CARRIE (03/10)

– Huuummm, ça fait du bien, n’est-ce pas Tonton ? Je vais te faire bander toute la nuit !

D’une petite voix enfantine je lui demande.

– Tu aimes me voir sur toi, Tonton … ?

– Te voir ainsi est un enchantement, ma puce. J’ai un ange au-dessus de moi. Un ange un peu pervers mais c’est comme ça que je les aime.

– Regarde, mes seins semblent plus gros comme ça, n’est-ce pas, lorsque je me penche vers l’avant.

Il attrape mes seins et il les pétrit à pleines mains ce qui me fait sourire de bonheur et bouger mon corps un peu plus  sur le sien. Mes tétons sont outrageusement gonflés entre ses doigts et il me tire dessus à la limite de la douleur. Quand j’halète et gémis, il tire encore plus fort, étirant mes deux seins vers lui.

– Aaaahh, doucement ! Ooooohhhh, tu vas me les agrandir Tonton ! Mais j’aime ça ! Et je sens quelque chose de dur entre mes cuisses !

Mon tonton a retrouvé une belle érection et me dit.

– Vite ma puce ! Mets-la en toi !

Il s’est positionné au-dessus de moi en appui sur ses deux mains et il me demande.

– Prend ma queue dans ta main et guide là dans ta chatte !

Je fais glisser son gland le long de mes lèvres trempées et me soulevant légèrement je fais entrer son gland dans mon sexe brûlant de désir. Sa bouche prend la mienne et sa langue pénètre dedans en même temps que sa bite glisse dans mon sexe. Je pousse un cri étouffé par sa langue qui tourne sur la mienne mais ce n’est pas de douleur. Je le sens glisser en moi et c’est sublime. Je fais l’amour avec mon oncle ! Sa queue n’en finit pas de me remplir la chatte et mon vagin s’ouvre pour lui laisser la place. Je soulève mes jambes et je les écarte le plus possible pour mieux le sentir en moi et il me fait l’amour lentement pour profiter de mon sexe tout neuf que je viens de lui offrir. Je gémissais à chaque pénétration et j’ai fini par le supplier d’aller plus vite et plus fort. Il se retire presque entièrement et me pénètre d’un seul coup en claquant son pubis contre le mien.

– AAaahhhh ! Ouiiiiiiiiiii tonton ! Baise-moi fort !

Pour me baiser, il m’a baisée ! J’ai fini à quatre pattes et il m’a défoncé ma petite chatte qui n’en demandait pas tant ! Mais quel pied j’ai pris ! J’ai eu deux orgasmes avant qu’il ne vide ses couilles en moi en me traitant de salope et de petite pute  et en me promettant des parties de baise mémorables. J’ai découvert le côté pervers de mon oncle Marco. Un sacré vicieux le tonton ! Le lendemain, j’avais du mal à marcher, mais aucune raison avouable à fournir. Le soir même, je retournais dans sa chambre. Il m’attendait, totalement nu, allongé sur son lit.

– Ah ! Te voilà, petite coquine. Avec ta démarche chaloupée, tu m’as fait bander une grande partie de la journée. Et j’attendais impatiemment ta venue pour que ta bouche vienne me vider.

– Mais tonton ! Tu sais que je n’aime pas, avec ma bouche. Et d’ailleurs, elle est trop grosse pour moi.

– Ta bouche, ou simplement tes mains. Puis ta jolie chatte imberbe.

Je commence donc à caresser cette « chose » monstrueuse, qui ne cesse de durcir entre mes petits doigts. Il était prêt, et moi aussi. D’un geste, il me souleva pour me positionner sur son ventre. Lentement, je glissais vers l’objet convoité. Quand sa belle queue se retrouve dans mon sexe trempé, je sens toute suite que sa bite est en complète érection, pour ma grande joie, malgré la petite douleur  qu’elle provoque en distendant mon vagin.

–  Ooooohhhh, mon dieu ! T’as vraiment une grosse bite Tonton !

Mais je suis fière de pouvoir absorber une si belle queue en étant sur lui. C’est  comme si j’avais mâté un étalon pour le chevaucher à ma guise. J’attaque un petit trot sur sa queue dressée et je gémis entre les allers retours.

– Je te sens encore mieux comme ça. J’ai presque l’impression que tu vas me fendre en deux ! Comme une bûche.

Mon plaisir augmente rapidement, je gémis de plus en plus fort, je pousse même des cris lorsque son gland frappe trop fort mon utérus ou qu’il pince violemment mes tétons. Je  commence à me mouvoir dans tous les sens, sauvagement, sur son éperon de chair. Mon orgasme éclate, ma chatte se contracte compulsivement sur sa queue et je plante mes ongles dans ses épaules lorsqu’il mord un de mes tétons. Sa bite toujours plantée en moi, je me calme tout doucement. Je caresse sa fourrure de poils sur sa poitrine et je lui demande.

– As-tu jouis, Tonton … ?

– Non, mon bébé d’amour. Je vais te prendre d’une autre façon …

Il retire son sexe de ma chatte dégoulinante de jus et il me met à genoux. Ses mains écartent mes fesses pour regarder ma chatte ouverte bordée de sa légère toison de poils brun bouclés et brillant de cyprine,  mais ce n’est pas ma chatte qui l’intéresse. C’est le petit trou au-dessus, bordé de légers poils de la même nuance.

– Tonton !

Je n’ai pu m’empêcher de crier quand son doigt sonde délicatement mon anus.

– Tonton… tu ne vas pas la mettre dans mon cul ! Elle est beaucoup trop grosse !

Je n’avais pas prévu qu’il me fasse une telle chose, mais je sais que certains hommes adorent enculer leur femme ou amante. Ça leur donne un sentiment de puissance et de soumission de la femme.

– Je crois bien que si, ma puce. Tu ne devrais pas avoir de si belles fesses et  un trou du cul si mignon qui donne envie de le défoncer.

– Dis-moi, Tonton, tu sodomises toutes les filles avec qui tu baises ?

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