Soumise (02/14)

Je n’ai pas souvenir d’avoir ressenti autant de plaisir lors de mes pelotages d’adolescente. Je dois dire que j’avais très peu d’expérience. Seul un garçon m’avait pelotée, la poitrine uniquement, avant que je ne rencontre celui qui deviendrait mon mari, et le père de Céline. Et lui, ce qui l’intéressait principalement, c’était de se vider les c…..s, dans ma chatte, ou dans ma bouche parfois.

Je devenais folle sous les caresses d’Océane. Il faut dire qu’elle savait y faire. Si jeune et déjà terriblement douée ! Je sentais le plaisir qui commençait à monter en moi. J’avais beau serrer les cuisses, mon jus d’amour n’allait plus tarder à couler. Et plus je serrais les cuisses, plus la sensation devenait insoutenable. Je finis par me laisser aller, écartant carrément les jambes.

La vague de plaisir qui me submergea alors était sans commune mesure avec ce que j’avais connu avec mon mari. Même si cela faisait longtemps, je n’aurais jamais oublié une telle sensation. Tous mes sens étaient en éveil. Je regardais ma fille sur son fauteuil, elle semblait s’être endormie et je préférais qu’elle ne sache rien. Le salon était empli du parfum de mon plaisir, je ne pouvais nier l’évidence.

J’entendais une respiration lourde, saccadée. Céline dormait, Océane ne bougeait presque pas. Et nous n’étions que trois, dans ce salon. Il me fallut un certain temps pour comprendre que c’était moi qui tentais de reprendre mon souffle. Le tissu frottait délicieusement sur mes tétons, les rendant plus rigides que jamais. Et ma culotte me semblait trempée.

Je restais inerte dans cette position insensée, ouverte à toutes les folies. Je savais que, désormais, j’accepterais n’importe quoi, si elle le demandait. Même sans parler, un geste, un sourire, je lui étais soumise. Mais tout cela, je ne l’ai compris que plus tard.

Le film était fini et un spot publicitaire débuta. Comme toujours, le son des pubs était beaucoup plus fort, ce qui réveilla Céline. C’est Océane qui me prit de court en disant.

« Tu devrais aller te coucher, maintenant. Je te rejoins très vite ».

Comme un robot, Céline se leva, un vague signe de tête pour dire bonsoir et elle monta dans sa chambre. Océane se redressa enfin, saisit la télécommande pour éteindre la télé. Dans un silence profond, ses paroles me firent comme un électrochoc, autant que la douleur que j’éprouvais quand elle pinça mon téton durement.

« Je veux tout voir, maintenant ».

De surprise, je m’étais levée mais je restais face à elle, la défiant du regard. Mais le combat était perdu d’avance. Simplement, je ne le savais pas encore. Je ressentais une très forte envie de lui obéir, mais ma conscience résistait encore un peu. Pas très longtemps. Sans la quitter du regard, mes doigts se crispèrent sur le tissu, pour commencer à le relever.

J’étais folle mais je ne pouvais qu’obtempérer. Elle put voir ma culotte, mon ventre, ma poitrine enfin dénudée. Je jetais le tee-shirt près d’elle, sur le canapé, attendant la suite.

« J’ai dit TOUT ».

Je ne comprenais pas immédiatement. Elle bougea sur le canapé, prête à se lever. Comme une automate, je finis par descendre ma culotte également, livrant à ses yeux ébahis, mon intimité la plus secrète. Je n’osais même pas cacher mon sexe humide derrière mes mains, sachant que je devrais les enlever sous son regard noir.

Justement, son regard. Il avait changé. Elle me souriait, heureuse sans doute d’être parvenue à ses fins. Elle m’observait et c’est bien de l’admiration que je voyais dans ses yeux. Elle semblait hésiter à me toucher, repoussant l’inéluctable.

Car je savais que ses mains allaient finalement se poser sur moi. Je le redoutais, ignorant quelles seraient mes réactions. Mais en même temps, je l’attendais impatiemment. J’étais devenue en quelques instants sa chose, son jouet. Tout retour en arrière était parfaitement impossible, inacceptable.

Enfin, sa voix. Juste quelques mots qui me transpercèrent le cœur.

« Mais c’est une vraie forêt vierge, ici ».

Et ses petits doigts effleurèrent ma toison que je n’entretenais plus depuis des années. Je me remis immédiatement à couler et Océane ne pouvait l’ignorer. Mes cuisses devaient briller de cyprine et l’odeur devait être facilement décelable. J’étais debout et elle était toujours assise. Juste à la bonne hauteur.

Dans ma tête se battaient deux personnalités opposées. L’une, adulte, responsable, qui refusait de donner son corps à une toute jeune fille de l’âge de sa propre fille. L’autre, la femme délaissée depuis trop longtemps et qui rêvait de sexe débridé, d’orgasmes à répétition. De plaisir à perpétuité. La femme semblait emporter la mise, retenue toute fois par l’adulte qui l’empêchait, par exemple, de se jeter aux pieds de sa nouvelle maîtresse et lui crier son dévouement total.

Vu sa position, debout, jambes écartées, et sa tenue, entièrement nue, le combat était perdu d’avance. Mais l’adulte ne renonçait pourtant pas, refusant de laisser la femme, animal en manque d’amour, de sexe, livrer ce corps qui leur appartenait, à toutes les deux.

C’est bien évidemment après coup que j’ai pu analyser cette situation, ce conflit permanent entre le bien et le mal. Dans mon salon, à ce moment précis, j’étais debout, jambes écartées, entièrement nue, offerte aux regards de la jeune amie de ma fille que je voyais, ce soir, pour la première fois.

Jeune fille qui était assise … Non, elle n’y était plus. Perdue dans mes pensées contradictoires, je ne l’avais pas vue se lever. Je sentais sa présence dans la pièce, derrière moi. Elle devait admirer mon dos, mes fesses, moi habituellement si pudique, je me livrais totalement. Sa voix résonna de nouveau, douce et calme, me demandant de me tourner face à elle. Lentement. Ce que je fis, sans hésiter.

Je l’aperçus de nouveau, mais je mis du temps à comprendre qu’elle me filmait avec son téléphone. Loin de m’en offusquer, comme j’aurais dû, cela me remplit de joie. Mon corps, plus tout jeune, semblait l’intéresser au plus haut point. J’étais fière et bombait encore plus le torse, faisant saillir encore plus ma poitrine et mes tétons tendus vers elle.

Elle apprécia mon geste avec un sourire resplendissant. Quitte à jouer, je continuais en mettant mes mains sous mes seins pour les lui offrir, comme une offrande. Elle ne put résister plus longtemps, posa son téléphone et vint embrasser enfin mon téton gonflé qui n’avait jamais été à pareille fête. Pas de jaloux, mes deux tétons furent gobés, sucés, aspirés.

 

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