L’aidant à s’accroupir, je relevais la jupe de Rosaria qui avait les jambes écartées au maximum. Giulietta ne se posa aucune question et plongea sur la culotte de sa mère. Elle semblait être habituée à ce genre de pratique entre elles, ça n’était certainement pas la première fois. La mamma se laissa aller au fond de sa chaise, entièrement à l’écoute de son corps qui réclamait sa part de plaisir. Je passais derrière sa chaise, je dégrafais son corsage et son soutif pour enfin atteindre ses seins magnifiques. Encore plus beaux que ceux de sa fille. Je me régalais à les malaxer, à les triturer. Les tétons devinrent très durs, très sensibles. Elle se mit à jouir très fort. Je commençais à téter l’un de ses seins, Giulietta prit l’autre. La jouissance reprit de plus belle. Plus fort, bien plus fort. La jeune fille, coquine, glissa sa main sous ma robe. Quand je n’en pouvais plus, je m’assis sur la chaise voisine et elle plongea entre mes cuisses. Elle me fit jouir très rapidement, tandis que Rosaria se remettait doucement. Je rentrais chez moi retrouver Morena. Comme toutes les nuits, elle venait me rejoindre dans mon lit. Mais ce soir-là, elle était très perturbée. Elle avait parlé avec son petit copain, Gianluigi. Il était à l’hôpital, suite à une bagarre entre supporters à la fin d’un match. Elle me parla beaucoup de lui, de ce qu’ils envisageaient tous les deux. On a fait l’amour toutes les deux, bien sûr, mais un ressort était cassé. Plus tard, en m’embrassant goulûment, elle m’avoua que ce serait la dernière fois entre nous, elle partirait le lendemain retrouver son petit ami, sa vie d’avant. On a recommencé jusqu’au lever du jour.
Au réveil, je n’étais pas au top. Anxieuse. Troublée. Puis, je compris très vite que j’étais indisposée moi aussi. Le stress du départ précipité de Morena, sans doute. Pas de baignade, ni de plage pour moi aujourd’hui donc. Je décidais d’aller rendre visite à Sylvia, la cliente de la boutique, et d’emmener Giulietta bien évidemment. Rosaria était absente, un rendez-vous de dernière minute. Giulietta lui laissa un mot sur la table pour ne pas qu’elle s’inquiète et nous avons marché jusqu’à la grande bâtisse que Sylvia nous avait indiquée. C’est une jeune fille toute timide qui nous a ouvert la porte. Il semblait évident qu’elle venait de pleurer. Derrière ses lunettes, ses yeux étaient tous rouges. Carrie, c’est ainsi que Sylvia l’appela, était une jeune fille au pair, irlandaise d’origine. Rousse, et très jolie. Elle nous guida au salon où Sylvia nous attendait. Elle nous demanda ce que nous voulions boire et elle repartit vers l’office préparer un plateau. Pendant son absence, elle nous expliqua que son employée devenait ingérable, incapable de respecter les consignes qu’elle lui donnait et qu’elle songeait sérieusement à la renvoyer chez elle. Elle devait simplement lui trouver rapidement une remplaçante en qui elle pourrait avoir totalement confiance. Elle regardait en direction de Giulietta en finissant sa phrase. Celle-ci baissa les yeux, se remémorant l’épisode de la boutique. Comprenant l’allusion, je demandais innocemment à Giulietta si cela lui plairait de s’occuper des enfants, et tenir une maison. Elle réagit aussitôt en assurant qu’elle le faisait déjà chez elle, laissant sa mère se reposer. Quand à s’occuper des enfants, c’était son rêve depuis des années. Carrie revenait avec les rafraîchissements et la conversation changea de sujet. Je n’y fis guère attention sur le coup mais je crus voir Sylvia faire un signe particulier à sa jeune employée, désignant Giulietta. Elle me servit en premier, puis sa patronne et, en servant Giulietta, elle renversa le verre sur la robe. Sylvia partit dans une colère qui n’avait rien de feinte. Elle jura que cette fois-ci, c’était fini pour elle et qu’elle la renvoyait dans son pays. Carrie essaya de se défendre.
« Mais, Madame … »
« Retourne en cuisine. Je ne veux plus te voir. Tu prépareras tes valises dès ce soir. »
La jeune fille partit en courant, tandis que Sylvia jubilait. J’avais très bien compris qu’il s’agissait d’un piège tendu à sa jeune employée. Je n’en comprenais pas le but, si ce n’est virer Carrie pour la remplacer par Giulietta. Machiavélique mais efficace. Je rejoignais Carrie qui sanglotait dans le couloir. Elle réussit à m’expliquer, entre deux sanglots, qu’elle avait fait exactement ce qu’on lui avait demandé. Je la serrais contre moi pour la consoler. Elle ne souhaitait pas quitter sa maîtresse, Sylvia. Et surtout pas dans ces conditions. Je compris à demi-mots qu’elle éprouvait des sentiments envers elle. Et elle ne voulait surtout pas rentrer chez elle comme une voleuse, une jeune fille qui ne sait pas garder sa place. Je sentais sa respiration qui s’accélérait, ses tétons qui commençaient à pointer. Elle aussi devait sentir mon émoi. C’est sans doute pour cela qu’elle glissa une de ses jambes entre les miennes. Nous étions collées l’une à l’autre, et aucune envie de rompre ce contact. Pendant ce temps-là, Sylvia n’était pas restée inactive. Suite à la « maladresse » de Carrie, la robe de Giulietta était trempée, et du fait, presque transparente. Sylvia obligea sa jeune invitée à se lever, passa derrière elle et, d’autorité, lui baissa le zip. La robe glissa aux pieds de la belle, sans qu’elle ne fasse un seul geste pour la retenir. Sylvia aurait bien voulu qu’elle fasse un geste, juste pour pouvoir la dominer un peu plus mais elle avait compris, tout comme moi, que la jeune fille était une vraie soumise, obéissante et docile.
Elle posa ses lèvres sur les épaules dénudées, baissa une bretelle, puis l’autre avant de dégrafer le soutif complètement. Il rejoignit la robe à ses pieds. Elle put enfin prendre ses seins tant désirés entre ses mains avides, les malaxer, triturer les tétons qui réagirent aussitôt. Giulietta se laissait faire, comme à son habitude. Elle eut cependant un frisson quand Sylvia commença à baisser sa culotte. Mouvement de refus vite oublié, elle était totalement servile. Sylvia était aux anges, sa proie lui obéissait au doigt et à l’œil. Elle avait bien joué avec la jeune Carrie depuis qu’elle était à son service mais la jeune fille semblait être tombée amoureuse d’elle.