Céline soumise (12/18)

C’est la première fois qu’il osa poser ses mains sur les gros seins. Elle le regarda bizarrement, comme si elle était prête à le mettre dehors pour son audace. Il continuait à peloter ses gros seins quand elle fit une chose qu’il n’attendait plus. Elle ouvrit carrément son corsage, lui offrant une vue imprenable sur sa voluptueuse poitrine. Elle ne tarda pas à détacher l’agrafe, dans son dos, pour qu’il puisse jouir entièrement de cette poitrine qu’elle lui offrait. Il avançait toujours, elle reculait jusqu’à ce qu’elle se trouve bloquée par son lit. Il la renversa en arrière, souleva sa longue jupe avant de replonger sur son imposante poitrine.

Elle avait écarté ses cuisses, pour mieux l’accueillir, le sentir contre elle. Elle n’a nullement résisté lorsqu’il a baissé son pantalon. Il savait exactement ce qu’il voulait, et ce qu’elle désirait. Il l’a pénétrée lentement, sans cesser de la regarder, droit dans les yeux. Il prenait possession de son corps autant que de son âme. Elle était totalement écartelée au moment où il se trouva au plus profond de son vagin. Sa queue palpitait, ressentant toutes les pressions subies par les muscles internes. Puis il commença à bouger, doucement au début, prenant tout son temps. Il a joui rapidement en elle mais il est resté planté bien au fond de cette femme si accueillante.

Il n’avait toujours pas débandé et put donc l’honorer une deuxième fois. Cela dura bien plus longtemps que la première fois. Malgré son poids, sa taille et son âge, la femme se sentait transportée, soulevée du sol, perdant pied avec la réalité. Le jeune homme revint très souvent chez sa maîtresse, celle qui lui avait presque tout appris. Jusqu’à ce que ses parents déménagent, l’emmenant avec eux, évidemment, dans la capitale. Il ne revit jamais cette chère voisine mais son souvenir reste gravé au fond de son cœur. Juan Carlos retourna dans sa chambre, rejoindre son épouse, avec la vision du corps nu de sa petite sœur, et le souvenir de sa première expérience avec une femme.

Le lendemain, le rituel recommença dans la chambre d’Océane. Toujours le même. Mais, avant de quitter la villa, elle donna une dernière consigne à sa tante. Celle-ci écouta, horrifiée, ce que sa jeune Maîtresse lui imposait. Elle était déconcertée, mais elle savait déjà qu’elle obéirait sagement, malgré sa pudeur une nouvelle fois mise à l’épreuve. Océane la rappela juste quelques minutes avant d’arriver chez elle, le soir-même. Linda se positionna immédiatement derrière la porte d’entrée et souleva sa jupe jusqu’au-dessus de sa tête.

Elle entendit la porte s’ouvrir, se refermer presqu’aussitôt. Océane était entrée, c’était certain, et elle restait là, immobile, à l’observer. En respectant les consignes qu’Océane lui avait précisé, le matin même, elle avait ôté sa culotte et c’est donc son intimité intégrale qu’elle exposait à sa jeune Maîtresse. Elle l’entendait respirer, tout près d’elle et cela l’excitait encore plus. Elle avait fermé les yeux car, de toute façon, elle n’aurait rien pu voir à travers le tissu de sa jupe. Elle ressentit un mouvement, près d’elle, sa Maîtresse qui se déplaçait sûrement. Mais alors, elle ne comprenait plus.

Elle la sentait bien, derrière elle, qui respirait fort. Pourquoi entendait-elle une autre personne qui respirait profondément aussi, mais face à elle ? Océane aurait-elle fait entrer une autre personne ? Un homme ? Ou bien un garçon de sa classe ? Linda frissonna encore plus de s’exhiber devant un, (ou une), inconnu. Elle tremblait de peur, de tout ce qui pourrait arriver. L’usage intensif des téléphones portables permettait de prendre des photos et des vidéos. Que sa Maîtresse pourrait diffuser sur Internet ! Linda garda les yeux bien fermés, et la jupe relevée bien haut. Elle ne voulait pas savoir, ne rien voir. Mais elle acceptait déjà tout ce que sa Maîtresse pourrait exiger d’elle. Le silence était pesant, inquiétant, mais la soumise gardait la position demandée. Elle se sentit libérée lorsqu’Océane rompit enfin le silence.

« Tu vois, Céline. Je t’avais bien dit qu’elle était disposée à faire TOUT ce que je lui demandais. Et maintenant qu’elle sait que tu es face à elle, je suis certaine qu’elle doit mouiller énormément. Vérifie ça immédiatement. »

Linda se prépara mentalement à recevoir les caresses d’une autre femme, une jeune fille en l’occurrence. Cette même jeune fille qu’elle avait surpris entre les jambes d’Océane. C’était l’événement qui avait tout déclenché, celui qui l’avait poussée à faire du chantage à sa jeune nièce, avant que cela ne se retourne contre elle-même. Une jeune fille, c’était moins grave qu’un jeune garçon. Et celle-ci, elle l’avait déjà rencontrée. Elle était prête à la laisser faire ce qu’Océane lui avait ordonné. À savoir, vérifier si elle était excitée. De savoir que cette petite main allait visiter son intimité, cela ajouta encore à son état d’excitation. Et oui, elle était bel et bien trempée.

Céline s’exécuta sans rechigner. Elle aussi était très excitée devant ce corps de femme adulte, offerte. Elle trouva évidemment une chatte trempée, odorante à souhait. Elle porta ses doigts à sa bouche pour les lécher, avant de replonger à la source. Océane s’était saisie des seins de sa soumise et la pelotait hardiment. Tout cela ne faisait qu’augmenter l’excitation des unes et des autres. Plutôt que de mettre ses doigts pour ensuite les lécher, Céline s’agenouilla religieusement devant les cuisses de Linda. Elle avança timidement sa bouche, sortit sa langue avant de commencer à lécher cette fente odorante et pleine de promesses.

La femme, malgré toute sa volonté de prolonger ce moment inoubliable, ne put retenir ses effluves. Elle inonda le visage de la jeune fille qui continua néanmoins à lécher et à boire tout ce qu’elle pouvait. Elle avait le visage encore tout barbouillé par la cyprine de Linda lorsqu’elle se releva enfin. C’est Océane, vu qu’elle dirigeait tout, qui entraina sa tante vers sa chambre, suivie bien évidemment par Céline. Celle-ci reçut l’ordre de déshabiller Linda et elle le fit immédiatement avec grand plaisir. Sur le conseil d’Océane, Linda déposa un drap de bain sur son propre lit, avant de s’allonger dessus, bras en croix et cuisses largement ouvertes. La soumise était totalement offerte à ce qui allait suivre, le rasage de son pubis.

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