Une histoire incroyable (09/21)

Cela expliquait qu’il n’était pas avec nous dans le parc. Mais je pense sincèrement que cela n’était que partie remise. Une fois assises dans le train, j’avais placé Jessica le long de la fenêtre et, avec son sac sur les genoux, je me suis offerte la possibilité de la doigter tout le temps du trajet, sans que personne ne s’en aperçoive. J’avais réussi à glisser ma main dans la ceinture de sa jupe et, vu qu’elle n’avait rien dessous, j’avais accès à toute son intimité. Elle a parfois dû se mordre la main pour ne pas crier et éveiller les soupçons dans le wagon. J’ai recommencé dès que nous fûmes assises dans le bus scolaire qui nous ramenait chez nous. Là encore, personne n’a rien pu voir de ce que je faisais à ma complice mais je pense que le chauffeur s’est douté de quelque chose, en regardant dans le grand rétroviseur intérieur. Il ne voyait que nos visages et cela pouvait suffire, pour un œil expérimenté. S’il avait su que Jessica était nue sous sa jupe, je suis certaine que sa queue aurait gonflé immédiatement dans son pantalon de toile. Il n’a rien dit, mais à son regard, j’étais persuadée qu’il avait tout compris. Je suis resté dormir chez mon amie, ce soir-là et nous avons passé une nuit inoubliable.

 

Entièrement nues, toutes les deux, nous n’avons pas beaucoup dormi, recherchant sans cesse les caresses de l’autre, repoussant inlassablement les limites du sommeil qui pourtant finit par nous gagner, l’une après l’autre. J’avais pu résister plus longtemps que Jessica et je m’étais endormie en tétant ses seins qu’elle m’avait offerts. J’ai été réveillée quelques heures plus tard par la bouche de Jessica qui me tétait merveilleusement bien. Je dis quelques heures, ce n’était peut-être que des minutes, mais j’étais totalement comblée par ce réveil triomphant. J’avais réussi à dégager ma main qui retrouva naturellement le chemin vers son intimité. Elle ne cessa de me téter que lorsqu’elle sentit que l’orgasme était tout proche. Je pus alors plonger entre ses cuisses, largement ouvertes, pour y récolter le fruit défendu, boire à la source de son plaisir. Jessica ne bougeait plus, comme anesthésiée par son plaisir. Je continuais néanmoins à lécher sa fente jusqu’à ce qu’elle m’offre une seconde décharge de cyprine. C’était magique, surtout lorsque je me suis aperçue qu’elle dormait profondément depuis un moment déjà. Je continuais à la lécher, récoltant son nectar qui m’enivrait littéralement et je finis par m’endormir, la tête posée sur son ventre. Je me suis réveillée pour de bon, quelques heures plus tard.

 

J’étais toujours allongée en travers du lit, mais Jessica aussi. Elle s’était réveillée avant moi et avait voulu me rendre la pareille. Sa tête entre mes cuisses, elle me butinait admirablement bien, presqu’aussi bien que Patrick l’avait fait. Je ne voulais surtout pas l’interrompre mais je voulais aussi participer. Je réussis à me glisser entre ses jambes que j’écartais pour avoir la merveilleuse vision de sa chatte au-dessus de mon visage. Elle redoubla d’intensité quand je me mis, moi aussi, à la lécher intensément. C’est un combat qui commença entre nous, à qui ferait jouir l’autre la première. À ce petit jeu-là, Jessica avait beaucoup d’avance sur moi mais je réussis à reprendre l’avantage sur elle quand j’osais glisser un doigt plus profond dans son anus. Elle fut surprise par cette attaque, tenta de la reproduire sur moi aussi mais déjà, son plaisir naissant l’empêchait d’être entièrement concentrée sur ce qu’elle faisait, en attente du tsunami qui se propagea très rapidement en elle. Mon doigt entrait et sortait de son cul, très vite, comme une petite bite. Elle revit les images de notre après-midi au parc, mes seins libérés, puis mon intimité exposée devant Patrick et, pour finir en beauté, le petit homme qui suçait amoureusement la grosse queue de notre nouvel ami. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle parte dans un délire orgasmique intense. Elle semblait survoler le lit où nous nous trouvions. Elle finit par s’écrouler sur moi, sans pour autant oublier qu’elle devait me faire jouir, moi aussi. Ce qu’elle réussit très rapidement. Il était pratiquement l’heure de nous lever et de nous préparer pour une nouvelle journée au lycée. Nous avons pris notre douche ensemble pour la première fois, chez elle, caresses en tous genres.

 

Nous étions heureuses et cela se voyait sur nos visages, c’est ce que nous a dit la maman de Jessica quand nous l’avons rejointe dans la cuisine pour prendre notre petit déjeuner ensemble. Dehors, il faisait nuit, il faisait froid et l’on se serrait l’une contre l’autre. C’est ainsi que Roland, le chauffeur du bus scolaire, nous a vues arriver. Lui aussi nous a fait la remarque que nous étions resplendissantes et, vu qu’il faisait froid, il nous autorisa à grimper dans le bus avant l’heure. Nous étions donc les premières et nous avons pu choisir notre place fétiche, trois rangées derrière le chauffeur. Nous étions ainsi proches de la porte pour ressortir et loin des places du fond, beaucoup plus bruyantes. Une fois assises, Jessica me regarda bizarrement. Je lui rendais son visage interrogatif, puis, sans m’en rendre vraiment compte, j’approchais ma bouche de la sienne jusqu’à ce que nos lèvres entrent en contact. C’était de nouveau un instant magique, hors du temps et de l’espace. Nous étions seules au monde. Enfin, pas tout à fait seules, je remarquais que Roland nous observait attentivement et s’était rapproché de nous.

 

Jessica ne l’avait pas vu puisqu’elle tournait la tête vers moi et, plus par jeu qu’autre chose, je pris sa main pour la poser sur ma poitrine qu’elle se mit immédiatement à peloter. J’étais bien, j’avais chaud et je commençais à mouiller en pensant au chauffeur qui nous regardait attentivement. Je l’ai vu se rapprocher encore tout en caressant son entrejambe. Je lui jetais un regard effronté pour bien lui signifier que je l’avais vu et cela le fit redoubler la cadence de sa caresse. Il devint tout rouge au moment où, je le suppose, il se déversa dans son sous-vêtement. Il sortit du car scolaire et se dirigea vers les toilettes publiques, toutes proches. Hihihi.

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