Mary-Lou (05/17)

Elle sautait littéralement de joie en retournant voir Dylan pour lui annoncer la bonne nouvelle. Il commençait à se faire tard et je rassurais Jordan, comme Dylan. Ils pourraient se voir autant qu’ils le souhaitaient. Chez Jordan ou bien chez mes parents. C’est Dylan lui-même qui souhaita annoncer à ses grands-parents qu’il avait une petite sœur, plus jeune d’un an. Et qu’il avait enfin rencontré son papa. Et qu’ils allaient venir le lendemain pour profiter de la piscine. Il retourna dans sa chambre finir ses devoirs. Excité par tant de nouveautés, il monta se coucher très tôt, ce soir-là. Pour être en pleine forme le samedi. La soirée télé, je la passais entre mes parents, sur le canapé. Mais j’avoue que je n’ai rien suivi du programme qui était diffusé. Entre les caresses de l’un et de l’autre, je suis restée en extase jusqu’à ce que l’on aille se coucher. Dans leur chambre, bien sûr. Je fus une nouvelle fois comblée au-delà de tout par mon papa, puis par maman. Pour finir, avant de nous endormir, c’est maman qui a été l’objet de toutes nos attentions, jusqu’à l’extase finale.

Le lendemain matin, nous avons pris notre douche toutes les deux et c’est là qu’elle m’a dit qu’elle avait revu Bernadette, la maman de Maggy. Elle m’a raconté cette première entrevue pendant que nous déjeunions. Bernadette avait été évidemment très surprise de la voir sonner chez elle. Elle lui avait ouvert avec grand plaisir, lui expliquant qu’elle ne voyait presque plus personne depuis que son mari était décédé. Maman s’était excusée mais elle n’avait pas été mise au courant avant la semaine dernière de son malheur. Elles étaient assises toutes deux sur un canapé confortable, Bernadette gardait les jambes serrées et les yeux baissés.

« Oui, un grand malheur. Et depuis, je vis seule, comme une bête abandonnée.  »

Elle semblait vraiment triste, et sincère. Maman n’a pas pu résister à la prendre dans ses bras pour la consoler et l’assurer de son amitié. Elle lui promit même de revenir la voir souvent. Bernadette semblait apprécier énormément ce contact et elle se serra encore plus contre son amie. Un peu trop, sans doute. Maman commença à avoir des doutes et, pour vérifier, elle posa une main sur le genou. Elle remonta la longue jupe pour être directement en contact avec sa peau. Ce n’était plus un geste anodin, cela devenait une vraie caresse et Bernadette se laissait faire. Maman glissa sa main un peu plus loin entre les cuisses qui s’écartèrent comme par magie. Si elle l’avait voulu, elle aurait pu atteindre la culotte et la chatte qu’elle imaginait déjà en feu. Elle quitta les cuisses, en laissant la jupe relevée, pour s’attaquer à sa poitrine volumineuse. La main sur la taille remonta très vite près du sein, sans vraiment vouloir le caresser. Elle le pressait sur l’autre, le faisait tressauter. Bernadette acceptait tout ce que maman lui faisait, sans pour autant tenter de lui faire pareil. Elle voulait être caressée, dorlotée. Maman s’écarta un peu pour la fixer droit dans les yeux. Sa main gauche soupesait désormais son sein droit. Elle vit, dans son regard, à quel point elle appréciait ce contact et maman posa son autre main sur le sein gauche.

Elle les pressa l’un contre l’autre, les faisant monter et descendre au gré de ses envies. Ses pouces jouaient avec les tétons qui devenaient vraiment durs. Puis, sans raison, elle retira ses mains, tout en la fixant dans les yeux. Bernadette émit une sorte de feulement d’animal blessé. Elle tendit elle-même sa poitrine en avant pour que maman reprenne sa divine caresse. Maman savait depuis longtemps qu’elle avait gagné mais elle voulait la pousser à bout, de façon à ce qu’elle accepte tout. Elle repoussa Bernadette contre le dossier du canapé. Surprise, celle-ci avait dû écarter ses cuisses pour se rattraper et sa jupe était désormais remontée très haut sur ses cuisses. Maman commença à déboutonner son chemisier. Bernadette bougeait la tête de droite à gauche en répétant inlassablement.

« Non, non, non, il ne faut pas … »

Mais elle ne luttait plus face aux doigts agiles. À chaque bouton défait, maman écartait les pans du tissu, dévoilant ainsi sa lingerie, pas aussi sage qu’on aurait pu l’imaginer. Un soutien-gorge en dentelle apparut petit à petit aux yeux de maman. Elle dut dégager le bas du chemisier de la taille, encore enserré par la jupe. Bernadette était presque torse nu, exposée aux yeux de maman. Elle attendait impatiemment la reprise des caresses mais elle dût patienter encore un peu. Maman avait une dernière consigne à lui donner, et pas des moindres. Sur un ton qui ne supportait pas de réponse négative, elle lui ordonna.

« Dégrafe ton soutien-gorge. Maintenant.  »

Le combat contre elle-même, dans son esprit, prit de l’ampleur au-delà de l’imaginable. Se laisser faire, se laisser caresser, déshabiller, c’était une chose qu’elle avait accepté, un peu contre son gré. Mais le faire elle-même, se livrer à une autre, c’était impossible pour elle il n’y a pas si longtemps. Mais là, elle était prise au piège par ses envies. Se rhabiller et demander à son amie de partir, c’était inconcevable. Elle n’avait plus le choix. Elle voulait jouir intensément sous les caresses de sa complice. À n’importe quel prix. Alors, malgré elle, malgré toutes ses réticences, ses mains passèrent dans son dos pour défaire l’attache du sous-vêtement. Elle avait oublié tous ces beaux principes, ceux qui dirigeaient sa vie depuis des années.

Son corps de femme venait de s’éveiller à la vie, la vraie. Maman n’a eu qu’à poser ses mains sur les épaules pour les dégager. Les bretelles du soutif entrainèrent le chemisier et l’ensemble resta bloqué au niveau du coude. Bernadette se laissa de nouveau aller contre le dossier du canapé, oubliant toute pudeur. Elle se livrait corps et âme à son amie. Maman reprit sa caresse à même la peau douce et le gémissement de plaisir qui sortit de la gorge de Bernadette s’accompagna de l’ouverture en grand du compas de ses cuisses. Justement, maman se replaça entre elles tout en continuant sa caresse. Elle ne résista pas longtemps à l’appel de la bouche entrouverte. Bernadette avait fermé les yeux depuis le début et elle accepta tout. Le baiser, les mains de maman sur ses seins.

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