HELENA (03/05)

Elle demanda à Helena de l’accompagner. Quand elle revint, elle était rouge, mais sereine. Inutile de demander ce qui s’était passé. Après le dessert, c’est elle qui prit la parole pour nous proposer d’aller danser. Au dernier étage de l’immeuble, il y avait un club hyper branché. On accepta de la suivre et elle posa sa main sur ma hanche en me laissant passer devant elle. Quand je dis la hanche, ce fut très vite sur ma fesse que sa main se retrouva dès que nous entrâmes dans l’ascenseur. En fait, ce n’était pas si désagréable. Leila était belle, et désirable. Et surtout elle savait ce qu’elle voulait. Et elle l’obtenait très souvent. Ce soir, c’est moi qu’elle voulait, et bien, elle m’aurait. Lol.

Dans le club, nous passons directement au salon VIP et prenons place dans un profond canapé. Helena se rua sur la piste, suivie comme son ombre par Arturo, mon client. Je restais seule avec Leila et je compris que c’était elle, l’héritière, et son mari faisait marcher ses affaires. Elle m’expliqua qu’elle avait craqué sur moi dès notre première rencontre, chez mes premiers clients, à Athènes. Depuis, elle cherchait par tous les moyens à me revoir

C’est pourquoi elle avait commandé un véhicule chez nous en insistant pour que je le livre personnellement. Puis, elle avait prospecté et trouvé des futurs clients potentiels pour que je revienne ici. Je lui dis qu’il était aussi simple de venir me voir à Nice et de passer du bon temps ensemble. Elle fut ravie de ma réponse.

Durant toute la discussion, elle avait gardé sa main sur ma cuisse. Là, elle attrapa les côtés de ma robe et la fit glisser vers le bas, dégageant ma poitrine. Pas de soutif, évidemment. Elle m’embrassa aussitôt pour éviter que je me rebelle. Mais je n’en avais pas l’intention. Ce soir, j’accepterais d’être sa soumise, de me plier à ses exigences.

Elle me pelotait tendrement les seins en m’embrassant, puis, sa bouche descendit sur mes tétons. Douce caresse buccale. Je voyais sur la piste, Arturo très près, collé à Helena, qui en semblait ravie. Quand il lui prit les seins à pleines mains, elle se laissa faire, déjà conquise. Il frottait sa virilité contre le fessier de la jeune fille qui gloussait littéralement. L’alcool, l’ambiance de la soirée, toute sa vie qui changeait, qui évoluait. Grâce à Jacinta, et grâce à moi. Un peu.

Il revint s’asseoir près de sa femme et demanda à Helena de s’allonger sur nous deux, sa bouche au-dessus de sa braguette. Il l’ouvrit et enfourna son gourdin dans la bouche qui n’attendait que cela. Leila en profita pour caresser sa chute de reins, et ses fesses. Moi, je pus entrer ma main sous sa robe et remonter entre ses cuisses. Elle se laissa faire, docile, jusqu’à ce qu’il explose dans sa bouche.

Leila m’entraina sur la piste, m’interdisant de remonter ma robe. C’est donc seins nus que je dansais, face à elle. Elle était ravie de m’exhiber en public. J’étais dans son monde et je me pliais à ses exigences, mais heureuse quand même. Jouer les soumises, de temps en temps, c’est très reposant. Pas de décisions à prendre, juste obéir. On retourna s’asseoir, mais pas longtemps. Arturo pelotait la généreuse poitrine de Helena et Leila les interrompit en proposant de réserver une suite dans l’hôtel qui occupait les étages inférieurs.

Il accepta, Helena et moi ne pouvions que dire oui également. Deux minutes au téléphone et on reprenait l’ascenseur, moi, toujours torse nu. Leila avait passé une main sous mon bras pour attraper mon sein opposé. Elle montrait ainsi à tous que j’étais à elle. Dans l’ascenseur, puis dans le couloir menant à la suite, Arturo caressait discrètement les fesses de mon amie.

Dans la chambre, tout le monde se déshabilla les uns les autres. Leila fit glisser ma robe complètement et c’est en bas et string que je la mettais nue à son tour. Je défis son soutif pour libérer ses seins et en m’accroupissant, je descendis son string. Je plongeais entre ses cuisses pour notre plus grand bonheur à toutes les deux.

Je sentis le lit bouger au rythme des coups de bite d’Arturo dans la chatte ouverte de la jeune grecque. Il s’effondra et c’est Leila qui nettoya la jeune fille avec sa langue. Elle poussa Helena entre mes cuisses et je pus jouir enfin à mon tour.

Pour finir, c’est Helena et moi qui fîmes jouir Leila une nouvelle fois, Helena entre ses cuisses et moi lui tétant les seins avec passion. Arturo assistait au spectacle en se masturbant, avant d’éjaculer sur les fesses d’Helena. Puis il se rhabilla pour aller régler la suite, nous laissant prendre une douche bienfaitrice.

Ils nous raccompagnèrent à notre hôtel et, en se quittant, je promis à Leila de la prévenir chaque fois que je reviendrais à Athènes. Une bonne nuit de sommeil nous fit le plus grand bien.

Le lendemain, je me réveillais avec Helena entièrement nue à mes côtés. La couette au pied du lit. Il était tard, déjà, 9 heures je crois, et je fus étonnée d’entendre frapper à la porte. Je me levais juste en string et entrouvrit la porte. La vendeuse de la boutique était là, les yeux baissés.

« Vous m’aviez demandé de venir, … rechercher ma culotte ». Dit-elle timidement.

J’ouvris la porte en grand pour la laisser passer. Elle me découvrit presque nue et rougit de plus belle. Une fois entrée, c’est Helena, complètement nue elle, qu’elle put apercevoir dans toute sa beauté. Elle restait là, figée au pied du lit, en admirant les courbes d’Helena.

 » Je m’appelle Emma, elle, c’est Helena. Et toi ? »

Sans se tourner vers moi, elle répondit.

« Kaïna, je m’appelle Kaïna ».

 » Tu es venue rechercher ta culotte, et donc, tu n’en portes pas ».

J’étais derrière elle et soulevais sa robe pour vérifier. Effectivement, elle était nue, de bien jolies fesses bien rondes. Je laissais retomber le bas de sa robe pour défaire le zip. Hypnotisée par les courbes de Helena, elle se laissait faire. Sa robe, puis son soutif. La voilà nue, comme nous.

 

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