avant de m’asseoir sur le plateau en bois du bureau. J’attirais de nouveau sa tête vers moi, mais je la dirigeais directement entre mes cuisses, écartées et dénudées.

Vanessa leva les yeux vers moi, son regard semblait me supplier. Puis, aussitôt après, l’expression changea et je devinais qu’elle me remerciait de lui offrir ce cadeau. Et elle plongea généreusement entre mes cuisses et m’offrit un merveilleux cunni. Je pensais bien que ce spectacle insolite ne pouvait laisser mon « Giacomo » complètement indifférent. Il posa une main sur le cul offert aux caresses de Vanessa. Aucun refus de sa part, juste une douce invitation à recommencer, à continuer. À aller plus loin. Je le vis hésiter un moment entre glisser les mains sous sa jupe ou bien la baisser directement. Elle portait une jupe, élastiquée à la taille, et il choisit la seconde option. J’ai enfin pu revoir son petit cul, libre de tout vêtement. Le string qu’elle portait ne me cachait rien de ses fesses appétissantes. J’ai bien vu qu’elle avait levé l’un de ses pieds pour se libérer du vêtement encombrant. Elle acceptait les caresses de mon prince. Je savais comment cela allait inévitablement dégénérer. Il allait certainement lui faire l’amour, là, devant moi. Je n’étais nullement jalouse, ils avaient sensiblement le même âge et il correspondait en tous points à l’idéal féminin. Qu’il lui fasse l’amour, soit. Mais que ce soit mon tour juste après. C’était tout ce que je désirais, là, maintenant. Vanessa continuait de me faire du bien avec sa bouche, tandis que mon prince caressait ses fesses, presque nues. Ce fut le cas, réellement, quelques minutes plus tard lorsqu’il descendit son cache sexe. Son sexe à lui n’avait pas perdu de sa superbe. Il bandait très fort et je savais que le moment où il allait la prendre allait arriver. Il me jeta un regard désolé, je lui répondis de la même façon que j’acceptais la situation. Il sembla très soulagé d’avoir obtenu mon autorisation tacite. Il se leva derrière Vanessa, baissa son pantalon avant de l’enfiler d’une traite. La progression fut lente et progressive mais il ne s’arrêta qu’une fois, bien au fond de sa vulve. Je savais déjà qu’avec moi, il prendrait d’infinies précautions pour ne pas me blesser.

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