— Elle la pose bien étalée en plaçant le téton entre deux doigts écartés. Je suis extrêmement excitée et je ne sais plus quoi faire. Elle me murmure alors à l’oreille :
« Comme tu as la peau douce, tu es bien comme cela? J’ai très envie de te caresser. Encore. Laisse moi faire, veux-tu ? Mais avant réponds moi : As-tu déjà fait l’amour avec un garçon ou avec une fille ?
« Non, jamais. J’ai déjà embrassé une fille, et j’ai masturbé une fois un garçon, mais ce sont mes seules expériences. Et puis nous, ce soir. »
« Laisse moi te guider, j’ai envie de t’initier. »
« Si tu veux, ma chérie. Je le veux aussi. Mais sois douce, et compréhensive. »
« Aies confiance en moi. »
Anna se rapprocha encore de moi et je sens sa poitrine se serrer contre la mienne. C’est délicieux. Sa bouche se pose sur la mienne et je sentais sa langue écarter mes lèvres. J’entrouvre mes lèvres à mon tour et, instinctivement, j’écarte les dents pour laisser pénétrer sa langue dans ma bouche. Je sens son souffle chaud qui se mélange au mien, sa langue cherche la mienne et la trouve sans grande difficulté. Nous jouons ainsi quelques minutes qui me paraissent une éternité. Nous nous embrassons maintenant à pleine bouche et je lui rends son baiser. À mon tour, je lance ma langue à la conquête de sa bouche où je me trouve bien. Anna est maintenant allongée sur moi mais je ne sens pas son poids. Elle a posé ses mains sur ma nuque et tient fermement ma tête. Je suis ravie et je déguste ce nouveau baiser en me disant que celui que j’avais échangé avec une de mes camarades n’avait rien de comparable. Nous avons tout notre temps et je ne ressens aucune gêne à être nue contre elle. Nous restons enlacées un long moment. Anna a passé sa jambe sur la mienne et la place entre mes jambes, sa cuisse venant frôler ma petite chatte. J’écarte largement les jambes pour faciliter ce contact si doux. Elle me masse doucement avec sa cuisse et ce frôlement est absolument délicieux. Je sens que mon sexe est trempé de ma liqueur intime. Je ferme les yeux et savoure cet instant. Mon bassin entame des mouvements désordonnés et je frotte mon sexe sur sa cuisse. Elle-même se frotte sur ma cuisse.
Nous harmonisons nos mouvements et nous nous contrôlons de moins en moins. Nos lèvres ne se quittent plus. Nos langues se cherchent, se trouvent soit dans ma bouche soit dans celle d’Anna. Je suis de plus en plus excitée et donne de grands coups de ventre vers mon amie. Nous nous serrons de plus en plus fort. Je sens sa poitrine contre la mienne. Mes seins sont durs et me font mal tellement elle me serre. Mes mouvements désordonnés s’accélèrent encore. Je sens dans une demi inconscience que ma cuisse en contact avec le sexe d’Anna est toute gluante et poisseuse. Je pense que la sienne doit l’être aussi de toutes mes sécrétions. Je m’emballe et ne pense plus qu’au plaisir que nous nous donnons. Ma tête va de droite à gauche sur l’oreiller. Sa bouche a du mal à rester sur la mienne. Je tiens sa tête par la nuque pour que nos lèvres restent soudées. Brutalement, c’est l’explosion. Mon ventre est saisi de spasmes incontrôlés. J’écarte les cuisses au maximum. Je sens mon miel intime qui s’écoule de moi comme une fontaine. Je perds toute notion du temps, de l’espace. Il me semble que je flotte sur un nuage de coton. Je suis tellement heureuse, comblée par cet orgasme. Heureusement pour nous, la bouche d’Anna a empêché mon cri de jouissance de fuser et d’avertir tout l’immeuble de ma jouissance. Alors seulement, je retrouve mon calme et je m’abandonne dans les bras d’Anna.
Je ne sais combien de temps je suis restée comme cela, complètement inerte dans les bras de mon amie. Je baigne dans une douce torpeur. Elle-même semble calmée et je pense qu’elle somnole. Je sors lentement de la douce léthargie dans laquelle j’étais si bien. Je constate que nous sommes toujours dans la même position, la cuisse d’Anna sur ma vulve largement offerte tandis qu’elle serre sa chatte sur ma cuisse. Je suis bien et je savoure cette sérénité après l’amour, quand les sens sont enfin comblés. Doucement, je promène ma main dans le dos de mon amie et cela a le don de la faire renaître. Elle relève la tête et me gratifie d’un merveilleux sourire qui en dit long sur le plaisir qu’elle a pris. Elle me susurre à l’oreille :
« Alex, ma chérie, tu as aimé ? »
« Oh oui. C’est la première fois que cela m’arrive, c’est divin. »
Elle vient se lover contre moi et m’embrasse à nouveau à pleine bouche. Mais son baiser est différent. Il n’est plus conquérant comme tout à l’heure mais beaucoup plus sensuel. Elle bécote ma bouche, elle m’embrasse derrière l’oreille. Je m’écarte légèrement d’elle pour profiter de son corps splendide. C’est alors que je remarque que ma cuisse est toute luisante, là où était posé son sexe. Je regarde immédiatement la sienne et je vois que moi aussi je me suis amplement répandue sur elle. Je lui en fais la remarque et elle me répond :
« Nous nous sommes donné beaucoup de bonheur toutes les deux, et tu peux constater que moi aussi, j’ai beaucoup apprécié ce que nous avons fait. Maintenant, laisse moi te nettoyer. »
Sans attendre ma réponse, elle vient poser sa bouche sur ma cuisse et se met en devoir de lécher tout ce qu’elle y a déposé. Lorsque je suis à nouveau bien propre, il me vint l’idée de lui en faire autant. Je m’incline donc vers sa cuisse et, tout en léchant mes sécrétions, je découvre son sexe largement ouvert qui continue de suinter. C’est la première fois que je vois un sexe féminin d’aussi près et j’en profite pour le détailler. J’admire ses grandes lèvres rose pâle bien ourlées qui ne cachent pas les petites lèvres plus à l’intérieur. Je remarque également son clitoris qui émerge au sommet de ses petites lèvres, bien à l’abri de son capuchon. J’ai la folle envie de l’embrasser mais je me retiens en me disant que cela ne se fait pas, c’est trop sale.