« Madame Emma, j’ai adoré comment vous m’avez traitée, ce matin. Et quand Monsieur Michel m’a prise, quel pied ! Madame Emma, sachez que je serais toujours à votre disposition si vous avez besoin. Surtout si vous continuez à me traiter comme votre chienne ».
Je réfléchis un instant et, comme elle allait sortir, je l’interpellais.
« Vraiment tout ce que je souhaite ».
« Oh oui, Madame « .
Un vrai cri du cœur.
« Alors, à genoux, petite chienne. Aux pieds de ta maîtresse ».
L’empressement qu’elle mit à obéir ne laissait aucun doute. C’était une soumise tout au fond de son âme. Je la guidais pour se positionner sous mon bureau et j’écartais les cuisses en grand. Nul besoin de consignes à partir de là. Elle comprit ce que j’attendais d’elle, et s’en acquitta fort bien. Ce n’était certainement pas la première chatte qu’elle léchait. J’eus deux orgasmes sous ses caresses buccales et, la laissant sortir enfin, j’entrais ma main dans son décolleté tandis qu’elle restait à mes pieds. Quel bonheur de caresser une si belle paire de seins.
Impossible de retravailler après son départ, aussi je décidais de rentrer chez moi prendre une douche avant mon rendez-vous avec Jenny. Et me changer également. J’arrivais donc à son hôtel peu après 17 heures et j’allais directement au bar, lieu de notre rendez-vous. Je commandais un Get 27, comme toujours et je commençais à mater les filles, femmes, qui entraient et sortaient.
Jenny arriva juste après 17 heures 30. Elle me repéra facilement et s’approcha gracieusement. Elle se pencha en avant pour me faire la bise, m’offrant une vue imprenable sur ses jolis seins.
« Tu portes une culotte ? Enlève-la tout de suite. Ici »
Elle se dandina sur place, regardant de droite ou de gauche si personne ne l’observait. Elle réussit à faire glisser sa culotte et la déposa dans ma main avant de s’asseoir. Troublée, les joues toutes rouges, elle était resplendissante. Après avoir commandé, on parla un long moment afin de mieux se connaître. Plus tard, je lui pris la main pour retourner dans ce petit resto sympa. On y retrouva Annabelle qui, comme la veille, nous plaça dans un endroit discret de la salle. Elle nous offrit un kir pêche et revint prendre la commande. Avec la complicité de Jenny, je lui avais préparé un gentil piège.
Je me levais et me plaçais juste derrière elle, bien serrée. De loin, personne ne pouvait deviner ce qui se passait là. Elle était juste à portée du bras de Jenny qui s’engouffra sous sa jupe. À sa réaction, je sus immédiatement quand les doigts atteignirent leur but. Elle avait d’elle-même écarté les cuisses, donnant le meilleur accès possible à sa tourmenteuse.
Je n’étais pas en reste non plus et mes mains remontèrent de sa taille vers sa volumineuse poitrine. Elle s’abandonnait totalement sous nos caresses. Quel bonheur pour moi de peloter librement cette magnifique poitrine, légèrement plus petite que celle de Fanny mais largement plus imposante que la mienne ou celle de Jenny. Elle tourna les yeux vers moi, dans lesquels je pus lire toute la reconnaissance qu’elle me portait, avant de m’offrir ses lèvres au moment de jouir enfin. Elle était totalement abandonnée à nos caresses.
Elle se remit doucement de son orgasme, puis retourna servir les autres clients. Elle revint nous voir plusieurs fois et, chaque fois, elle se plaçait près de Jenny qui en profitait pour la caresser tendrement. Pour notre seconde soirée, Jenny était pressée de retourner à son hôtel. Elle voulait me présenter ses « jouets ».
Sur le chemin du retour, un » sans-abri », qui squattait sur le trottoir, eut le plaisir d’apercevoir sa chatte quand elle s’arrêta devant lui et que je soulevais sa robe. Nous avions fait un heureux, ce soir, un de plus. Arrivées dans sa chambre, Jenny ôta sa robe immédiatement. Je pris plaisir à lui ôter son soutif, et à caresser sa poitrine que j’adorais, bien que menue.
Elle sortit une mallette de présentation, je devrais dire, presque une valise. Dedans, des godes de toutes sortes, des vibros, des stimulateurs clitoridiens, des menottes, des pinces à seins de différentes sortes. Une véritable caverne du plaisir. Et un appel à les utiliser, sur elle, sur moi. Et on les essaya, presque tous, le clou de la soirée, de la nuit plutôt, fut quand elle m’enfila le gode ceinture et qu’elle me dit:
« Baise-moi, maintenant. Comme une chienne. Comme TA chienne ».
Alors, je l’ai prise violemment, comme Michel avait baisé Fanny. Et elle adorait ça, se faire prendre de cette manière. Pour la première fois, j’étais un homme qui baisait sa pouliche, obéissante. Comme tant d’hommes m’avaient baisée auparavant. Tantôt tendrement, tantôt plus sauvagement, mais toujours dans le respect. C’était pour moi, une révélation. Je dominais cette femme splendide et la rendais heureuse avec mes coups de » bite ».
J’étais un homme, tout en restant femme. Je me sentais parfaitement à ma place. Celle de dominante. Comme j’avais ressenti avec Fanny d’abord, avec Jenny et Annabelle ensuite. C’était moi qui décidais comment et quand et avec qui elles devaient jouir. Je devenais maîtresse de leur jouissance. Et j’en mouillais autant qu’elles.
