HELENA (04/05)

« Helena t’a bien fait jouir, hier. Maintenant, c’est ton tour ».

 » Je n’ai jamais fait… Je ne sais pas si je saurais ».

 » Pour savoir, tu dois essayer. Et rappelle-toi ce qu’elle t’a fait ».

« Et puis, je suis là, pour te guider ».

Convaincue, elle s’approcha du lit, écarta les jambes de la belle endormie, qui ne l’était plus depuis quelques minutes. Elle caressa l’intérieur des cuisses qui s’ouvrirent comme par magie pour lui donner accès à toute son intimité. Toute à son exploration, Kaïna ne remarqua pas qu’Helena était bien réveillée maintenant, et la regardait faire.

Kaïna se mord la lèvre et  laisse son index parcourir la vallée de mon amie, de bas en haut, en explorer les tendres recoins et les replis intimes, jusqu’au clitoris qu’elle découvre ferme et avide de caresses. Elle tourne autour, le frotte, l’agace, le prend entre ses doigts, tandis que son autre main parcourt le reste du sexe qui s’offre à elle.

Elle se tourne enfin vers moi pour avoir mon approbation. Un sourire la convainc de continuer. Le sexe d’Helena est maintenant ouvert et nacré d’humidité. Elle recommence à la doigter un moment puis elle passe à la vitesse supérieure en enfonçant deux doigts bien raides dans son vagin. Elle la pistonne comme une bite le ferait, de plus en plus vite. De plus en plus loin. Avant d’insérer un doigt dans son anus.

Helena enfin explosa de plaisir, tous ses muscles tendus. Un véritable tsunami l’emporta. Elle se laisse retomber sur le matelas essoufflée et surtout ébahie par les qualités de branleuse de Kaïna. Elle l’attire sur elle et l’embrasse à pleine bouche pour la remercier de ce moment épique.

Toute émue par ce baiser, et ce qu’elle vient de faire subir à Helena, elle n’a pas remarqué que je me suis levée pour m’équiper de mon gode ceinture. Toujours allongées, poitrine contre poitrine, je m’approche de sa fente luisante et doucement m’introduit en elle.

« Oh mon dieu, non! Qu’est-ce-que tu me fais? Oh ouuiiiiiiii ».

J’étais en elle, bien plantée. Je sortais lentement pour la reprendre brutalement, à fond. Elle gémit. Mes mouvements la forçaient à se frotter, clito contre clito avec Helena. En baisant Kaïna, je branlais Helena. Je m’agrippais à ses hanches et la baisais à toute vitesse. La protubérance du gode stimulait mon point G. Et c’est toutes les trois ensembles que nous avons joui.

Je libérais Kaïna et Helena vint butiner sa grotte magique, y récolter son nectar. Elle se redressa pour m’embrasser et partager ce doux parfum. En se repositionnant, elles se retrouvèrent en 69, Helena dessus. Elle la dégustait littéralement. Kaïna, ne pouvant en rester là, lui en fit de même.

Un concert de gémissements envahit la chambre. Kaïna jouit la première mais continua, encore et encore. Puis Helena. Kaïna se retrouva à ce moment au-dessus de la jeune fille, me tendant son cul splendide. J’entrais dans la partie à deux et enfonçais un doigt inquisiteur dans son fondement. Pas un geste de recul, mais au contraire comme une invitation à explorer plus loin.

Un peu de salive pour lubrifier son cul et c’est bientôt deux doigts qui la baisaient. Elle semblait en vouloir plus. Toujours équipée de mon gode ceinture, je le lubrifiais en le frottant sur sa fente poisseuse de mouille et l’approchais de son petit trou.

Le premier contact la fit frémir, d’envie, pas de peur. Il était évident qu’elle pratiquait régulièrement les pénétrations anales. Obligé, me direz-vous, avec un cul comme le sien. Je poussais doucement et le gode disparut dans son cul. J’étais dans son cul, bien au fond. Je la prenais lentement pour profiter pleinement de son corps et laisser à Helena le temps de la faire jouir une nouvelle fois.

Elle poussa son cul vers moi au moment suprême, s’empalant encore plus sur la bite en latex. Je la baisais plus vite maintenant et elle semblait adorer ça. Helena, étendue près de son visage, pouvait y apercevoir tout le plaisir qu’elle prenait. Elle s’amusa avec ses tétons hyper durs, les titillant adroitement pour les faire gonfler encore.

C’est un véritable cri de libération que poussa Kaïna au moment de jouir une nouvelle fois. Elle s’écroula, vaincue enfin. Helena me regardait en se doigtant. Elle était prête à me recevoir. Je passais d’un cul splendide à une petite chatte magnifique. Les yeux dans les yeux, je la pénétrais sans m’arrêter. Malgré ses orgasmes successifs, elle avait encore envie, comme une rage de vivre.

Elle avait cette force en elle, de croire que le meilleur est toujours à venir. Cette force qui la pousse en avant. Et dans mes bras ce matin. Elle était heureuse et cette joie était communicative. Je finis par m’effondrer sur elle, comblée de nouveau.

Allongée entre les deux coquines, je n’eus pas de repos. Déjà Kaïna commençait à me caresser, suivie par Helena. Elle m’ôta le gode ceinture et se pencha pour boire directement à la source de mon plaisir. Plaisir qu’elle partagea avec Kaïna, en l’embrassant. Puis, j’oubliais tout et me laissais faire, des mains me caressaient, des bouches parcouraient mon corps, des langues léchaient mes tétons, mon clito. Tout mon corps n’était plus qu’une zone de plaisir, une aire de jeux saphiques.

Quel bonheur de s’abandonner au plaisir ! Plaisir de recevoir, après avoir donné.

Après un long repos, j’entrainais les filles sous la douche. Encore et toujours des jeux de main et des caresses. On se lava les unes les autres avant de se sécher. Je demandais à Helena de rhabiller Kaïna. Son soutif, sa robe. Et sa culotte que je sortais de mon sac.

Après un dernier long baiser, nous l’avons laissée retourner à son travail. Nous sommes restées nues jusqu’à ce que la faim nous fasse sortir du lit. Enfin, façon de parler. J’appelais le service d’étage pour nous monter une collation pour deux, salades et fruits. Peu de temps après, on frappa à la porte.

J’allais ouvrir après avoir passé le peignoir de bains. Une jeune femme poussa la desserte jusqu’au milieu de la chambre. Elle aperçut Helena, nue, mais ne sembla pas réagir.

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