Il était une fois dans l’Est (05/11)

Nous avons fait la fête ainsi jusqu’au matin. Vers cinq heures du matin, la maman de la mariée, aidée de quelques autres femmes, apporta la soupe à l’oignon. Toutes celles qui étaient encore debout vinrent se restaurer. Céliane dormait déjà, Edwige à ses côtés. Puis tout le monde se sépara, les femmes qui venaient d’arriver raccompagnèrent certaines invitées chez elles car trop alcoolisées, ou fatiguées. Je restais, attendant le réveil de Céliane, et le retour de Jérôme. Je suis montée voir si Céliane dormait toujours. Edwige, à ses côtés, était découverte et je pus voir qu’elle ne portait pas de culotte. J’allais la recouvrir pour ne pas qu’elle attrape froid quand une main m’en empêcha.

Chantal m’avait suivie et elle admirait le corps parfait de la jeune fille. Elle se risqua même à caresser cette petite fente qui, semble-t-il, n’attendait que cela. À peine effleurée, la petite ouvrit les cuisses plus largement, acceptant la caresse dans son sommeil. Chantal attrapa ma main pour la glisser sous sa jupe, entre ses cuisses grandes ouvertes. La perverse était trempée et je n’eus aucun mal à la faire jouir très vite. Elle laissa les deux petites finir leur nuit et m’entraina dans une autre chambre. Là, elle appuya sur mes épaules, me forçant à m’agenouiller devant elle. Je savais exactement ce qu’elle attendait de moi et elle fut comblée une seconde fois. Je rejoignais les autres au moment précis où Rosalie se réveillait.

Nous avons tous pris un copieux petit déj et les garçons sont arrivés vers 9 heures du matin. Céliane s’était levée depuis peu et finissait son chocolat au lait. Nous sommes rentrés au gite, se donnant rendez-vous pour le mariage qui avait lieu le lendemain. Je suis allée m’allonger dans la chambre dès notre retour, j’avais besoin de repos. Je me suis assoupie immédiatement, trop de fatigue accumulée. Je fus réveillée par une douce sensation. J’ouvrais les yeux pour apercevoir la tête de Jérôme entre mes cuisses. Il avait fait glisser mon string et j’étais totalement nue. Il se déshabilla également quand il s’aperçut que je le regardais.

Pas un mot ne fut prononcé entre nous sauf quand il me pénétra enfin, très lentement. Je ne pus étouffer un  » Oh oui !  » La machine était lancée et rien ne pouvait l’arrêter. Il me baisait très fort et c’est exactement ce dont j’avais besoin avec lui, à ce moment précis. Sa queue remplissait ma chatte et j’évitais de hurler mon plaisir pour ne pas alerter Rosalie. Céliane était certainement avec elle. Ces deux-là s’entendaient à merveille. Ceux d’entre vous, qui me suivez depuis quelques temps, savez parfaitement ce qui se passe entre mon frère et moi, et que sa fille est également au courant. Rosalie, pas encore.

Je ne savais pas trop si je devais lui en parler, ou pas. Nous n’avions que deux jours pour faire attention. Ensuite, nous ne la reverrions pas avant longtemps. Au pire, à qui pourrait-elle le dire ? À sa mère, par téléphone ? Cela était bien peu probable. J’ai pu jouir deux fois avant que Jérôme n’explose à son tour et remplisse son préservatif de bonne semence. Il rejoignit les filles, me laissant dormir enfin.

À mon réveil, quelques heures plus tard, ils avaient déjà déjeuné, j’ai simplement attrapé quelques fruits au passage et nous avons accompagné Rosalie vers sa nouvelle demeure. Les proprios avaient même mis à sa disposition une bicyclette pour aller à son travail chaque jour. On alla également au parc zoologique où elle serait accueillie. Pour des formulaires administratifs à remplir.

Jérôme et Céliane ont été autorisés à faire un tour, tandis que je restais avec Rosalie. La responsable était occupée avec des animaux à soigner. Nous étions seules et Rosalie décida de continuer ses confidences. Elle m’avait racontée sa première expérience, avec son père, suivie de bien d’autres. C’est juste quelques semaines après qu’elle eût sa fracture du radius, l’avant-bras.

Cela faisait une semaine qu’elle était tombée pendant le sport et que sa maman s’occupait d’elle intimement. Elles avaient abandonné les pantalons, trop compliqué à descendre d’une seule main. Rosalie en avait fait l’expérience, à l’école. Impossible de se déshabiller seule. Elle avait dû faire appel à sa meilleure amie qui n’était pas loin. Le vendredi suivant, Armelle l’habilla d’une jupe ample, longue. Aucune des deux n’avait pensé qu’elle passait le week-end chez son père, avec Romuald, son jeune frère. Depuis qu’elle avait osé demander à sa meilleure amie de l’aider, celle-ci la suivait systématiquement chaque fois qu’elle allait aux toilettes. Elles entraient à deux dans la cabine et son amie l’aidait principalement pour s’essuyer et se rhabiller.

Mais en arrivant chez son père, elle dut batailler près de 15 minutes pour se rhabiller seule. Plus tard, avant d’aller se coucher, elle dut se résoudre à demander à son papa chéri. Qui ne refusa pas l’occasion de toucher et observer sa Princesse quand elle faisait ses besoins naturels. Rosalie en fut gênée, la première fois seulement. Ensuite, habituée, c’était devenu un jeu subtilement érotique entre le père et la fille. Pareil pour la douche, il avait essayé de l’aider du mieux possible sans se mouiller lui-même mais, voyant que cela n’était pas faisable, c’est entièrement nus qu’ils se lavaient l’un l’autre. Il est évident que Rosalie n’en parla jamais à personne. J’étais la première à qui elle osait se confier.

Rosalie resta six semaines avec son plâtre au bras. Les quelques semaines qui suivirent, elle se faisait encore aider par sa mère qui, petit à petit, la laissa se débrouiller seule. À l’école, sa meilleure amie continuait à l’accompagner. Elle-même prenait place ensuite sur le siège pour faire pipi. Puis finalement, un jour, elle lui demanda de l’essuyer à son tour, prétexte pour se caresser l’une l’autre. Ce fut une véritable révélation pour les deux jeunes filles. Patricia était pensionnaire dans le lycée agricole, elle ne rentrait chez elle que le week-end, quand elle n’était pas d’astreinte avec d’autres pensionnaires. C’est à partir de ce jour-là que Rosalie pensa à l’éventualité de devenir pensionnaire elle aussi. Peu de temps après, il y eut le clash, l’évènement qui bouleversa toute sa vie de jeune fille, de jeune adulte.

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