À moi, c’est sa bouche qu’elle offrit et nous nous sommes embrassées très tendrement. Mes mains avaient, dès qu’elles l’avaient pu, pris possession de ses seins merveilleux. Je jouais avec ses tétons entre mes doigts. Jusqu’à ce que je jouisse intensément. Changement de position, maman allongée, les jambes en-dehors du lit, Maître Tigre entre ses cuisses pour la prendre bien profondément. Je me positionnais à quatre pattes, la chatte au-dessus de la bouche de maman. Qui me dévora tendrement. Dans cette position, j’offrais la vue de mon cul frétillant à Maître Tigre. Il ne lui fallut que quelques minutes pour grimper sur le lit et m’enculer sauvagement. J’étais toute prête à cet assaut et ravie d’être possédée totalement. Il s’est vidé dans mes entrailles, me laissant complètement exténuée. Il retourna finir ce qu’il avait commencé avec sa femme soumise. Un seul homme, et quel homme ! Et deux femmes heureuses et comblées. J’ai préféré regagner ma chambre pour la nuit, les laissant seuls. J’avais moi aussi besoin d’un peu de solitude. Surtout pour faire les deux tests de grossesse, le lendemain au réveil. Même si je n’avais pratiquement plus aucun doute. J’avais du retard dans mes règles, ce qui n’arrivait jamais, ou presque. Les dates correspondaient avec ce que m’avait prédit la gitane. Les deux tests se révélèrent positifs. J’étais effectivement enceinte. Depuis que cette gitane m’avait avertie, j’y avais beaucoup réfléchi. J’étais préparée à prendre mes responsabilités. Même si le père ne pouvait se reconnaître, officiellement.
Je descendis rejoindre ma mère dans la cuisine et nous avons déjeuné ensemble, en attendant nos deux hommes. Je n’ai pas eu le courage de lui en parler. J’ignorais comment elle allait le prendre. Allait-elle imaginer que ce serait encore elle qui devrait m’aider, l’élever ? Comme pour Dylan. Que je referais une dépression post-partum ? Je ne voulais pas l’inquiéter outre mesure. Et puis, Jérôme allait arriver pour nous annoncer sa bonne nouvelle. Papa est arrivé et nous sommes allées nous préparer. Je sortais tout juste de ma chambre lorsque Jérôme et sa famille arrivèrent dans la cour. J’ouvrais la porte pour accueillir sa famille, Dylan mon fils est venu saluer ses cousines. Un bisou très appuyé pour Ingrid, tout près de ses lèvres. Jérôme me fit lui aussi deux bisous très près des lèvres. Mais j’avais posé ma main sur son sexe, à travers le jean, sans que personne ne s’en rende compte. C’est en voyant son regard ahuri que je me tournais pour voir maman venir embrasser ses petites filles. Elle arborait une splendide petite robe fleurie, avec un décolleté impressionnant. Penchée en avant comme elle était, on pouvait pratiquement voir ses seins merveilleux qui semblaient vouloir sortir du vêtement. Je remarquais immédiatement qu’elle ne portait rien dessous. Les bretelles du soutien-gorge auraient été trop visibles. Elle s’approcha de son grand fils qui, lui, n’avait d’yeux que pour ses seins laiteux.
Elle resta un moment à se frotter à lui, l’assaillant de questions. Papa arriva et, après avoir embrassé ses petites filles, il se colla à Ingrid qui, elle aussi, se laissa envoûter par son regard. Elle se remémorait certainement la dernière soirée avec nous, lors du feu d’artifice. Papa avait posé une main sur ses fesses, et l’autre directement sur l’un de ses seins. Ils étaient déjà un peu à l’écart et personne, à part moi, ne pouvait les voir. Il aurait pu lui rouler une pelle, là, sur le champ, qu’elle se serait abandonnée totalement. Il faisait déjà très beau pour cette fin du mois de Septembre et nous avons rejoint la terrasse, les enfants jouaient déjà dehors. Tout le monde s’installa à la table, maman près de son fils, Ingrid, en face, lui tenait la main par-dessus la table. Papa avait pris place près de sa belle-fille. Je me levais pour faire le service. Je remarquais la main de papa posée sur la cuisse de sa voisine qui semblait apprécier la caresse. En revenant avec les rafraîchissements demandés, je vis que maman aussi avait mis sa main sur la cuisse de son fils et elle semblait masser sa queue. Elle était très près de lui et il pouvait plonger son regard dans son décolleté. Une fois tous attablés, Jérôme a appelé les enfants pour leur faire part, à eux aussi, de la bonne nouvelle.
Ingrid était enceinte. D’après son gynécologue, cela faisait trois semaines. Comme moi. Le même week-end. La même nuit ? C’était une surprise pour nous tous car nous avions souvent entendu Ingrid nous dire que deux enfants, c’était très bien. Elle avait succombé aux demandes incessantes de son mari. Lisa voulait une petite sœur, Céliane et Dylan préférait un petit garçon. Ingrid leur sourit à tous en leur disant qu’il n’était pas possible de choisir et qu’il faudrait accepter l’enfant, garçon ou fille. Profitant de l’euphorie générale, je lançais moi aussi ma bombe. Je leur apprenais que moi aussi, j’étais enceinte. Je venais de faire un test, deux pour être précise, qui étaient positifs. Je ne précisais pas qu’il y avait également trois semaines que la fécondation avait eu lieu. Je n’en étais pas encore certaine. Jérôme et Ingrid furent très heureux pour moi. Surtout Ingrid. Nous allions vivre ensemble la belle histoire de la vie pour donner naissance à un petit être. Mes parents semblaient un peu plus inquiets, et je les comprenais aisément. Mais c’est Dylan, mon fils, qui réussit à dérider tout le monde en demandant.
« Mais, il faut un papa pour faire un bébé. »
Je précisais que, techniquement, oui, il fallait un papa. Il avait bien travaillé et il avait mis la graine dans le ventre de maman. Puis il était reparti. Sans savoir que la petite graine allait grandir pour devenir un bébé. Je sentais bien qu’il en savait plus au sujet de cette petite graine mais il resta discret, surtout pour Lisa qui était, semble-t-il, beaucoup plus innocente. Une fois que les enfants sont retournés à leurs jeux, je rajoutais, surtout pour mes parents, que je me sentais prête à assumer pleinement cette nouvelle maternité. Que j’aurais besoin d’aide, certainement, comme toutes les mamans, mais que je me savais tout à fait capable de l’élever convenablement. J’avais désormais un travail, un logement confortable et surtout, l’envie d’être une bonne mère.