Je la sens frissonner. De plaisir. Je retourne vers sa chatte si délicieuse et cette fois, ma langue plonge profondément entre ses lèvres intimes que j’explore en frétillant de la langue, tout en caressant sa rosace brune du bout de mes pouces. Après une longue série de coups de langue très profondément, je monte jusqu’à son clito que j’emprisonne de mes lèvres. Elle écarte encore plus les jambes et ses mains écrasent ma bouche sur son sexe. Le pouce de ma main droite abandonne son petit trou pour glisser dans son sexe tout chaud, tout en continuant de sucer son joli et long clito. Je fais tourbillonner ma langue autour de son clito qui s’allonge encore et je le reprends en bouche pour l’aspirer tout en tirant ma tête en arrière comme pour l’étirer plus encore. Je retire mon pouce pour le remplacer par mon index et mon majeur accolé pour mieux sentir sa chatte maintenant très humide et chercher le point le plus sensible. Elle s’offre encore plus à moi et un autre doigt vient remplir son sexe. Elle commence à trembler, prête à jouir. Ma bouche et mes mains martyrisent son sexe. Je repousse encore ses cuisses et, d’elle-même, elle saisit ses jambes sous les genoux pour m’offrir totalement sa chatte palpitante. Je masse le pourtour de son clito et je frotte à l’intérieur de son vagin en insistant juste en-dessous de son clito pour sentir son prolongement dans ses chairs. Ma langue tapote plus rapidement son clito tout dur tandis que mon doigt s’enfonce dans son cul pour prendre en pince la fine cloison qui sépare ses deux trous d’amour. Je lui branle son petit cul si étroit jusqu’à ce que je le sente bien se dilater avant de le ressortir pour y ajouter mon index. Mon pouce et mes doigts vont et viennent dans sa chatte et son trou du cul. Quand je sens son anus palpiter, je mords très légèrement son clito et j’enfonce mes doigts le plus loin possible.
Et la belle Francine jouit en gueulant et en écrasant ma bouche à m’étouffer. Après l’avoir faite jouir quatre fois, je prends mon gode ceinture dans mon sac et le lui présente. Elle baisse les yeux en se souvenant de la dernière fois que je l’avais baisée avec. Puis, elle réagit, le prend de mes mains et commence à sucer l’excroissance interne qui me fera jouir pendant que je la limerais. Quand elle l’a bien lubrifié avec sa salive, elle m’enfile la ceinture avant de se mettre en position. Bras en croix, cuisses écartées au maximum. J’aime la prendre ainsi car je peux voir dans ses yeux tout le bonheur que je lui donne. Je peux également embrasser ses tétons durs comme la pierre. Malgré qu’ils soient gros, ses seins restent en forme, sans s’écraser sous leur poids, ou si peu. Elle se donne totalement, sans rien cacher de ses émotions. Elle est à moi, complètement soumise. Pour jouer avec elle, avec ses émotions, je glisse le bout du gode sur ses lèvres humides, sur son clito. Elle reste en attente d’une pénétration qui la comblerait de joie. Elle tente malgré tout de s’empaler elle-même sur la queue en latex mais je me retire, la frustrant sans cesse. Puis, au moment où elle ne s’y attend plus, je m’enfonce en elle presqu’à fond. Elle rugit de plaisir, et de surprise. Elle croise ses jambes dans mon dos pour que je la prenne entièrement. Et je viens enfin taper sur son col de l’utérus. Doucement, je me retire pour aussitôt la reprendre de plus belle. Je la baise ainsi longuement, puis je me penche en avant pour aspirer ses tétons tendus de plaisir. Elle ronronne de bonheur et elle accroche ses bras autour de mon cou. Je me relève d’un coup, l’entraînant avec moi. Elle se retrouve maintenant bien plantée sur le gode qui lui fouille les entrailles, accrochée à moi comme un coquillage à son rocher. Je donne des petits coups de rein qui la font sauter en l’air, et retomber ensuite sur le gode, bien à fond. Petit à petit, ses yeux se révulsent sous le plaisir qui la comble de plus en plus. Je m’assois sur le bord du lit et elle ramène ses pieds pour rester bien plantée sur moi. Je m’allonge et profite de la vue de ses seins qui rebondissent à chaque coup de gode.
Arrivée à la limite de jouir, je l’attire à moi, à quatre pattes, je me relève pour passer derrière elle. Je recommence à frotter le gode contre sa fente trempée. J’attise ses sens en titillant son clito avant de l’enfourner enfin. Elle est encore plus désirable ainsi, le seul regret est de ne pas voir son visage. Mais à la place, j’ai une super vision sur son cul, et sa rondelle frétillante. Je pose mes deux mains à plat sur son cul, malaxant ses fesses bien rondes. Puis mes pouces, se rapprochent plus près de sa rosace, avant d’y pénétrer. Quelle sensation exquise ! J’accélère mes coups de queue dans sa chatte tout en jouant avec son anus. Petit à petit, mes doigts pénètrent son fondement, lui arrachant des râles de plaisir. Les deux pouces dans son cul, je lui masse son sphincter pour l’élargir et le préparer à l’introduction du gode. Puis, je ressors de sa fente pour poser le bout du gode à l’entrée de son cul. Et je reste là, sans bouger. Mes deux mains posées sur ses fesses. Elle attend, se retourne, m’implore du regard. J’attends encore, un peu. Doucement, je la sens pousser pour s’empaler sur la queue en latex, je l’en empêche toujours. Je recule en même temps qu’elle, et je la suis quand elle avance. Elle tourne une nouvelle fois son visage vers moi, implorant de la laisser jouir de nouveau. Je lui souris en lui faisant non de la tête. Elle tente de forcer doucement mais je recule en même temps. Elle se résigne enfin et retourne la tête, attendant mon bon vouloir. Un soupir de résignation. Voilà le signe que j’attendais pour la perforer. Je commence à pénétrer son canal inexorablement. Je sais, sans la voir, que sa bouche est grande ouverte, à la recherche d’un second souffle.