Il me saisit à la taille et s’enfonça encore plus au fond de mon ventre. Quand il n’en pouvait plus, il se déversa en moi, en gros flots de semence bien chaude. J’avais l’impression qu’il me remplissait l’utérus, tellement il était profondément fiché en moi. Pendant un court instant de lucidité, je me suis rendue compte que c’était la première fois qu’il me prenait sans préservatif. Et qu’il me remplissait le ventre. Je balayais rapidement cette image, j’étais bien loin de ma période d’ovulation. Et puis, je pouvais toujours acheter une pilule du lendemain. Tous mes rapports, avec des hommes, se faisaient exclusivement sous protection. Je ne le précise sans doute pas à chaque fois mais c’est une évidence. Sauf pour cette fois-ci. Même s’il avait éjaculé en moi, il restait encore dur et bien raide et c’est mon cul qu’il désirait maintenant. J’étais incapable de lui refuser quoique ce soit. Et puis, j’adorais ça. Il souleva mes jambes à la verticale, les chevilles serrées dans l’une de ses mains, et il s’enfonça en moi, lentement. Maintenue ainsi, le passage était plus serré. Mais c’était exactement ce qu’il voulait. Comme un nouveau dépucelage anal. Il était fort, et puissant. Et surtout très motivé.
Une fois bien planté dans mon cul, il écarta mes cuisses, toujours verticales, et il commença à me pilonner le cul. Je portais mon poignet à ma bouche pour éviter de hurler et réveiller toute la maisonnée. Il sortit de mon cul pour me retourner une nouvelle fois, les mains posées sur une chaise, et il me reprit tout aussi vaillamment. Il restait en pleine possession de ses moyens, tandis que je jouissais en continu. Pour finir, il me redressa, se planta face à moi pour me reprendre, debout. Mes pieds ne touchaient même plus le sol, j’étais embrochée sur sa queue puissante. Je m’accrochais à son cou, mes pieds dans son dos, et il continua à me baiser hardiment. Je rebondissais sur sa queue, je gémissais en continu. Lui, il souriait, heureux comme tout. Il commença à se promener dans la cuisine, puis décida de m’emmener ainsi dans sa chambre. À chaque pas, j’avais l’impression qu’il s’enfonçait un peu plus au fond de moi. Ou bien, était-ce sa queue qui prenait de l’ampleur pour m’envahir totalement ? Il me déposa tendrement sur son lit et maman se réveilla à ce moment-là. Me voyant tout près d’elle, elle s’intéressa immédiatement à ma poitrine que je lui abandonnais volontiers.
Je pense que j’ai dû m’évanouir à un moment donné car quelques minutes plus tard, quelques heures peut-être, c’est maman qu’il baisait activement comme il m’avait baisée précédemment. Je suis restée avec eux, entre eux deux, jusqu’à cinq heures du matin. C’est l’heure qu’affichait mon radio-réveil, dans ma chambre, quand j’allais me coucher. Dans la chambre voisine, le calme était revenu. C’est Céliane qui vint me réveiller le lendemain matin, vers 9 heures. Après quelques câlins que je lui autorisais, nous sommes descendues à la cuisine. Maman était déjà là et s’occupait des plus jeunes, Dylan et Lisa, qui s’étaient installés devant la télévision. Elle leur apporta leurs bols respectifs, nous laissant seules. En voulant s’asseoir, Céliane découvrit un petit morceau de tissu sur la chaise. Elle le leva bien haut pour l’examiner. Quand elle comprit que c’était un string, elle le porta à ses narines. Puis, elle finit par me le tendre en disant.
« Ceci t’appartient, je crois. »
Nous sommes parties dans un fou rire et nous ne pouvions pas expliquer le pourquoi à maman qui revenait du salon. Jérôme et Ingrid nous ont rejoints et c’est en famille que nous avons pris notre petit déjeuner. Même papa nous a rejoints sur la terrasse. Ingrid avait encore des cernes sous les yeux, signe d’une nuit très agitée. Jérôme me paraissait excessivement perturbé, sans doute par ce que je lui avais avoué la veille. Je profitais de sa pause cigarette, il s’éloignait de nous pour ne gêner personne, pour le suivre et répondre à toutes ses questions. S’il en avait. Il resta un moment pensif mais je le connaissais bien, je savais qu’une question lui trottait dans la tête. Et c’est au bout d’un quart d’heure qu’il osa enfin se lancer.
« Vous … Vous … L’avez fait ? Tous les trois ? Ensemble ? »
Une question qui ne demandait pas vraiment de réponse, sauf si elle était négative.
« Et donc, maman elle sait pour nous deux ? Papa aussi ? »
« T’es vraiment une … Tu mériterais une bonne fessée. »
« Et c’est toi qui va me la donner » Lui répondis-je en m’enfuyant dans le garage.
Il me rattrapa très facilement, me coinça contre un meuble et souleva ma mini-jupe. Il commença à frapper mes fesses doucement. Puis ses mains se firent caresses, avant que sa queue ne vienne m’embrocher profondément. Il s’activait énergiquement en moi, se tenant à mes hanches. Je tournais la tête pour apercevoir papa qui nous observait. Il avait entendu du bruit et était venu voir ce qui se passait par là. Il était au courant de cette relation, mais c’était la première fois qu’il nous voyait ensemble. Il sortit légèrement de la pénombre et Jérôme l’aperçut enfin. Il voulut se dégager mais je le retenais, jusqu’à ce que papa lui dise.
« Non, continuez. Ne vous occupez pas de moi. »
Tout en disant cela, il s’était placé juste devant ma bouche et il savait que je ne pourrais pas résister à l’envie de le sucer à nouveau. Et il avait parfaitement raison. J’ouvris habilement son pantalon pour en extirper sa queue que j’engouffrais immédiatement. Chaque coup de queue de mon frère me faisait aller plus profondément sur la queue de papa. C’était, je pense, sa première gorge profonde. Jérôme commençait à fatiguer derrière moi et c’est tout naturellement qu’il laissa sa place à papa. Qui lui, choisit mon cul comme réceptacle. Jérôme devant moi avait pris la place occupée précédemment par son père et je le pompais à son tour. C’est, je pense, la situation toute particulière qui les fit jouir au même moment.