Malika (16/18)

Malika avait entendu un cri, une plainte. Fausse alerte, ce n’était pas notre fils. Mais ce silence se prolongea un peu. Je ne comprenais pas vraiment, jusqu’à ce que Malika approche ses lèvres de celles de Yolande. Celle-ci était fébrile. Je voyais bien qu’elle en avait envie. Mais pas devant moi, certainement. Pourtant, dès le premier contact, elle oublia ma présence pour se consacrer uniquement aux lèvres douces de ma femme. Leurs mains ne pouvaient rester inactives et elles commencèrent à se caresser langoureusement. C’était beau à voir, terriblement érotique. D’ailleurs, je commençais à me sentir très serré dans mon pantalon. Ni l’une ni l’autre ne m’avait invité à participer. Et je n’avais pas non plus été convié à les laisser seules, entre elles. J’assistais tout simplement à leurs ébats. Malika se leva, obligeant Yolande à en faire de même. Ce n’est qu’à ce moment-là qu’elle me fit signe de venir les rejoindre. Je me plaçais derrière elle, mais elle me déplaça derrière Yolande qu’elle caressait toujours. Puis, elle prit mes mains qu’elle posa directement sur les fesses plantureuses de son amie. Je sentis le frisson de plaisir qui traversa le corps de cette femme. Aussitôt après, Malika avait remonté sa robe et mes mains étaient en contact direct avec sa peau, avec sa culotte. Yolande la laissait faire, mais elle avait déjà dégrafé la robe de Malika qui glissa au sol. Elle se pencha immédiatement en avant pour goûter à nouveau à sa poitrine offerte. Ce mouvement m’avait fait reculer un peu et ses jolies fesses étaient maintenant en contact avec mon sexe. J’avais glissé mes mains sur le côté et je pouvais me frotter délicieusement contre son postérieur. Et elle répondait à mes caresses. Même quand je baissais sa culotte, elle était envoûtée par ce qu’elle faisait et elle avait visiblement accepté la présence d’un homme. Je levais les yeux vers Malika, ivre de plaisir, qui m’invitais à remonter mes mains plus haut. Sur les seins de son amie. Ce que je fis, naturellement. Cette femme, que je ne connaissais pas il y a seulement quelques heures, je l’avais observée, bien sûr, mais pas dans le détail. Jamais je n’aurais pu imaginer la tournure qu’allait prendre notre soirée. Je l’avais trouvée belle, très bien conservée pour son âge. Et maintenant, je caressais ses seins à deux mains, tout en frottant ma queue sur son cul, libre de tout vêtement. J’étais bien et je ne pensais pas qu’il serait possible … C’est Yolande elle-même qui, passant ses mains dans son dos, défit le bouton de mon pantalon qui glissa au sol aussitôt. Fébrilement, sa main sortit ma queue de mon caleçon avant de la placer entre ses cuisses. Nous étions entre adultes consentants. Elle voulait. Moi aussi. Alors je poussais lentement ma queue à l’intérieur de son vagin. Qui n’avait visiblement pas été utilisé depuis quelques temps. C’était une première fois. C’était comme ma première fois avec ma femme. Ses muscles internes commencèrent à me pomper délicieusement. Je n’avais rien à faire, juste résister à l’envie de remplir son ventre. Ce qui arriva, évidemment, quelques minutes plus tard. J’avais essayé de la prévenir, j’ai bien tenté de me libérer. Mais elle avait tenu à sentir ma semence en elle. Elle avait reculé suffisamment pour me plaquer contre la table. Je restais donc au plus profond d’elle pour jouir intensément.

Malika se jeta aussitôt à ses pieds, récoltant à la fois ma semence et le nectar de Yolande qu’elle avait déjà eu l’occasion de goûter, quelques heures avant. Il ne nous fallut pas longtemps pour être totalement nus, tous les trois, avant de regagner notre chambre. Là, confortablement installés, j’ai pu faire l’amour à la femme de ma vie, qui m’avait offert un merveilleux moment avec sa toute nouvelle amie. Des soirées comme celle-ci, il y en eut beaucoup après cette première. Malika avait un appétit sexuel presque insatiable. Après des hommes, il lui fallait aussi des femmes. Et moi, je profitais également de ses nouvelles conquêtes. J’eus l’occasion de pouvoir discuter plus longuement avec Yolande, un matin après que Malika s’était endormie, exténuée par les nombreux orgasmes qu’elle avait subis de notre part. Au décès de son mari, Yolande n’avait pas voulu, pas vraiment cherché à se remarier. Elle avait gagné une certaine liberté et elle comptait bien en profiter. Elle gardait les enfants des autres, avec les siens, et elle était surtout en contact avec les mères de ces enfants. Plus rarement les pères. Une femme, plus que toutes les autres, avait réussi à l’émouvoir au-delà de toute raison. Elle travaillait dur pour élever sa famille mais au final, son salaire couvrait presque ce qu’elle donnait pour la garde de ses enfants. Jusqu’à ce jour où son mari l’a quittée pour … Un autre homme. Elle était complètement détruite. Elle n’avait rien vu. Elle était venue en parler avec Yolande et elle avait fini par s’écrouler dans ses bras. De chagrin. Yolande avait fait tout son possible pour lui remonter le moral. Elles étaient devenues très proches, et Ingrid aimait par-dessus tout se blottir entre ses bras rassurants. Et cela n’était pas sans conséquence, pour les deux femmes. Un jour, où la tension nerveuse était trop forte, Ingrid, enveloppée dans les bras de Yolande, avait levé les yeux vers elle. Elle avait inconsciemment approché ses lèvres de celles de son amie. Le contact sembla réveiller des sensations fortes pour les deux femmes. Yolande, qui avait un peu oublié les sentiments amoureux, et Ingrid que son mari, ex-mari, n’avait plus touchée depuis très longtemps. Elles ont rassemblé leurs deux solitudes pour vivre une passion intense.

En grand secret, évidemment. Il n’était pas question de perdre son travail pour Yolande. Cette relation dura plusieurs années, sans que personne ne se doute de rien. Mais, avec le temps, elles devinrent un peu moins attentives et une femme, qui amenait aussi son fils à garder, finit par les surprendre en train de s’embrasser amoureusement. Il ne pouvait y avoir aucun doute sur la relation qu’elles entretenaient. Nathalie, c’était son nom, prit le temps de la réflexion avant d’en parler avec Yolande.

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