Clara et sa famille (07/11)

Flora et Clara assistaient depuis quelques mois aux ébats entre les parents de cette dernière. Flora avait regardé, et appris, comment faire jouir une femme. Et elle adorait ça. Les deux jeunes filles avaient déjà vu aussi Nadine qui suçait la queue de son mari. Flora, et sa Maîtresse, savait que son tour viendrait aussi pour apprendre à tailler une pipe. Elle n’était pas vraiment pressée, et personne ne l’obligeait à rien. Et tout se fit tout naturellement, sans contrainte aucune. C’était fin janvier dernier et Flora passait le week-end chez sa copine. Après une baise entre les deux adultes, Nadine entreprit de sucer la queue de son homme, pour lui redonner vie. Flora s’était approchée tout près pour observer, et apprendre. Malgré les efforts de Nadine, la queue restait désespérément molle et sans vigueur. Celle-ci proposa à la jeune fille d’essayer, si elle pouvait faire mieux. La bite était déjà bien molle lorsqu’elle la prit en bouche pour la première fois. Mais elle trouva rapidement de la vigueur et elle grandit très rapidement, jusqu’à atteindre sa forme olympique. Flora était très fière d’avoir réussi, et Nadine la remercia à sa manière, après avoir joui de nouveau sous les assauts de son mari. Depuis cette date, c’était souvent Flora qui remettait le mari en forme. Nadine et Clara restaient à observer. Un jour, François, allongé, était en train de se laisser sucer par la jeune fille. Il la souleva et l’attira au-dessus de lui. Elle n’avait pas lâché sa queue et lui, il pouvait aussi lui rendre le plaisir qu’elle lui donnait. Les deux autres, se sentant abandonnées, se regardèrent. Nadine attira sa fille au-dessus de sa bouche et la fit jouir avec sa langue experte. Jusqu’à présent, Clara n’avait jamais rien fait avec ses parents, mis à part sucer les seins merveilleux de sa mère. Elle avait autorisé son père à la caresser aussi, mais ce n’était jamais allé plus loin. Mais là, c’était sa mère qui la faisait jouir pour la première fois. Quand François n’était pas présent, les deux filles commençaient à jouer avec les seins de Nadine, puis Flora glissait entre ses cuisses et Clara restait au-dessus de sa bouche. Ce spectacle alléchant avait le pouvoir de réveiller le sexe de François lorsqu’il entrait dans la pièce. Il faisait l’amour avec Nadine et Flora le nettoyait ensuite.
Sabrina avait touché le sexe de François pour la première fois, sans vraiment l’avoir vu. Elle avait été excitée par ce contact. Électrisée, presque. Alors, elle n’hésita pas, les fois suivantes, à caresser longuement cette queue bien raide. Et quand elle vit Flora la prendre en bouche, elle aussi voulut essayer. C’était sa volonté et François l’accepta bien volontiers. Flora lui enseigna ce qu’elle avait appris. Voyant qu’elle se débrouillait très bien, Flora préféra lui laisser la place, quand elle était là, et elle se contentait de la bouche avide de François. C’est dans le courant du mois de Mars que Clara proposa un nouveau deal à Adrien. Pour 50 euros, Sabrina pouvait lui « tailler une pipe ». Les jeunes garçons savaient de quoi il s’agissait, la plupart avaient déjà et l’occasion de voir un film porno, ou bien des extraits. Cela les faisait plutôt rire, mais la proposition était sérieuse et Adrien finit par accepter. Il amena l’argent demandé et tout se passa dans les toilettes de l’école, mais après les cours. Sabrina devenait une experte. Elle savait redonner vie à la verge de François, et faire grandir celles de jeunes garçons. Elle n’avait pas encore connu l’éjaculation. François se réservait pour sa femme et les garçons étaient semble-t-il trop jeunes et pas encore formés. Mais le plaisir était bien là pour eux. Très peu de garçons, autre qu’Adrien, trouvèrent la somme nécessaire. Mais le grand frère de l’un d’eux demanda et il obtient sa récompense. Cela se passait dans les toilettes publiques d’un des parcs de la commune. Il resta seul avec Sabrina, après avoir payé Clara. C’est ainsi que Sabrina connut sa première éjaculation. Elle avala difficilement le sperme de son client, surprise de cette puissance et de la quantité. Très heureux de sa prestation, le jeune homme revint de temps en temps, c’était une somme rondelette pour lui, et il en parla à des amis de son âge et Sabrina devint la coqueluche d’une partie de la population masculine de Loudéac. De jeunes hommes, certains mariés, dont les femmes, ou les copines, refusaient de leur faire cette gâterie.
Adrien avait toujours de l’argent de poche pour payer ses frasques. C’était surtout la poitrine de Sabrina qu’il aimait caresser. Pour 20 euros, c’était donné. Mais ses fonds diminuaient dangereusement. Il trouva l’astuce, un jour où son père avait posé sa veste sur une chaise de la salle à manger. Il trouva facilement le portefeuille à l’intérieur et le soulagea d’un billet de 20 euros. C’était juste ce qu’il avait besoin. L’opération se renouvela, hélas, plusieurs fois et, fatalement, son père s’en rendit compte. Marc questionna évidemment sa femme, en premier. Il était possible qu’elle ait eu besoin d’une petite somme et qu’elle s’était servie toute seule. Lorsqu’elle lui affirma que ce n’était pas elle, Marc soupçonna immédiatement sa jeune employée, Luana. Il connaissait la situation précaire de la famille. Elle était pourtant bien payée. Était-ce les petits extras qu’il se permettait avec elle, chaque soir, qui lui valait ces « vols » à répétition ? Il ne voulait pas le croire, mais qui d’autre pouvait se servir dans son portefeuille ? C’est la raison pour laquelle il devint très prudent lorsque Luana entrait dans son bureau. Il refermait les tiroirs, et il surveillait sa veste, sur son fauteuil. Il n’avait jamais pu la surprendre en flagrant délit, et il ne voulait surtout pas l’accuser à tort. Il était trop heureux des gâteries qu’elle lui offrait chaque soir. Et puis, les soirées de repas, c’était lui qui la déshabillait entièrement. Il profitait de son corps offert, de sa passivité. De sa soumission extrême. Avant de la revêtir pour le service. Il est vrai qu’elle était payée, en plus de son salaire mensuel, pour les repas où elle faisait le service à table. Quant à tous ses avantages en nature, Marc se disait que cela valait bien quelques billets de ci, de là. Il continua malgré tout sa surveillance et il redoubla de méfiance. Mais il avait beau être très attentif, un peu d’argent disparaissait chaque jour, ou presque, de son portefeuille.

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