J’avais précisé que je viendrais seule. Si j’étais satisfaite de mon séjour, sans doute reviendrais-je avec Fanny. Ou une autre de mes amies. Tout fut organisé entre les deux commerciaux et la date fut fixée. Juste un bagage à main léger pour le voyage et j’arrivais à Roissy Charles-de-Gaule. Seul Hafid m’attendait, Luc étant retenu par un client. Il m’emmena à mon hôtel directement, une grande enseigne, où Luc nous rejoindrait. Nous l’attendions au bar, discutant de tout et de rien. Il arriva enfin et je les laissais un instant pour me libérer de mon bagage dans ma chambre. Et là, surprise. Une robe magnifique m’attendait sur le lit, ainsi que des escarpins, le tout, parfaitement à ma taille. La robe, évasée dans le dos, se portait sans soutif. Un string noir complétait la tenue mais je pense que, vu la découpe de la robe dans le bas du dos, lui aussi serait inutile. Je descendis rejoindre les deux hommes qui éclatèrent de rire devant mon étonnement. Ils avaient vraiment l’œil pour choisir la bonne taille et la bonne pointure. Ils me confirmèrent que je devrais porter cette tenue le soir même pour aller dîner au restaurant qu’ils avaient choisi. En attendant la soirée, Luc nous emmena dans sa jolie voiture, une décapotable. Il savait que j’aimais beaucoup la bière allemande et nous guida jusqu’à une taverne dont c’était la spécialité.
Pour ceux qui l’ignorent, l’avantage avec une bière allemande, c’est que l’on peut en boire des litres avant d’être complètement saoule. Et tout ça, sans être malade. J’en profitais largement à chacun de mes visites à la maison mère, en Allemagne. À Munich, pour être précise. Par contre, il faut souvent aller aux toilettes, lol. Mais quand on aime la bonne bière, comme moi, ce n’est qu’un petit inconvénient. Nous avons donc passé une bonne partie de l’aprèm dans cette taverne réputée. Puis retour à mon hôtel pour que je puisse me changer pour la soirée. Les deux hommes retournèrent également se changer. Il était prévu qu’ils reviennent me chercher un peu avant 20 heures. On dit que la ponctualité est la politesse des rois. Ce sont certainement des princes, à leur manière. Direction un grand restaurant parisien. De petites alcôves, restant pourtant ouvertes sur la salle, au bruit sourd, on devinait qu’il y avait beaucoup de monde, mais on n’apercevait que des silhouettes, des ombres. Rien de bien distinct. Un éclat de voix, pourtant, et je crois reconnaître la voix de notre ancien président, Mr Sarkozy. Rêve ou réalité ? Comme je l’avais supposé, la robe noire m’allait comme un gant, moulante à souhaits. Pas de soutif, ni de string. Trop voyant. Mieux valait parfois ne rien porter. De plus, je me sentais l’âme coquine ce soir. Les deux hommes, galants, et sapés comme des princes, me laissèrent m’installer sur la banquette en cuir et prirent place de chaque côté de moi.
Le tissu de la robe, sa coupe très près du corps, ajoutez à cela la banquette en cuir. Résultat, le bas de la robe cachait tout juste ma petite chatte qui commençait à mouiller déjà, prise dans l’ambiance. Je savais pertinemment que cela finirait dans ma chambre, et j’attendais ce moment avec impatience parfois, même si j’aurais voulu que cette attente dure plus longtemps. Mes tétons pointaient outrageusement sous le tissu, ne laissant aucun doute sur mon état d’excitation. Malicieusement, je posais la main sur la bosse qui déformait les deux pantalons. Je les massais ouvertement à travers le tissu. Même quand le serveur vint prendre notre commande pour l’apéro, je continuais à les branler, les yeux dans ceux du serveur qui finit par baisser la tête. Quand il ramena notre commande, les deux queues étaient sorties, et bien dures. Je les branlais en cadence, sans fléchir. Jusqu’au bout. J’utilisais leurs serviettes de table pour éponger avant de tâcher les pantalons. Regardant le serveur droit dans les yeux, je lui demandais de nouvelles serviettes pour mes amis. Les garçons me remercièrent en me caressant l’intérieur des cuisses, puis, remontèrent plus haut. Je passais une jambe sur les leurs, me retrouvant toute retroussée, parfaitement ouverte. Le serveur jetait parfois un œil vers nous, comprenant parfaitement ce qui se passait. Il osa s’approcher pour demander si on ne manquait de rien. J’étais incapable de répondre, ce sont les garçons qui lui répondirent qu’ils avaient tout ce qu’ils désiraient.
Je finis par jouir en silence, dans le brouhaha des conversations voisines. Le repas continua ainsi, soit c’est moi qui les caressais, sans éjaculation, soit c’est eux qui me faisaient jouir. Avec leurs doigts, leurs bouches. Hafid avait osé se mettre sous la table pour me bouffer aisément la chatte dégoulinante. Luc en profita pour me peloter les seins. Le serveur, passant près de nous, n’osa pas s’approcher, malgré l’envie qui le rongeait d’assister de plus près à nos ébats. Et pourquoi pas, participer aussi ? J’avais deux hommes pour moi toute seule, pour la première fois de ma vie, trois, ça aurait été trop. C’était un fantasme que j’allais enfin pouvoir réaliser. Depuis cette chaude soirée avec Sandra, quand je voyais les deux hommes qui ne s’occupaient que d’elle. Il m’avait fallu les emmener dans la chambre pour qu’enfin, l’un d’eux se préoccupe de moi. Mais quand je leur ai donné accès à mon p’tit cul, j’avais les deux mecs autour de moi, chacun leur tour, ils m’ont prise en levrette. Sandra refusait de s’ouvrir aux délices anaux, malgré les tentatives. Je l’aurais bien consolée en lui bouffant la chatte mais elle préféra assister au spectacle offert.
Cette soirée s’annonçait comme mémorable. Grand hôtel, grand restaurant, deux hommes virils pour s’occuper de mon corps tout entier. Luc avait sorti mes petits seins de la robe et me pelotait outrageusement, tandis que Hafid, sous la table, me faisait jouir une nouvelle fois. J’étais pratiquement nue, et exposée aux regards, mais je m’en moquais éperdument. J’étais parfaitement heureuse, et comblée. En fait, seul le serveur a pu en profiter. Je me réajustais pour quitter le restaurant. L’air frais de Paris me fit le plus grand bien. Retour à l’hôtel mais mes deux gardes du corps m’accompagnèrent dans la chambre, cette fois-ci.