Amélie 2 (11/16)

Elle avait réussi à passer sa main dans mon dos et caressait mes fesses, ma rondelle. Elle tournait tout autour, avant de s’y introduire, un doigt puis deux. Charlène avait pris un de mes tétons en bouche et le tétait comme si sa vie en dépendait. Ce faisant, elle avait agrippé ma cuisse entre les siennes et se frottait langoureusement. Elle se masturbait le clito sur ma cuisse, comme une chienne en chaleur. Les va et vient de l’une et les frottements de l’autre m’amenèrent à mon second orgasme. Toujours en silence. Toutes contentes du tour qu’elles m’avaient joué, elles s’embrassèrent, se mirent à se caresser mutuellement jusqu’à la jouissance libératrice. Tandis que je caressais leur corps, la peau si douce comme le satin, les petites rondeurs naissantes et les fesses bien dures.

Je n’oubliais pas de remonter mon bas de maillot avant de sortir de l’eau et m’allonger sur une serviette, près d’Amélie. Les deux complices s’allongèrent sur deux serviettes voisines et se donnèrent la main. Nous sommes restées un long moment à profiter des rayons du soleil. Puis nous sommes rentrées pour dîner. Je réveillais mon amie qui s’était vraiment endormie. Le lendemain, nous étions chez Jenny pour nettoyer l’appartement de ma fiancée décédée. Je ne reviens pas sur cet épisode que vous venez de découvrir (cf.§ Jenny). Je retournais seule à la gare pour restituer le véhicule. La voiture rendue, je passais un coup de fil à Dany pour savoir si elle pouvait venir me chercher. Elle en était ravie et 15 minutes plus tard, elle était devant la gare. Je montais près d’elle et elle se rendit directement au centre commercial, pour préparer l’ouverture du magasin.

À peine eut-elle refermé la porte de service derrière elle que je la plaquais contre celle-ci, je soulevais sa robe et je baissais sa culotte entièrement. Elle portait des bas noirs sous une robe rouge grenat. Je pris ensuite sa poitrine entre mes mains et la malaxais avidement. Elle ronronnait, Dany, heureuse de me retrouver. Nous n’avions que très peu de temps à être seules, aussi je la forçais à se mettre accroupie devant moi, jambes bien écartées et vulve bien ouverte. Je soulevais ma jupe par-dessus sa tête et lui offris ma chatte à lécher. Elle écarta le tissu de mon string et commença à me lécher divinement. Elle aimait ça, lécher des chattes. Douée comme elle était, je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. Elle me nettoya tout partout avant de se relever. La bouche brillante de ma mouille, elle s’en léchait les babines.

Vint l’heure d’ouvrir le rideau métallique. Presque aussitôt, une première cliente se présenta. Dany semblait gênée soudain, comme une enfant prise en faute. Après lui avoir fait la bise, elle nous présenta l’une à l’autre :

— Geneviève, une amie, et Stéphanie, une amie aussi.

–Une amie ? Un peu plus que ça, non ? répliqua Geneviève.

–Oui, et même beaucoup plus, souffla Dany.

Je compris rapidement qu’elles étaient complices de jeux érotiques depuis des années. Et je voulais en rajouter une couche.

— Eh bien Dany, soulève ta robe et montre à ton amie.

De la galerie du centre commercial, on ne pouvait voir que sa tête derrière un portant, mais Geneviève était face à elle, dans l’attente qu’elle s’exécute. Dany rougit un peu, baissa les yeux et releva sa robe doucement. On vit apparaître ses jambes gainées de noir, puis le haut de ses bas et enfin sa chatte humide déjà. Heureuse de s’exhiber de la sorte. Geneviève ouvrit grand ses yeux et ne savait pas quelle attitude adopter. Je l’invitais à s’agenouiller devant et faire ce qu’elle voulait ensuite. J’avais bien précisé à Dany de garder la robe relevée. Elle posa ses doigts sur les lèvres luisantes avant de les porter à sa bouche puis, n’y tenant plus, elle se jeta sur la chatte offerte de son amie.

Moi, je profitais du spectacle offert par les deux femmes. Je m’approchais un peu d’elles pour caresser la poitrine de Dany, toujours cachée par le portant. Geneviève, me sentant toute proche, posa sa main droite derrière mon mollet, caressa ma jambe et comme je la laissais faire, elle s’enhardit à monter plus haut. Mes cuisses d’abord puis mes fesses. L’avantage du string, c’est que les fesses sont en accès libre pour les caresses. Et elle ne se gêna pas pour explorer mon cul. Les yeux de Dany s’embuèrent quand elle jouit enfin. Contente de son travail, Geneviève leva un regard suppliant vers moi, tout en tirant sur la ficelle qui me rentrait dans les fesses. Je soulevais ma jupe et elle se précipita sur ma fente, la bouche encore luisante des secrétions de Dany.

Elle léchait bien, la coquine, encore mieux que Dany, et ce n’est pas peu dire. Elles avaient dû s’entraîner ensemble et le résultat me garantissait un second orgasme, très fort. Elle ne recula pas la bouche quand je posais ma main sur sa tête au moment de jouir. Encore une fois. La galerie marchande commençait à se remplir et je pris congé de Dany, lui promettant de revenir la voir très souvent. Geneviève en fit autant et me proposa d’aller boire un café pour faire plus ample connaissance.

J’acceptais son offre et nous prîmes place à la brasserie, au fond, sur les banquettes. Je me présentais d’abord, lui précisant que j’étais étudiante à Rennes, que je venais souvent rendre visite à une amie, ici à St Malo, et que c’est au cours de l’une de ces visites que j’ai rencontré Dany, dans son magasin. Geneviève se présenta à son tour. Elle était veuve depuis plus de dix ans. Son mari, huissier de justice, décédé d’un cancer foudroyant, lui avait laissé de quoi finir ses jours tranquillement. Elle possédait un immeuble et plusieurs appartements qu’elle louait via une agence. Cela lui rapportait suffisamment pour vivre. Elle avait eu des aventures après son deuil, des hommes surtout, et quelques femmes, au hasard des rencontres. Jusqu’au jour où elle prit pleinement conscience que tous les hommes qui gravitaient autour d’elle en voulaient à sa position sociale ou plus souvent à son fric.

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