Saint-Sylvestre 2014 (14/15)

Il embrasse sa vulve, introduit sa langue dans son vagin, s’abreuve à la source du plaisir. Le sexe d’Amélie est si mouillé qu’il macule son menton et sa bouche de cyprine. Il se sert de sa langue comme d’un sexe, il la fait glisser autant que possible en elle. Faisant des va et vient en elle.

« Les petits « han » de plaisir d’Amélie me font sourire. Son corps se tortille sur la couette. Ma main gauche caresse ses cheveux, alors que la gauche malaxe allègrement ses seins aux mamelons saillants ». Ajoute Delphine.

Quittant à regret l’intérieur de son vagin, ses lèvres reviennent sur son clito. Dès les premiers mouvements de sa langue sur son bouton, Amélie se met à balancer son bassin d’avant en arrière. Comme si à chaque fois, elle cherchait à plaquer d’avantage son entrejambe contre sa bouche.

« Oooooh Ouiiiiii! Ohh ouuiiiiiiii!  »

« Je vais jouirrr! » lança Amélie.

Cette fois, les deux mains d’Amélie appuient sur sa tête. Son corps se crispe d’un coup. Elle saisit l’oreiller près d’elle pour étouffer le long râle de plaisir que lui provoque son orgasme. Tout à son affaire, Roger continue sa succion sur son clito, pour que son plaisir se poursuive. Si le bas de son visage est couvert de mouille, il en est de même pour les fesses, et le sillon d’Amélie. Il se fait un devoir, pour le moins agréable, de récolter ce nectar. Et, quand sa langue vient frôler son anus, Amélie pousse un petit « Ah » de surprise. Mais son sexe ne cesse de libérer son jus d’amour. Signe de son excitation continue. Il remonte vers son visage. Amélie semble adorer ses baisers au goût de son minou. Elle le prend dans ses bras et l’étreint fortement.

Il se défait un instant de sa douce emprise pour saisir un préservatif dans le tiroir du chevet. L’instant unique approche. Puis, après l’avoir guidé de sa main pour qu’elle écarte les jambes suffisamment, il se place entre ses cuisses. Sans quitter son regard, il lui caresse la joue, descend sur sa poitrine. Moi qui suis tout contre elle, je sens battre son cœur très fort. Peut-être aussi fort que le mien. D’une main, il dirige sa queue dressée depuis les dernières étreintes. Avec son gland, il effleure son clitoris à plusieurs reprises. Amélie gémit et se mordille la lèvre inférieure. Sa vulve humide est prête à offrir le plus beau des cadeaux. Il introduit lentement son gland. Il disparaît entre les chairs roses, luisantes et chaudes de cette chatte vierge. Sa queue glisse lentement. L’hymen d’Amélie n’oppose que peu de résistance. Bien moins que je me l’étais imaginé. Le visage d’Amélie ne laisse apparaître aucun signe de douleur. Soulagée que tout se passe aussi bien, je peux me libérer et laisser libre cours à notre plaisir à tous les trois.

À petits coups de reins, il fait aller et venir sa bite. Puis, petit à petit, ses mouvements prennent de l’ampleur et de la force. Les parois serrées du vagin d’Amélie épousent parfaitement son sexe. Il laisse Amélie sur le dos pour profiter du magnifique spectacle de son visage si expressif dans le plaisir. Pour profiter pleinement de ses seins qui bougent à chacun de ses coups de reins, tout en conservant leur maintien, gonflés par le plaisir. Ses yeux qui le fixent avec intensité. Sa bouche entrouverte laisse passer, entre deux gémissements, un souffle court. Avec un pouce, il câline son clito. Associé à ses coups de reins, Amélie semble au comble de l’extase. Son corps se cabre, ses muscles se tendent. Son vagin se contracte autour de la queue qui la laboure. Elle jouit enfin, entrainant Roger dans la tourmente. Il se vide en elle, par longs jets saccadés, dans une jouissance incroyable. Amélie, dont les jambes s’étaient relevées pour l’entourer et le garder en elle, finit par le libérer.

« Jamais je n’aurais cru que cela soit aussi bon » me confia Amélie.

« Faire l’amour te rend très heureuse, Amélie ». Dis-je.

Après un moment de silence, elle bailla.

« Tu es fatiguée, Amélie ? »

« Jouir trois fois aussi fort et en aussi peu de temps, ça m’a tuée. C’était vraiment trop bon.  »

Sa voix se fait de plus en plus faible. Amélie, se laissant emporter par le sommeil, ajoute cependant :

« Même avec toi, Delphine, quand on se caresse, on ne jouit pas aussi fort.  »

Et elle s’endormit. Je m’empressais de venir nettoyer et la queue de mon frère, et la fente de la belle endormie. Ce fut la dernière fois qu’elle vint chez moi. Après m’avoir fait la tête une semaine, on se reparlait enfin à l’école et nos petits jeux purent continuer, soit dans les toilettes du lycée, soit dans les cabines à la piscine. Voilà, mon histoire était bien longue, même si je pourrais en rajouter, mais je suppose que vous êtes fatiguées de m’écouter  »

Durant tout son récit, Amélie et moi on n’avait pas cessé de la peloter, moi, sa poitrine principalement, et Amélie son clito et sa fente. J’avais vu qu’elle en profitait pour la pincer plus fort quand elle mentait, ce qui la faisait rectifier.

« Mais non, Delphine, continue. J’adore t’écouter, et te caresser en même temps. Et toi, tu aimes ?  »

Elle rougit en avouant :

« Oui, j’adore moi aussi. Alors, je continue.  »

« Pendant quelques temps, je ne voyais plus mon amie, Amélie, et je me concentrais sur ma mère. Un samedi, où nous avions beaucoup marché dans les magasins, je lui faisais un massage des jambes. Elle semblait vraiment apprécier. Elle, assise dans un fauteuil, les pieds posés sur la table basse, et moi, accroupie, qui la massait. Roger était à son poste d’observation, en haut de l’escalier, caméscope en mains. Ma mère avait fermé les yeux et ses genoux s’écartaient de plus en plus. Je pouvais maintenant voir sa culotte, rouge, sexy. Et déjà mouillée

Sans ouvrir les yeux, elle me demanda :

– Tu sais, ma chérie.

-Tu te rappelles quand …

– Tu étais venue.

– Entre mes cuisses.

– J’avais adoré. Tu ne.

– Voudrais pas recommencer. Donner du plaisir à ta maman chérie.

Elle-même avait du mal à s’avouer qu’elle avait adoré.

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