Elle posa ensuite ses mains sur les fesses de Mélanie pour enfin lui embrasser le clito. Je me plaçais derrière elle pour caresser ses seins tout en prenant la bouche qu’elle m’offra. Elle était comblée, les deux mains posées sur la tête de Véro qui l’emmenait doucement au paradis. Restait à combler son homme, son Jérémy, qui n’allait pas tarder à arriver. Après avoir joui une première fois dans la bouche de Véro, elle la releva pour l’entrainer dans sa chambre. Elle l’embrassa à son tour pour la remercier et goûter sa propre mouille sur les lèvres pulpeuses. Elles tombèrent sur le lit et se placèrent en 69 pour continuer à se donner du plaisir mutuellement. Je surveillais la porte et je vis la tête de son petit ami passer dans l’ouverture. Je lui fis signe d’attendre encore un peu. Mélanie était au-dessus de Véro et Jérémy la voyait bouffer la chatte de cette femme splendide. Puis Véro se rebella et elle passa au-dessus, nous montrant son cul magnifique. Elles jouirent enfin de concerts dans un flot de soupirs. Mélanie aperçut son homme et lui sourit. Il entra dans la chambre.
« Véro, je te présente Jérémy, le fiancé de Mélanie. Il rêvait de voir sa douce dans les bras d’une autre fille, et de participer ensuite. Tu es d’accord ? »
Pour toute réponse, elle se tourna vers lui, ouvrit sa braguette pour sortir une queue déjà bien bandée et se mit à la lécher amoureusement. Mélanie vint la rejoindre et je les laissais tous les trois, leur souhaitant une bonne nuit. Ce dont je n’avais aucun doute. Je rentrais chez moi, sensiblement excitée par le spectacle de ces corps entremêlés. Une bonne surprise m’attendait sagement dans sa voiture, en bas de chez moi. Fabiola. Elle m’expliqua qu’elle se sentait seule à la maison. Wendy dormait chez son amie Marielle et mon père était en séminaire depuis près d’une semaine. De plus, comme j’avais été absente, elle n’était pas retournée seule à la salle de sport. Je comprenais bien qu’elle avait envie de câlins, de sexe. Dès l’entrée dans l’ascenseur, je lui mettais la main aux fesses. Je la plaquais contre la paroi et remontais sa robe.
« J’espère que quelqu’un va appeler l’ascenseur et te voir ainsi, le cul à l’air ».
On n’a pas eu cette chance, dommage. Mais c’est robe relevée qu’elle regagna ma porte. Je la fis entrer et aussitôt lui ôtais sa robe. Je l’embrassais partout, la pelotait. Elle se laissait faire, ivre du plaisir de se soumettre à mes désirs. Je dégrafais son soutien et m’attaquais à ses seins. Mon dieu ! Que c’est bon de plonger entre deux mamelles aussi tendres ! Sucer les bouts tous raides, aspirer les mamelons. Un vrai délice. Je la poussais doucement vers ma chambre. Arrivées à la porte, sa culotte tomba, dernier rempart sur son intimité.
» À ton tour de me dévêtir, ma chérie « .
Nous avons fait l’amour pendant plus d’une heure, sans s’arrêter. À l’aide de mon gode ceinture, je l’ai prise en missionnaire, puis en levrette. Pour finir, j’ai investi son cul callipyge et je l’ai fait jouir une énième fois. Et moi avec. On est restées allongées à se câliner un bon moment avant qu’elle ne me raconte enfin la fin du week-end avec Alice, son amie. Après le repas, Wendy est remontée dans sa chambre pour réviser, laissant les anciens ensembles. Puis Alice, prétextant la fatigue du voyage, prit congé de ses hôtes. En passant près de la porte de Wendy, elle l’entendit gémir doucement. Elle ouvrit la porte pour la découvrir nue, allongée sur son lit, en train de se caresser. En voyant Alice, elle s’arrêta.
» Non, continue. À moins que tu préfères être aidée ? Coquine, va ».
Devant le regard de Wendy qui lui disait qu’elle n’attendait que cela, Alice s’approcha du lit, caressa les cuisses grandes ouvertes avant de remonter vers sa fente luisante. Les doigts titillèrent son clito mais très vite, c’est sa bouche qui vint lui offrir le plus merveilleux des cunni. Alice était une experte, du moins l’avait été. Fabiola s’en souvenait sûrement encore. Fabiola justement, qui était montée voir si son amie était bien installée, l’aperçut en plein travail de langue. Un peu jalouse que son amie puisse faire ce que la morale lui interdisait à elle. L’inceste entre mère et fille. Elle attendit Alice dans ma chambre, qui lui avait été attribuée. Celle-ci fut surprise de trouver Fabiola dans sa chambre et émue quand elle lui avoua qu’elle était jalouse pour ce qu’elle venait de voir dans la chambre voisine. Alice piqua un fard avant de prendre son amie dans ses bras.
En l’embrassant, Fabiola reconnut l’odeur de sa fille sur les lèvres de son amie et l’embrassa encore plus fougueusement. Doucement, caressant tout le corps, Alice descendit sur la poitrine, le ventre, et poussant son hôte sur le lit, disparut sous sa robe. Après la fille, ce fut la mère qui reçut l’hommage de sa bouche, de sa langue ravageuse. Elle dut se mordre la main pour ne pas hurler de joie sous l’orgasme dévastateur. Alice se mit nue et ôta la robe de son amie. Elle s’allongea sur le lit, tout auprès d’elle. Fabiola se redressa et se mit en 69 au-dessus d’elle. Exactement ce qu’elle attendait. Elles se bouffèrent longuement, stoppant au moment suprême, pour recommencer ensuite. Elles jouirent ensemble, dans un grand silence, faits de soupirs et de gémissements. Alice, remise la première, avoua que cela lui avait manqué, mais que la queue d’un beau mâle lui manquait encore plus. Elle se mit à en rire, entrainant le rire de Fabiola. Qui d’un coup, lui proposa.
« Viens avec moi ».
Sans se rhabiller ni l’une ni l’autre, Alice suivit son amie jusqu’à la porte de sa chambre. Là, elle hésita un instant, puis entra sous le regard insistant de Fabiola. Mon père ne fut pas surpris de voir sa femme entrer nue dans leur chambre, elle aimait vivre nue quand cela était possible. Mais quand il vit Alice qui la suivait, il se mit à bander direct. Il l’avait regardée toute la soirée mais jamais il n’avait pensé que Fabiola lui ferait ce cadeau. Deux jolies femmes pour lui tout seul. Ils en avaient parlé plusieurs fois, c’est vrai. Mais Fabiola était jalouse et il savait que ce devrait être elle qui choisirait la partenaire de leurs jeux. Il fut ravi de son choix. Quand Fabiola retira le drap, ce fut au tour d’Alice d’être surprise. Agréablement surprise.
Un petit aparté pour vous parler de mon adolescence. Quand mon père a décidé de divorcer pour ensuite épouser cette voleuse de maman, je n’étais pas très contente. Ça, mon frère et moi on lui a bien fait sentir qu’elle n’était pas la bienvenue. Et que jamais elle ne remplacerait notre mère. On ne faisait rien pour l’aider, l’enfonçant quand on en avait l’occasion. Et quand il n’y avait pas de raison de s’en plaindre, on en cherchait une. Moi surtout.