MORENA (06/12)

Si proche de lui et dans cette position, il n’ignorait plus rien de son anatomie mammaire. Il plongea les yeux avec délices au plus profond qu’il pouvait, profitant de cet instant unique. Magique. J’arrivais à ce moment précis.

« Tu n’as pas honte de la mater comme ça !!! »

Surpris, il se redressa et me fixa, attendant la sentence. Morena se redressa elle aussi en rougissant. Elle savait qu’elle avait provoqué volontairement cette situation mais pourtant, elle se sentait coupable, et très excitée. Je continuais sur le même ton.

« Regarde-la. Elle est rouge de honte. Mais elle semble aussi très excitée. Regarde ses tétons. Ils pointent de plaisir.  »

Le garçon ne put s’empêcher de regarder. Morena aussi d’ailleurs, toute étonnée de pointer autant. La bosse qui déformait le pantalon du jeune homme devenait impressionnante. Comment pouvait-il se retenir aussi longtemps ? Déjà, une certaine habitude ? Tous les deux étaient très excités par la situation, mais moi également. Ils étaient comme des marionnettes entre mes mains, mieux que des marionnettes. Je devenais Maîtresse de leurs gestes, mais aussi de leurs émotions.

« Tu vois comme les tétons sont durs. Écarte un peu plus, pour mieux les voir.  »

Il me regarda, incrédule. Puis Morena, qui baissa les yeux, puis moi de nouveau, avant d’oser enfin écarter le tissu léger et admirer à loisirs cette superbe poitrine. Je passais derrière elle pour dégrafer les boutons de la robe qui tomba à sa taille, bloquée par la ceinture. Pour la première fois de sa vie, il pouvait enfin admirer librement une poitrine entièrement dévoilée, et offerte.

« Si tu veux, tu peux la caresser. Elle ne dira rien. Elle n’attend que ça. Voilà. Doucement. Tendrement. Amuse-toi avec les bouts. Tu vas la faire frémir de bonheur.  »

Il exécutait mes consignes, à la lettre. Juste un peu brutal au début, il se calma très vite, ayant obtenu ce qu’il désirait le plus au monde actuellement. Et il n’était pas au bout de ses surprises.

« Prends-le dans ta bouche maintenant. Attention avec tes dents. Tu l’aspires, tu la tètes doucement, comme un bébé.  »

Il obéissait aux consignes avec un plaisir non dissimulé. Son pantalon semblait prêt à exploser. Puis, il se dégonfla comme par magie. Il avait tout lâché dans sa culotte. Il partit en courant, honteux mais tellement heureux. Morena s’adossa au tronc noueux d’un olivier centenaire tandis que je m’accroupissais entre ses cuisses. Je récoltais sa sève, nectar des nectars. Fabuleuse Morena qui se donne toujours entièrement, totalement. Puis, on inversa les rôles et je pus jouir une nouvelle fois dans sa bouche délicieuse. On resta un moment, seules, à se cajoler, avant de retourner vers la fête.

En arrivant, Morena retourna auprès des plus jeunes. Giulietta m’aperçut et se dirigea vers moi. À sa démarche, je devinais qu’elle portait toujours le plug bien planté dans son cul. Elle me conduisit comme convenu près de sa mère. Passant dans un couloir isolé, je passais ma main sur son cul pour vérifier la présence du plug. Elle frémit quand je le bougeais de droite à gauche. Obéissante et soumise. Devant sa mère aussi, soumise et dévouée. Elle me laissa parler et Rosaria accepta tout, du moment que je reste près d’elle. Elle craignait surtout qu’un garçon plus entreprenant que les autres ne l’attire dans un coin sombre pour profiter de son innocence. Je la rassurais. Pas un garçon ne la toucherait, je lui en faisais le serment. Complètement rassurée, elle regagna sa petite maison. Giulietta resta près de moi toute la soirée, collée à moi. Elle avait promis à sa maman et elle ne voulait surtout pas lui désobéir. Sa présence était un peu pesante mais, dès que j’en avais l’occasion, je lui pelotais ses fesses ou bien je la doigtais à travers la robe. Elle ne me refusait rien, tant que personne ne nous voyait. Même quand j’allais aux toilettes, elle me suivait. Je la fis entrer avec moi dans la cabine, le dos contre la porte.

D’un geste, je lui ordonnais de relever sa robe devant moi et elle m’offrit la vue de sa jolie chatte et de son buisson doré. Je lissais ses poils, dégageant l’entrée de sa grotte. Elle mouillait énormément, cette petite cochonne, signe qu’elle appréciait d’être entièrement soumise. Je lui demandais combien de garçons avaient eu l’honneur de la caresser ici. Elle baissa la tête pour m’avouer que personne avant moi, et Morena, ne l’avait jamais touchée. Sa poitrine, oui, elle avait laissé plusieurs garçons jouer avec. Mais personne jamais n’avait franchi la barrière de sa culotte. Personne, à part sa mère, pour la toilette. Je restais ébahie qu’à 25 ans, elle laisse encore sa mère lui faire sa toilette, même et surtout intime. Cette révélation me procura un frisson de plaisir, imaginez cette grande fille que sa mère lavait encore comme une poupée ! Je la fis s’agenouiller devant moi tandis que j’écartais mes cuisses. Pas de mouvement de recul non plus, comme si cela était tout naturel. Il faudra que je la confronte à sa propre mère pour avoir des réponses. On retrouva Morena dans la salle transformée en salle de bal. Nous discutions toutes les trois quand un homme vint se coller contre mes fesses. Je reconnus aussitôt mon oncle Marco. C’était le frère du papa de Morena. Il travaillait pour lui également, comme Rosaria et Giulietta. C’était aussi mon parrain et, aussi loin qu’il me souvienne, il adorait me prendre sur ses genoux. Jamais un geste déplacé.

Plus tard, il soulevait ma jupe avant de m’installer sur lui. Je sentais quelque chose de dur contre mes fesses et cela m’amusait de sentir l’effet que je lui faisais. Quelques fois, trop rarement, il pouvait poser ses mains sur mes cuisses nues, sans que personne ne puisse nous voir. Juste ses mains posées sur moi, jamais plus haut. Je sentais sa respiration s’accélérer et sa queue grossir encore plus. Je savais que cela lui procurait beaucoup de plaisir, lui qui était toujours célibataire. Ce soir, l’alcool aidant, il était un peu plus entreprenant. Il se frottait contre mes fesses et cela me faisait de l’effet plus que je n’osais me l’avouer.

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