On installa les couvertures sur les rochers pour déjeuner. Léger, le repas. Tous étaient pressés de passer à la suite. Surtout Franck. Mais Carolyn aussi. Je réussis à éloigner Franck un moment pour lui demander de faire doucement avec Carolyn. Je prétextais qu’elle n’était pas habituée à un tel calibre, inutile de lui dire que son mari ne la baisait plus depuis des mois. Il retourna près de Carolyn pour la prendre dans ses bras et la cajoler. Elle attendait ce moment de tendresse avant de se donner entièrement à cet homme robuste. Elle le branlait machinalement pour prendre la mesure du chibre qu’elle devrait bientôt sentir vibrer en elle. Elle avait peur, un peu, mais surtout elle savait que sa vie changeait dès aujourd’hui. Il y avait un avant, il y aura un après. Elle bafouait impunément un de ses principes les plus fondamentaux : la fidélité.
Elle se remémora une réflexion toute récente où elle se disait que, si son époux la dédaignait, c’est peut-être parce qu’il en voyait une autre. Cette idée l’aida à se décontracter totalement dans les bras de son amant. Il l’allongea tendrement, avec beaucoup de précautions et commença à se frotter à la porte du plaisir. Carolyn mouillait abondamment, ce qui facilitait la pénétration. Il prenait tout son temps, comme je le lui avais demandé. Mais son plaisir était au comble, enfin il baisait la femme de son patron, son rêve inaccessible devenait réalité. Il lui aspirait les tétons, jouant de sa langue. Bientôt il fut au fond de son vagin et Carolyn poussa un râle de satisfaction. Jamais elle n’avait été remplie ainsi. Il commença à bouger en elle, suivant ses grimaces il accélérait ou bien ralentissait le rythme.
Sophie s’était positionnée aux pieds de Chantal et lui bouffait la chatte avec appétit. Je fouillais dans mon sac pour en sortir mon gode ceinture. Une idée, une envie me trottait dans la tête depuis que Franck m’avait avoué être bi. Le baiser par derrière pendant qu’il baisait Carolyn. Chantal s’était allongée, Sophie toujours entre ses cuisses, mais elle avait compris mon désir, et l’approuva d’un signe de la tête. J’enduisais le gode de lubrifiant et posais le gland sur la rondelle de Franck. Il eut un geste de recul qui fit pénétrer le premier centimètre. Comprenant qu’il n’y pouvait plus rien, il continua à s’occuper de Carolyn. Quand il ressortait, il s’empalait un peu plus sur loin sur mon gode. J’étais à fond maintenant. Je suivais simplement les coups de reins qu’il donnait, comme si c’était moi qui baisais Carolyn. Carolyn ne comprenait pas pourquoi cette queue, déjà monstrueuse, avait encore doublé de volume. Distendant ses chairs redevenues élastiques, heureusement.
Je commençais à donner mes propres coups de rein quand il était au fond de la matrice. Carolyn jouissait en continu depuis deux minutes quand enfin il se répandit en elle, faisant gonfler son ventre de sa semence abondante. Il s’écroula sur le côté, vaincu par le plaisir. Sophie se jeta sur la chatte dégoulinante de leurs substances. Elle avait besoin de sa dose de sperme. Carolyn jouit une nouvelle fois, ou bien était-ce encore le même orgasme qui se prolongeait. Sophie se mit en devoir de nettoyer également la queue encore souillée des secrétions. Elle était vraiment douée avec sa bouche et Franck redevint très vite opérationnel. Sans demander, elle s’empala directement sur la bite énorme. Franck jouait avec ses seins, les aspirant dans sa bouche. Toujours équipée du gode ceinture, je frottais le gland contre le cul offert de ma soumise. Elle se coucha sur Franck, qui n’en demandait pas tant, pour me faciliter la double pénétration. Elle en avait déjà subi, des doubles, avec les copains de son ex, mais là, Franck prenait beaucoup de place dans son vagin, rendant la pénétration anale plus difficile, comme si c’était la première fois.
Petit à petit, son corps s’habituait et je pus entrer bien au fond de son cul. Franck reprit les coups de rein qu’il avait cessé pendant ma progression. Je commençais à bouger moi aussi, à contre temps de Franck. Sophie gémissait sans retenue. Quand je me calais sur le même rythme que Franck, elle commença à hurler son plaisir. Elle fut ravagée par un véritable tsunami qui la laissa presque inconsciente. On la laissa se reposer, seule, Chantal lui nettoya sa chatte. Carolyn avait repris des forces et avait assisté à la performance. Elle s’agenouilla pour prendre en bouche cette queue magnifique, offrant à mes yeux, son splendide cul. Je me glissais dans le compas de ses cuisses et frottais le gode contre sa fente. Elle se mit à mouiller abondamment. Mais quand j’appuyais sur sa petite rondelle, elle se raidit un peu.
« Fais-moi confiance et relaxe toi, tu vas voir comme c’est bon aussi par-là ».
Elle se relâcha complètement et le premier centimètre entra. Elle soufflait fort mais s’habituait à cette présence insolite à cet endroit. Je progressais doucement, entrant et sortant. Chantal vint s’empaler sur son mari pour assister de plus près à la scène. À force de persévérance, je fus bientôt au fond. Un instant de répit avant de commencer à la baiser vraiment. Lentement au début, puis un peu plus vite. Elle aussi se mit à hurler, me demandant de la baiser encore plus fort. Encore plus vite. Encore plus loin. Elle était vraiment déchainée quand l’orgasme l’envahit, la laissant sans voix. Chantal, toute proche de moi, m’embrassa, me poussa sur le dos et s’empala sur mon gode. Elle se baisait toute seule au-dessus de moi, me laissant jouer avec ses seins. Franck retourna Carolyn et la reprit en missionnaire, tandis que Sophie offrait sa fente à Carolyn. Je restais un moment avec Chantal car, après avoir joui, elle demanda à utiliser le gode ceinture sur moi. Je le lui prêtais bien volontiers et c’est elle qui me baisa tendrement en levrette d’abord, avant de m’enculer à fond.
Elle s’occupa ensuite de Sophie qu’elle voulait faire crier de plaisir également, tandis que je laissais Franck me chevaucher de nouveau. Après Sophie et Carolyn, il n’avait toujours pas éjaculé, prouvant par la même que c’était un baiseur hors pair. Avec moi, il se lâcha complètement et finit par me remplir le cul. Il faut dire que Carolyn l’y avait aidé en enfonçant deux doigts dans son cul à lui, lol. On se reposa un bon moment avant de tout nettoyer, ne laissant aucune trace de notre passage. On regagna le voilier tranquillement et Franck nous ramena au port. On prit place dans son 4×4 et il nous ramena à ma voiture. On échangea nos numéros de téléphone pour se recontacter quand l’envie nous en prendrait. Franck embrassa Sophie, puis Carolyn très tendrement. Chantal s’attarda également dans mes bras, passa un doigt inquisiteur sous ma robe de plage. J’étais trempée, lol. En nous quittant, nous savions tous pertinemment que Carolyn et Franck se reverraient, et pas forcément en présence de Chantal, ou de moi. Chantal avait également très envie de me revoir sans la présence de son homme. Elle avait trouvé avec moi une partenaire de jeux saphiques et elle comptait bien en profiter à fond.
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