Le célèbre Marquis de Sade disait :
« Ce n’est pas dans la jouissance que consiste le bonheur, c’est dans le désir, c’est à briser les freins qui s’opposent à ce désir ».
Ces freins, je venais d’en briser quelques-uns depuis deux jours. Et ce n’était qu’un début. Les voisins de sa chambre n’ont pas dû bien dormir cette nuit-là. Au lever du jour, on prenait notre douche ensemble, prétexte à de nombreuses caresses encore.
Je la laissais finir de se préparer et je rentrais chez moi pour me changer. Jenny devait retourner chez elle le soir même mais je l’avais convaincue de rester le week-end avec moi. Je devais revenir la chercher en voiture en fin d’après-midi.
Arrivée au bureau, je checkais mon emploi du temps pour me rendre compte que je pouvais prendre mon après-midi. Fanny entra et s’approcha de moi. Son air de soumise, les yeux baissés, me ravit. Elle portait une minijupe et un tee-shirt que je relevais pour dévoiler sa poitrine, et son joli soutif qui l’habillait.
Je commençais à caresser ses tétons qui pointaient sous le tissu quand Denis entra à son tour.
« Entre, Denis. Tu ne me déranges pas du tout ».
Fanny frissonna entre mes doigts en entendant qui venait d’entrer, mais ne tenta pas de se dérober à mes caresses. Bien au contraire. Elle tendit son joli cul vers le nouvel arrivant. Il courrait une rumeur, elle la connaissait certainement aussi, comme quoi la nature l’avait bien gâté. Je pus le vérifier peu de temps après. Fanny surtout.
Il releva la minijupe et lui ôta son string, suivant mes consignes. Il la caressa longuement avant d’enfiler un préservatif et la pénétrer d’un seul coup de reins. Fanny, le cul tendu vers lui, le torse à hauteur de ma bouche. Je happais ses tétons, l’un après l’autre, tandis qu’il la baisait avec des mouvements amples et réguliers. Et elle prenait son pied, la salope.
Elle dut se mordre la main pour ne pas hurler son plaisir. Il ressortit comme il était entré et se rajusta avant de se rendre aux toilettes. Laissant la porte entrouverte, et Fanny le cul à l’air. Jean-Pierre, JP entre nous, l’aperçut par la porte et entra à son tour. Mes trois collègues, vendeurs, après l’avoir vue presque nue, voulaient profiter de son corps.
« Entre, JP. Et referme la porte ».
» Il te plaît, son petit cul? »
Son regard en disait assez long, plus que des mots.
Je lui ordonnais de lui masser son cul, son anus, de bien la préparer s’il voulait la prendre ainsi. Et il ne se fit pas prier. Lui qui, en regard de son âge, refusait souvent mes consignes de travail, sous prétexte que j’étais trop jeune, trop femme, et surtout la fille du patron, ne se fit pas prier pour se mettre à genou derrière le cul que je lui offrais. Il la doigta avant de glisser sa langue au plus profond de son intimité.
Fanny me suppliait du regard, elle le voulait en elle. Il choisit un préservatif, nervuré, dans mon tiroir et se prépara à l’enculer. D’abord le gland, qui entra comme dans du beurre. Puis doucement jusqu’à mi- longueur. Enfin, il arriva au fond et patienta quelques instants avant de se lancer dans une cavalcade effrénée. Accroché à ses hanches, il lui labourait le cul. Il jouit rapidement en elle et ressortit, tout penaud de ne pas l’avoir faite jouir.
« Laisses-nous, maintenant. Je vais m’occuper personnellement de son bonheur. Et referme la porte ».
Mes doigts sur son clito, et ma bouche sur ses tétons, eurent tôt fait de la faire jouir une nouvelle fois. Pas un cri, cette fois. Le summum du plaisir n’a pas toujours besoin de s’exprimer. Je l’invitais à revenir me voir en fin de matinée pour récupérer son string. Qu’elle garda dans sa main. Je lui souhaitais un bon week-end et rentrais chez moi, pour quelques instants de calme.
Ces quelques heures me firent le plus grand bien. Je ne savais plus qui j’étais vraiment et surtout où j’allais. Ce dont j’étais sûre, c’est que je voulais vivre un week-end inoubliable avec Jenny. Je partis bien avant l’heure pour être sûre de trouver une place de stationnement, tout près de son hôtel. Jenny était déjà au bar de l’hôtel où elle souhaitait bon courage à ses collègues de séminaire. Elle prit congé aussitôt qu’elle m’aperçut dans le hall.
Arrivées chez moi, je me jetais sur elle pour la déshabiller entièrement, puis je me mettais nue à mon tour. On resta ainsi, nues, tout le week-end. Et je profitais de son corps généreux, et elle du mien. On se fit jouir à tour de rôle, jusqu’à l’épuisement total. Avant de recommencer dès que l’une se réveillait. Nos corps ont été explorés sous tous les angles, par des doigts, des bouches, des lèvres avides, et toutes sortes d’objets de plaisir. Notre cyprine coulait à flots ininterrompus, tantôt l’une, tantôt l’autre.
Quand je l’ai accompagnée à la gare, bien obligé de nous habiller enfin mais impossible de porter une culotte, ni elle, ni moi. L’air frais s’infiltrant sous nos vêtements fit du bien à nos intimités maltraitées par tant de caresses. Nous avons échangé nos téléphones et adresses. J’ai ouvert spécialement pour elle, un compte sur Facebook, pour garder le contact via Messenger. Depuis, nous correspondons régulièrement, et j’ai hâte de pouvoir enfin aller lui rendre sa visite.