Il regardait ma poitrine, ne pouvant détacher son regard de mes deux protubérances. Puis, il osa enfin poser une main sur mon genou, me demandant si ma cheville allait mieux. Vu que je n’avais pas repoussé sa main, il s’enhardit et remonta le long de ma cuisse, mais par-dessus la jupe. Je gardais les jambes serrées, ne souhaitant pas lui donner accès à mon intimité. Il dut le comprendre et sa main quitta le haut de ma cuisse pour se poser sur mon ventre, juste en dessous de mes seins. J’avais compris ce qu’il voulait depuis qu’il m’avait ramenée à la maison. En m’aidant à marcher jusque chez moi, il avait passé son bras sous mon aisselle et sa main avait atteint mon sein. Tant que personne ne pouvait le voir, il m’avait pelotée gentiment. Aujourd’hui, il en voulait plus et j’étais venue pour ça, même si je ne voulais pas me l’avouer. J’aimais les regards des hommes sur moi, sur mes formes. Et j’aimais encore plus sentir leurs mains sur moi, leurs caresses sur mes fesses, sur mes gros seins. Et cet homme qui n’était plus très jeune, il avait énormément envie de caresser cette poitrine que d’autres garnements avaient maltraitée. Je respirais plus lourdement, ce qui faisait bouger ma poitrine plus que d’habitude. Auguste était comme hypnotisé par ce mouvement régulier et c’est sans vraiment s’en rendre compte que sa main s’est finalement posée sur mon sein. Lui aussi, s’est mis à respirer plus difficilement. Il prenait peu à peu conscience de ce qu’il osait et je le sentais hésitant.
« Je … Suis … Désolé. Je … Je … Peux … Continuer ? Si tu veux bien ? »
Sincèrement, je ne pense pas qu’il attendait véritablement une réponse, il craignait sûrement un refus de ma part. Au lieu de cela, je posais simplement ma tête sur son épaule. Il continuait maladroitement à me peloter, pris je le suppose par l’émotion. Puis il reprit confiance en lui et sa main se faufila sous mon pull, directement sur la peau. Il remonta jusqu’à mon sein qu’il emprisonna de nouveau. Je savais parfaitement, avant de venir, ce qui pourrait arriver. Je l’attendais presque, je le désirais. Je n’avais plus les caresses de mon amie, Lalie. Fernand osait beaucoup moins depuis que sa femme avait failli nous surprendre. Le surprendre, lui, à genoux entre mes cuisses. Je suis un peu coquine, vous avez pu vous en rendre compte depuis que vous me lisez. Je pensais que, si sa femme nous avait surpris, elle aurait certainement cru que j’étais victime d’un pervers, d’un pédophile. Et sa plus grande crainte aurait été que je porte plainte contre lui, contre eux. Mais elle ignorait que j’adorais tout ce qui m’arrivait avec les hommes de mon entourage, et quelques femmes, et jeunes filles. Auguste prenait tout son temps et j’adorais ce qu’il me faisait. J’avais chaud, j’étais bien. Et ce n’était pas exclusivement la chaleur du feu de cheminée qui me donnait toute cette chaleur. Mes cuisses s’écartaient malgré moi et il a dû les sentir se rapprocher de sa jambe. Sans aucune brusquerie, sa main a quitté mon sein pour attirer ma jambe par-dessus la sienne. J’étais écartelée mais il n’en profita pas pour glisser sa main entre mes cuisses. Il a retrouvé mon sein, caressant le téton en tentant de le dégager du bonnet. Gustave arriva à ce moment-là et resta en arrêt devant nous, ne sachant s’il devait nous laisser ou bien rester. Et participer, peut-être. Auguste aussi l’avait vu mais il ne pouvait s’arrêter. Il lui demanda pourtant.
« Eh, grand dadais. Tu vas rester là à nous regarder ? Pose tes affaires et approche-toi. Non, pas par terre, tes commissions, sur la table, là. Voilà. Ôte-lui son pull, maintenant. »
Je baissais la tête, rougissante de désirs. Plusieurs hommes avaient déjà pu voir ma poitrine ultra développée. Là, je m’exposais devant deux hommes en même temps. J’étais folle mais pourtant, j’avais confiance. Gustave souleva mon pull et stoppa lorsque ma poitrine fut visible des deux hommes. Moi, je ne voyais plus rien, le pull couvrait encore mon visage. J’avais les bras levés et ils étaient en train d’admirer ma poitrine, livrée à leurs regards. Je suis restée un moment, les bras levés. C’est, je pense, un mouvement de fatigue qui a décidé Gustave à finir le travail. Je pouvais maintenant les voir, admiratifs devant tant de splendeur. C’était ce que je lisais dans leurs yeux. Auguste, le premier, se décida à reprendre sa caresse. Gustave hésitait encore lorsque je lui ai fait signe de s’asseoir près de moi. Il lui a fallu beaucoup de courage pour enfin oser poser sa main sur moi. Il était doux, et tendre, rien à voir avec l’image qu’il dégageait. C’était un petit nounours bien sage, admirant son nouveau jouet. Puis, timidement, il a mis sa main en conque pour accueillir mon sein au creux de sa paume. Très vite, ses doigts se sont mis en mouvement pour agacer mon téton. Son pouce tournait tout autour, s’arrêtait parfois dessus, puis continuait à tourner tout autour. Auguste a dû se rendre compte à quel point cela me plaisait et il a de suite imité son grand garçon. Je décidais de moi-même qu’il était temps de passer à la vitesse supérieure. Je passais les mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge et l’enlever totalement. Les caresses ont repris de plus belle, à même la peau. Auguste, encore une fois, fût le premier à glisser sur le canapé.
Sa bouche remplaça ses doigts pour mon plus grand bonheur. Sa main, enfin libérée, trouva le chemin vers mon intimité, sous ma jupe. Il caressait mes cuisses, tendrement. Il tentait de m’apprivoiser et je dois dire qu’il y parvenait parfaitement bien. Gustave imita son père et prit mon autre sein en bouche. Auguste, lui, avait un tout autre but. Il glissa totalement sur le sol et sa tête s’engouffra sous la jupe. Il tira légèrement sur la culotte qui glissa irrémédiablement vers mes chevilles. J’avais désormais les fesses au bord du canapé, Gustave s’occupait de mes seins, avec ses doigts et sa bouche, Auguste, entre mes cuisses, me bouffait littéralement.