Je savais ce dont elle avait envie et, vu que Marie-Rose ne disait rien, c’est la main toute entière qui s’engouffra en elle. Elle ne reprit vraiment connaissance que lorsque les doigts de Céliane commencèrent à bouger en elle. Pour de nouvelles sensations encore jamais inégalées. Dans cette position, je ne pouvais m’occuper que de sa voluptueuse poitrine et cela me suffisait amplement. Son orgasme fut encore plus puissant que le précédent. Elle eut la force de tourner la tête vers moi pour un long baiser passionné qui dura jusqu’à ce qu’elle reprenne vie. Tout le monde se releva et nous avons pu nous laver mutuellement les unes les autres. Je forçais les mains de Marie-Rose à se poser sur la jeune poitrine de Céliane. Elle garda ses mains en place quand je les lâchais. Elle n’osa pas se diriger plus bas, mais Céliane prit sa main pour la positionner entre ses cuisses et la femme accepta de caresser celle qui l’avait si bien faite jouir. Une fois sorties de la cabine de douche, Céliane retourna auprès de ses parents et je suivais Marie-Rose jusqu’à son mobil-home. Elle avait vraiment besoin de parler, de contact social. Elle me raconta qu’elle connaissait bien les gens qui venaient régulièrement dans ce camping. Et leurs petits secrets, parfois. En arrivant près de son mobil-home, elle me désigna une femme qui prenait l’apéro devant son chalet avec son mari. Elle me précisa que cette femme qui semblait parfaitement heureuse en ménage, profitait des sorties en mer de son époux pour aller se faire sauter par le maitre-nageur du camping. Et, justement, le mari préparait tout son matériel pour une nouvelle sortie en mer, le dimanche matin. Comme nous passions tout près, nous les avons salués et nous avons vu arriver leur fille de 16 ans, Josiane, très entourée par une bande de garçons de son âge. Ils semblaient tous être très attirés par les formes généreuses de la jeune fille qui ne cachait presque rien sous son micro bikini. Même son père nous fit un signe qui voulait dire.
« Houlala ! Quelle bombe ! »
La maman, elle, ne sembla même pas la voir, occupée qu’elle était à discuter avec nous. Le mobil-home de Marie-Rose était pratiquement en face de leur chalet. Elle m’a proposée une boisson fraîche avant de s’asseoir près de moi sur la banquette, qui faisait lit, à l’occasion. Elle avait énormément envie de parler, de se raconter, et je l’écoutais me parler de sa vie. De son fils, qui avait quitté la maison dès l’âge adulte. Il n’était presque plus revenu, jusqu’au décès de son père. Et elle ne l’avait plus revu ensuite à la maison. Elle me parlait de sa vie de femme, seule et moi, j’avais toujours les yeux fixés sur le haut de sa robe, sur sa poitrine qui se gonflait quand elle respirait. Elle n’eut aucune réaction lorsque je la baissais de nouveau pour voir apparaître ses seins fabuleux. Ses yeux me suppliaient presque de lui donner encore beaucoup de plaisir. Je posais gentiment sa tête sur mon épaule et mes mains prirent possession de sa merveilleuse poitrine. Elle était bien dans mes bras et elle continuait de me raconter sa vie. Elle était allée plusieurs fois rendre visite à son fils, mais il avait déménagé un jour, sans lui laisser sa nouvelle adresse. Depuis, il l’appelait de façon sporadique, au Nouvel An et à son anniversaire, quand il n’oubliait pas la date. C’était principalement pour lui dire qu’il était toujours en vie et que tout allait bien pour lui.
Au fond d’elle-même, elle savait très bien qu’il ne lui avouerait pas s’il avait un problème de santé, ou autre. Elle attendait donc impatiemment ces deux dates, le 11 Septembre pour son anniversaire et le 1er Janvier. Jusqu’au jour où il n’y aura aucun appel. Elle resta très longtemps silencieuse après cette dernière phrase. C’est en me parlant qu’elle avait mis le doigt sur ses angoisses les plus profondément enfouies en elle. Ne plus avoir de nouvelles de son fils et donc, de se retrouver seule au monde. Elle sembla se réveiller au bout d’un moment, en même temps que son corps, ses tétons, qui commençaient à durcir. Elle leva ses yeux vers moi, tendit ses lèvres à la rencontre des miennes et elle attrapa ma main droite pour la glisser entre ses cuisses qu’elle ouvrait complaisamment. J’ai relevé sa robe longue pour entrer ma main sous le tissu de sa culotte et nous nous sommes embrassées comme des collégiennes qui découvraient de nouvelles sensations. Elle a joui intensément dans mes doigts, alors que ma langue jouait toujours avec la sienne. C’est un véritable bonheur de faire jouir une femme qui n’a la chance de pouvoir le faire très souvent. Les masturbations solitaires ne font que baisser la pression qui nous oppresse en cas de manque. Marie-Rose reprit là où elle s’était arrêtée. Elle ne comprenait pas pourquoi son fils unique la dédaignait à ce point-là. Elle avait toujours été une mère attentionnée, sans doute un peu trop à son goût à lui. Je n’avais malheureusement pas de réponse à lui apporter pour la consoler. Tout ce que je pouvais lui affirmer, c’est que, désormais, elle ne serait plus seule, tant que nous resterions amies. Elle me scruta profondément, pour être certaine que je ne disais pas cela uniquement pour la réconforter. Assurée de mon amitié, elle se dégagea de mes bras et s’allongea sur la banquette. Je me glissais entre ses cuisses qu’elle écartait au maximum pour atteindre sa culotte trempée. Je la lui retirais et replongeais entre ses cuisses pour un cunnilingus mémorable. Dans cette position, je pouvais aussi jouer avec son trou du cul et cela la fit réagir comme je le pressentais. Elle était prête à TOUS les plaisirs. Elle a joui de nouveau, presqu’à perdre connaissance. C’est vraiment très beau, une femme comblée après l’amour. Elle mit un peu plus de temps pour s’en remettre, cette fois-ci. Je me levais car je devais la laisser, et rejoindre mes amis. Mais, avant que je ne parte, elle me serra de nouveau dans ses bras et elle m’embrassa tendrement.