Ce n’était pas la langue experte de Camel, ni celle d’Alysson, mais elle faisait tout ce qu’elle pouvait pour me rendre le bonheur qu’elle venait de ressentir. Je ne peux pas dire que j’ai vraiment joui sous ses caresses buccales mais de la voir, là, à mes pieds, entièrement nue, cela m’a procuré un plaisir incommensurable. Elle est restée à mes pieds jusqu’à ce que je la force à revenir s’asseoir sur le canapé, près de moi. Je voulais encore profiter de sa chaleur, de sa poitrine généreuse. Ce n’est qu’à ce moment-là que j’ai enfin répondu à sa question. Non, Mr Lambert n’était pas mon père, mais le compagnon de la mère.
Je l’ai sentie qui réfléchissait longuement avant de me poser la question suivante, à savoir si je pourrais, un jour, revenir avec lui. Je lui répondis du tac au tac que cela ne devrait pas poser de problème. Comme dans le magasin, nous serions deux à jouer avec son corps. Elle a frémi à l’évocation de ce souvenir, pourtant tout récent. Ce petit intermède de câlins m’a donné encore plus envie d’elle, de son corps de femme. Je l’ai suivie dans sa chambre où là, je lui ai demandé de me déshabiller entièrement. J’ai vu à sa réaction qu’elle attendait ce moment avec impatience. Mais elle sut parfaitement comment faire durer cet instant magique, quand vous découvrez pour la première fois le corps de l’autre. Elle a pris le temps de m’effeuiller, vêtement après vêtement. Jusqu’à ma culotte qu’elle a descendue presque religieusement.
Je lui ai demandé de s’allonger sur son lit, jambes largement écartées. Je me suis glissée contre elle, la frôlant avec toutes les parties de mon corps possibles. Quand mon clitoris est entré en contact avec le sien, ce fut comme un éclair lumineux, pour elle comme pour moi. Je me suis frottée à elle, frénétiquement. Puis lentement, je suis remontée, la laissant une fois de plus sur sa faim de plaisir. Ses tétons sont venus jouer avec mon petit bouton. Elle gémissait en continu. J’ai finalement positionné mon intimité devant sa bouche. Mais elle a attendu mon signal pour commencer à me lécher. Encore une fois, elle faisait de son mieux pour me faire grimper aux rideaux et je dois avouer qu’elle apprenait très vite.
Carole est une passionnée, qui se donne toujours à fond dans tout ce qu’elle entreprend. Elle se donne corps et âme pour réussir à me faire jouir et, cette fois, elle y est parvenue. J’ai fait demi-tour sur moi-même, laissant ma chatte à sa disposition mais c’était mon tour de la faire jouir encore. Mes coups de langue étaient bien plus efficaces que les siens et elle a dû abandonner ma chatte pour vivre pleinement son orgasme. J’avais gagné une fois de plus mais il faut dire que j’avais de la pratique, pas elle. Pas encore. Car j’espérais bien y remédier. J’avais encore envie de faire une chose, quelque chose d’un peu fou, mais j’en avais eu envie dès que nous l’avons suivie dans la réserve du magasin.
Je l’ai faite se retourner sur le ventre, ses fesses exposées à mes caresses. J’étais toujours assise sur son dos et elle était entièrement à ma merci. Mais, au lieu de caresses, je l’ai frappée violemment sur une fesse, puis sur l’autre avant qu’elle ne puisse réagir. J’ai continué à frapper ses fesses qui rougissaient sous mes mains. Elle tentait bien sûr de se défendre mais sa position lui interdisait tout moyen de contrer les coups. J’ai dit « violemment », mais ce n’était pas aussi violent qu’une vraie fessée, donnée pour punir la personne. D’ailleurs, je remarquais rapidement qu’elle se défendait de moins en moins. Pire, elle commençait à apprécier ce traitement. Pour preuve ? Sa chatte qui recommençait à suinter. Petit à petit, les coups se transformèrent en caresses. Elle mouillait tellement que je me demandais si elle ne s’était pas oubliée.
Mais l’odeur caractéristique de son plaisir était bien présente et ses gémissements ne laissaient aucun doute sur son état d’excitation. En se contorsionnant, elle réussit à dégager l’un de ses bras. Pas pour m’éjecter de son dos, mais pour atteindre le tiroir de son chevet. Elle en sortit un gode très ressemblant, dont je m’emparais immédiatement. Je le promenais le long de sa fente, sans chercher à la pénétrer. C’est elle, en bougeant dans tous les sens, qui tentait vainement de s’empaler dessus. Il était désormais bien lubrifié avec son nectar et il pénétra enfin sa chatte jusqu’au bout.
Je le faisais aller et venir en elle puis, je le sortais totalement. Je le laissais à proximité de sa chatte, et de son cul. Elle remuait encore et toujours pour qu’il réintègre sa place. Elle y a presque réussi, sauf qu’au moment où elle a poussé pour qu’il la pénètre, je l’avais déplacé devant son petit trou du cul. Il est entré comme ça, juste par la force de son envie. Le gland était passé, restait juste à s’habituer à la présence de cet intrus. Malicieusement, je le faisais tourner, comme si je voulais agrandir ce trou. Très vite, elle ne chercha plus à l’éjecter mais elle roulait son cul pour qu’il la pénètre plus avant. Puisque c’était sur sa demande, j’exécutais un nouveau mouvement de va-et-vient dans son fondement. Bien préparée par la précédente fessée, elle jubilait de se faire enculer. Sans le savoir, je tournais la base du gode qui se mit à vibrer en elle. Elle devint comme folle, une véritable démente qui gesticulait dans tous les sens.
Soudain, elle s’est immobilisée. Elle ne bougeait plus, ne disait plus rien. Un orgasme hors norme venait de la terrasser. Je suis restée un long moment allongée à ses côtés, à la cajoler, la caresser. Puis nous avons pris notre douche ensemble. Elle m’a rhabillée, comme une poupée mais j’ai souhaité qu’elle reste nue. J’avais de nouveau entré le gode dans son cul et c’est en le maintenant dans une main que je l’ai guidée jusqu’à sa porte. Elle a frémi lorsque je l’ai ouverte. Ouf ! Soupir de soulagement. Personne sur le palier. Je l’ai embrassée à pleine bouche et elle m’a rendu mon baiser. J’avais dû lâcher le gode mais elle a mis sa main à elle, derrière, pour le maintenir à sa place.