Je ne l’imaginais pas sortir sans culotte, surtout que je devinais aisément le soutien-gorge qui maintenait sa poitrine fabuleuse. Je voyais fort bien la tempête qui devait se manifester dans sa tête. Devait-elle accepter les caresses venant d’une jeune fille qu’elle connaissait à peine ? Devait-elle tout accepter de la part de cette même jeune fille qui semblait encore mineure ? Jusqu’où était-elle capable de se laisser manipuler, caresser, peloter ? Elle se rappelait très bien les petites mains caressant sa poitrine, tandis que l’homme la baisait magnifiquement. Jamais avant cela, elle n’avait ressenti pareil plaisir, un tel orgasme que n’importe qui aurait pu arriver, elle s’en foutait totalement.
Un de ses collègues ? Il l’aurait certainement baisée à son tour. Une femme ? Peut-être que, elle aussi, serait venue jouer avec sa poitrine, avec ses mains, avec sa bouche.
Elle ne pouvait répondre à toutes ces questions mais, si son esprit se posait ce genre de questions, son corps, lui, réagissait favorablement aux caresses et ses cuisses s’écartaient toutes seules. Pour tenter de reprendre un peu d’ascendant sur la jeune fille, elle se racla la gorge et posa enfin la question qui lui brûlait les lèvres depuis leur rencontre.
« L’homme, avec toi, hier. C’était ton père ? »
Elle me regardait droit dans les yeux, fière d’elle, mais elle les referma immédiatement lorsque mon doigt trouva son clito par-dessus sa culotte. Elle s’abandonna alors complètement, les bras ballants, la tête rejetée en arrière sur le dossier du canapé. Je grattais gentiment son petit bouton mais mon autre main avait commencé à dégrafer son chemisier. Pas un seul geste de défense, de refus. Alors je continuais jusqu’à apercevoir son splendide décolleté, un soutien-gorge pigeonnant qui mettait parfaitement en valeur sa fabuleuse poitrine. Tous les boutons étaient défaits. Sa poitrine merveilleusement bien exposée à mon regard. Je cessais d’un coup mes caresses, sans rien dire.
Il se passa très peu de temps avant qu’elle ne réagisse. Des gémissements tout d’abord, elle ouvrit ses cuisses encore plus, croyant que je n’avais pas accès à toute son intimité. Puis, sans même ouvrir les yeux, ses mains habiles dégrafèrent le soutien-gorge et elle se débarrassa de son chemisier. La voilà torse nu, offerte de nouveau à mes caresses. Je remontais sa jupe jusqu’à la taille pour voir sa culotte, que je baissais sans lui demander son avis. Elle souleva elle-même ses fesses pour dégager son sous-vêtement. C’est ma bouche qui entra la première en action, sur son téton érigé. Puis ma main entre ses cuisses, écartant ses lèvres intimes.
Elle était déjà très chaude, Carole, et je pénétrais un doigt, puis deux au fond de sa chatte dégoulinante. Elle était entièrement à ma merci, ouverte à tout pourvu qu’elle y trouve son plaisir. Je portais mes doigts trempés à sa bouche qu’elle ouvrit sans peine. Elle lécha mes doigts imprégnés de son propre nectar. Elle semblait aimer cela. Elle m’avoua plus tard que c’était la première fois pour elle, avec une autre fille, et tout ce qu’on avait fait ensemble. Je goûtais moi aussi à son jus d’amour et je décidais d’aller me servir directement à la source. Du producteur au consommateur.
Je m’agenouillais entre ses cuisses et posais ma langue sur ses lèvres intimes, débordantes de bon jus. C’est vrai qu’elle était délicieuse, c’était un peu différent qu’avec Chloé ou Alysson, mais c’était vraiment bon. C’est en goûtant à cette chatte plus âgée que moi qu’il me vint l’envie de goûter à ma propre mère. Je suis presque certaine qu’elle appréciera énormément, même si elle sera réticente la première fois. Carole avait relevé ses pieds sur le bord du canapé, elle se tenait les chevilles ce qui faisait qu’elle était totalement offerte et soumise. Vue ma position, je rentrais facilement deux doigts en elle, auxquels j’ajoutais un troisième. Je la baisais ainsi, parfois doucement, d’autres fois plus sauvagement mais elle semblait aimer l’une et l’autre méthode.
Mon petit doigt vint rejoindre les autres et elle ouvrit des yeux ébahis en sentant cette chose énorme qui prenait possession de son corps, de son vagin. Une idée folle me passa par la tête et je ne pus m’en débarrasser. Mon pouce tenta de rentrer lui aussi et il trouva sa place. J’allais et venais gentiment mais, si je forçais un peu, c’est ma main entière qui serait avalée. Je la vis souffler très fort en tentant d’expulser mes doigts mais, en relâchant son effort, c’est l’effet inverse qui se produit et ma petite main a été aspirée toute entière au fond de son ventre. J’étais en elle et, si j’ouvrais mes doigts, je pouvais caresser ses parois internes. Je la laissais quelques instants s’habituer à l’intrus puis je recommençais à aller et venir en elle.
Poing fermé maintenant, je la martelais de plus en plus fort, de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Elle a joui intensément une nouvelle fois, expulsant énormément de cyprine ce qui a permis de faire coulisser plus facilement mon avant-bras en elle. Je continuais à la baiser très rapidement jusqu’à un nouvel orgasme volcanique. Ses yeux brillaient de mille feux, sa voix était devenue rauque, comme celle de la jeune fille dans « L’Exorciste ». Elle semblait littéralement possédée, mais par un gentil démon. Un nouveau monde de plaisir s’ouvrait face à elle. Elle avait connu des hommes, évidemment, et les plaisirs solitaires, comme tout un chacun. Là, c’était une femme, une enfant presque, qui lui faisait découvrir un tout nouvel univers.
J’avais pris énormément de plaisir à la regarder jouir, à savoir que c’était moi qui l’avait faite jouir aussi intensément. Elle s’est levée dès qu’elle a pu le faire, dégrafant sa jupe qui tomba au sol. Elle était nue devant moi, un regard malicieux. C’est alors qu’elle s’est agenouillée entre mes cuisses, qu’elle a elle-même écartées. Je voyais bien qu’elle hésitait, que c’était sans doute sa première fois avec une femme. Mais elle a avancé son visage vers mon intimité qu’elle a goûtée du bout de la langue. Cela a dû lui plaire beaucoup car elle a recommencé, encore et encore. J’ai décidé de baisser ma culotte pour lui offrir l’intégralité de mon intimité, tout comme elle m’avait offert la sienne. Je me livrais corps et âme à cette bouche vorace. Quand j’ai pu saisir ses mains, qu’elle ne savait pas trop où mettre, je les ai posées sur mes seins qu’elle a pelotés immédiatement.