Elle approcha ma tête de sa bouche pour me murmurer.
« Oh mon dieu ! Comme c’est bon. »
J’avais déjà repris son téton dans ma bouche, Ingrid avait pris l’autre et tétait avidement ce sein. L’orgasme qui la prit à ce moment-là fut gigantesque. Enculée et tétée en même temps. Après quelques minutes de repos bien mérité, Jérôme l’a aidée à monter se coucher. Il m’a remerciée pour cette soirée mémorable avant d’aller chercher ses enfants chez Marie-Rose. Il ramena aussi les enfants de Fanny et Joël. Surtout la petite qu’il portait dans ses bras. Elle ne s’est même pas réveillée lorsque je l’ai couchée dans son lit. Renan avait déjà rejoint sa chambre. J’ai finalement rejoint le lit où Fanny m’attendait. La soirée l’avait comblée et elle prit ma main pour la garder contre sa poitrine. Elle s’endormit paisiblement, là, contre moi. Rassurée de ne plus dormir seule cette fois. Je me réveillais en sursaut vers trois heures du matin. Je quittais Fanny pour me glisser dans le lit de Joël, juste avant qu’il ne se réveille à son tour. J’étais entièrement nue près de lui et il n’avait nul besoin de me demander l’autorisation. Il m’a prise par derrière, en cuillère. Je suis restée avec lui jusqu’à ce qu’il se lève pour aller travailler. Je suis retournée auprès de Fanny jusqu’à son réveil. Même si j’étais en vacances, je n’oubliais pas que j’avais promis à Fanny de l’aider durant cette semaine, principalement pour m’occuper de ses enfants. Renan était déjà un grand garçon et il se gérait pratiquement tout seul depuis des années. Ce qui n’était pas le cas de sa petite sœur.
D’habitude, c’était lui qui s’en occupait lorsque les parents travaillaient. Ma présence le libérait d’un poids conséquent. J’avais préparé le petit déjeuner pour eux et je demandais à Renan s’il avait aimé sa soirée. Ses yeux se mirent à briller quand il me dit qu’il avait passé une excellente soirée avec Marie-Rose et les enfants. Cette lueur dans ses yeux, ce n’était pas normal. Je devrais en parler avec Céliane. Le jeune garçon se leva, alla se préparer pour rejoindre ses copains au club nautique. Il apprenait à naviguer. Je n’eus pas à attendre bien longtemps, Céliane savait que j’étais tout près et disponible et elle vint me rendre visite, avec l’accord de sa mère, bien sûr. Elle arriva vers dix heures du matin et resta avec moi pendant que je nettoyais la maison, préparais le repas du midi tout en m’occupant de Lucie, la petite sœur de Renan. C’est d’ailleurs plutôt Céliane qui s’en occupait pendant que je vaquais à mes obligations. Quand je fis une pause, je demandais à Céliane de me raconter sa soirée à elle. Elle me fit son petit sourire pervers, signe qu’elle attendait impatiemment que je lui pose la question.
Marie-Rose devait s’occuper des cinq enfants mais cela était rendu plus facile car deux d’entre eux étaient déjà grands. Jouer avec les plus petits était on ne peut plus facile. Les deux grands regardaient la télévision et leur téléphone, en même temps. Puis, elle laissa les enfants jouer entre eux pour s’asseoir sur une chaise, un livre à la main. Un peu fatigués de jouer, il fallut leur mettre un dessin animé et le silence se fit dans le bungalow. Céliane s’est levée pour rejoindre Marie-Rose et voir ce qu’elle lisait. Un roman d’amour, à l’eau de rose. Normal ! Puis, malicieusement, elle posa ses mains sur les épaules dénudées. Marie-Rose avait frissonné mais elle l’avait laissée faire. Tous les enfants regardant la télé, elles étaient tranquilles. Mais elle savait pertinemment que ces mains ne resteraient pas là. Effectivement, Céliane passa ses mains sous les aisselles de sa nounou d’un soir et commença à peloter sa poitrine, par-dessus le tissu de la robe. Il était évident qu’elle n’en resterait pas là. Renan sembla s’apercevoir de la disparition de Céliane et tourna la tête, juste au moment où Céliane passait ses mains sous le devant élastiqué de la robe.
Il n’en revenait pas, il allait de nouveau pouvoir admirer les seins voluptueux de Marie-Rose. Il se leva à son tour, sans perturber les enfants, absorbés par l’histoire de Mowgli. Quand Marie-Rose le vit s’approcher, elle n’avait déjà plus la volonté de tout arrêter. Elle avait même posé son livre pour laisser le champ libre à Céliane. Renan se tenait maintenant à moins d’un mètre de la poitrine qu’il rêvait secrètement de toucher. Il admirait les petits doigts de Céliane qui dansaient sur la peau exposée à sa vue. Marie-Rose était incapable de réagir, gardant les bras ballants, près de son corps. Céliane avait envie de jouer avec elle et, lorsqu’elle prit la main de son camarade de jeu, Marie-Rose ferma simplement les yeux. Elle ne voulait pas voir ce qui se passerait ensuite. Elle sentit bien une nouvelle main, un peu plus froide, qui venait de se poser sur son sein. Bientôt rejointe par la seconde. Il caressait ce sein amoureusement jusqu’à ce que Céliane appuie légèrement sur sa tête. Il se laissa guider avant de prendre en bouche ce téton, gorgé de sang. Marie-Rose soupira un grand coup et s’abandonna totalement aux plaisirs que lui procuraient ces deux jeunes gens. À un moment, elle tourna la tête et proposa ses lèvres entrouvertes à celles de Céliane. Renan tétait tant qu’il pouvait cette poitrine qui lui était offerte. Il avait bien remarqué que la main de Céliane avait disparu sous la robe de Marie-Rose et que celle-ci gémissait de plus en plus fort. Mais il pensait que c’était sa bouche qui lui procurait tout ce plaisir qu’elle ressentait. Et il en était flatté, et il aspirait encore plus fort. Pour lui, rien n’avait plus d’importance que les deux seins qu’il dévorait à sa guise. Céliane également s’était approprié l’un des seins et, ensemble, ils tétaient amoureusement une Marie-Rose qui a dû jouir plusieurs fois. C’est le générique de la fin du dessin animé qui fit réagir Marie-Rose qui se dégagea, un peu honteuse, pour aller s’occuper des plus jeunes. Elle était penchée au-dessus du canapé quand Céliane arriva derrière elle.