Je caressais sa joue avec l’objet, avant de descendre entre ses seins, sur son ventre. Elle frémissait en attendant que je le descende enfin entre ses cuisses qu’elle avait déjà écartées. Je mis le vibro en marche et le plaçais près de son clito. Elle serra mon bras encore plus fort, les yeux déjà noyés par le plaisir qui l’envahissait. Je relevais sa robe pour frotter l’olisbos directement contre sa fente. Un client, qui regardait le rayon vidéos s’approcha pour mater, ouvrit son pantalon pour sortir un sexe de bonne taille. Katia, et Roland aussi, le regardait se branler devant nous. Le gérant vint regarder lui aussi mais lui se contenta de masser son sexe à travers le tissu de son pantalon. Le gode était recouvert de la mouille de Katia qui ne voulait pas jouir devant des inconnus. Elle réussit à contenir son plaisir jusqu’à ce que le client éjacule enfin. Il s’empressa de lécher le gode que je lui présentais. Puis il se rajusta et sortit, heureux comme tout. Le gérant récupéra l’objet, pour le laver, sans doute. Roland, qui ne pouvait plus cacher à quel point il bandait, prit un exemplaire de ce même gode et le glissa son panier.
Un peu plus loin, il choisit un gode ceinture avec accessoires interchangeables. La ceinture avait une petite protubérance sur l’intérieur pour stimuler le point G de celle qui la portait. Il choisit deux godes comme accessoires, de deux tailles différentes. Puis, on passa au rayon SM proprement dit. Il se trouvait dans un angle du magasin, si bien que seuls les clients qui se trouvaient dans ce rayon pouvaient voir ce qu’il s’y passait. Les odeurs et les gémissements qui pouvaient s’en échapper seraient perçus par tous les clients du magasin, bien évidemment. Katia était notre mannequin, celle sur qui nous essayons les accessoires. Un collier d’abord, muni de sa laisse. Roland insista pour me choisir une cravache. Je suis contre la violence injustifiée, mais, pour un peu de piment dans une relation Dominante\Dominée, j’acceptais donc son choix. Avant de partir, j’avais choisi une jolie paire de bottines noires pour Katia. Pour compléter sa tenue, Roland choisit une paire de bas résilles. Plusieurs modèles rejoignirent son panier. À cela, il ajouta un string ouvert, et un soutif fait de lanières de cuir. Pour finir, un grand imper noir. Je ne regardais pas tout ce qu’il mettait dans son panier, sinon, j’aurais remarqué qu’il achetait tout en double. Pour moi, il choisit une paire de bas résille aussi, une paire de cuissardes, un body noir avec des rubans rouges qui le décoraient, et le même imper noir.
Tandis qu’il allait demander au gérant où se trouvaient les cabines d’essayage, un nouveau client entra, suivi de très près par une toute jeune fille. Un père et sa fille ? Ou bien oncle et nièce ? Le gérant le salua avec énormément de condescendance, une personne très connue de Lyon, ou bien un très bon client du magasin. La fille qui le collait de très près semblait très jeune, sans doute encore mineure, avec son visage d’ange. Des cheveux bouclés, blonds. Je lui aurais donné 16 ans, pas plus. Son corps plutôt menu, son regard d’ingénue, tout en elle me rappelait ma petite sœur. Même sa poitrine, qui était surdimensionnée par rapport au reste de son corps. Elle était belle, elle se savait, et elle savait surtout parfaitement comment mettre ses atouts en avant. Roland revint avec le gérant. Celui-ci s’excusa de ne pouvoir nous proposer une cabine d’essayage. Il précisa qu’il avait fermé le magasin et que nous serions tranquilles. Voyant qu’il restait près de nous, je décidais d’intervenir.
« Eh bien, soit. On va commencer les essayages. Katia, approche. »
Émue au plus haut point, elle s’approcha lentement. Elle se trouvait maintenant face au gérant comme je passais derrière elle. Je baissais le zip de sa robe qui tomba au sol. Elle était entièrement nue devant cet inconnu. Elle frémissait mais se laissait faire. J’étais près d’elle et son mari également. Que pouvait-elle craindre ? Je lui ôtais ses bottines pour qu’elle puisse enfiler ses bas résilles, puis le string ouvert. Je me relevais afin de lui mettre le soutif. Parfaitement ajusté à ses seins magnifiques, il soutenait effectivement mais ne cachait absolument rien. Les tétons étaient visibles, et surtout accessibles. Sans miroir, Katia ne pouvait pas juger à quel point elle était excitante habillée ainsi. Le silence révélateur des deux hommes qui la regardaient était une preuve suffisante de l’effet qu’elle leur faisait. Et bien sûr, la bosse qui déformait les pantalons. Le client s’approcha à son tour, suivi de la jeune fille. Il matait le corps parfait de Katia. Elle restait bien droite, très fière de l’effet qu’elle produisait sur l’assistance. La jeune fille chuchota quelque chose à l’oreille du vieil homme. Il lui répondit qu’elle devait s’adresser directement à celle qui commandait, moi, en l’occurrence. Son regard changea quand elle avança vers moi. Elle me chuchota à l’oreille.
« Je n’ai jamais eu l’occasion de goûter à une femme mais j’ai très envie d’essayer. Là, maintenant. Avec elle. » Me précisa-t-elle en désignant Katia.
La petite fille s’était transformée en tigresse. Avide de chair fraîche. Pourtant, docile, elle attendait mon autorisation. Son regard s’illumina quand je lui souris enfin. Elle avait compris que j’acceptais sa demande. Elle se plaça devant sa nouvelle proie. Katia, incrédule, la laissait faire. Cette jeune fille ne semblait guère plus âgée que sa propre fille. Quand elle effleura sa peau, Katia ferma les yeux. Les petits doigts suivaient la courbure des lanières qui composaient le soutif. Avant de s’attarder sur les tétons. Sa bouche entra alors en action. Tétant l’un, ou l’autre des jolis tétons dressés. Les petites mains ne restaient pas inactives. Frôlant la peau, sur la taille, les fesses, le ventre. Les petits baisers partirent de la poitrine pour descendre sur le ventre, le pubis. Elle était à genoux entre les jambes écartées de Katia qui s’abandonnait totalement. Un soupir plus prononcé et nous savions tous que la petite avait atteint son but. Agrippée aux fesses tendres, elle s’en donnait à cœur joie. Elle aimait ça, c’était évident.