ÉDITH (07/08)

Qui reçut une réponse immédiate !

« Déshabille-toi maintenant. Entièrement. Et pas de discussion.  »

Comme elle mettait du temps à réagir, Sophie s’approcha d’elle. Sans ménagement pour le corsage, elle l’écarta violemment, faisant sauter tous les boutons. Dans le même mouvement, elle le dégagea des épaules. Dominique était torse nu, juste en soutif. Le vêtement retomba doucement mais resta bloqué au niveau des poignets.

« Tu continues seule ou bien tu veux qu’on t’aide ?  »

Elle baissa les yeux en murmurant « Seule ». Elle défit les boutons qui retenaient son corsage au niveau des poignets, défit sa jupe. Un moment d’hésitation et le soutif tomba à son tour. Un mouvement de Sophie pour la faire réagir et la culotte rejoignit le reste des vêtements. Elle était nue, désirable. Offerte. Et déjà soumise. Elle voyait bien qu’elle était en infériorité cette fois-ci. Et les paroles fortes que j’avais parfaitement choisies commencèrent à résonner dans sa tête. « Viol caractérisé », « Viol en réunion ». Elle se remémora alors ses débuts en tant que serveuse. Les allusions grivoises, les gestes déplacés. Puis les attouchements. Dominique gardait les yeux baissés mais des larmes commençaient à inonder ses pupilles. Oui, il s’agissait bel et bien d’un viol. Et c’était elle l’instigatrice de ce délit. Cela lui fit remonter des souvenirs, enfouis au plus profond, celui de son propre viol, à ses débuts, dans la réserve du restaurant où elle débutait. Jamais elle n’en avait parlé à quiconque. Elle avait même réussi à occulter ce souvenir, ce cauchemar. Déjà Sophie maltraitait ses tétons qui pointaient outrageusement. Malgré la situation, elle était véritablement très excitée de se retrouver nue devant trois femmes habillées. Elle savait qu’elle aurait mal, mais aussi que le plaisir ne serait pas loin. Déjà, l’humidité gagnait son entrejambe. Elle tentait maladroitement de le cacher. C’est Édith qui, la première, le remarqua et nous le confia.

« Regardez-moi cette salope. Elle commence déjà à mouiller de plaisir.  »

Deux petits coups de la languette de la cravache sur l’intérieur de ses cuisses pour qu’elle les écarte et, effectivement, la salope mouillait déjà. Édith donna une première tape sur les fesses proéminentes, bientôt suivie par d’autres. La fessée devint plus violente, Édith exultait. Elle pouvait enfin se libérer de toutes les humiliations qu’elle avait subies. La sonnette de la porte d’entrée. Deux coups brefs. Son complice était arrivé, la fête pouvait commencer. C’est entièrement nue que je l’envoyais ouvrir la porte de l’appartement. Rémi entra, surpris par l’accueil, referma la porte avant de la suivre dans la chambre. Il aperçut Édith, Sophie avait déjà entravé ses deux mains dans un nœud coulant tandis que j’avais placé un sac plastique sur sa tête, limitant sa respiration. Il comprit très vite qu’il était inutile de lutter et se laissa pousser vers le lit. Sophie finit son saucissonnage avec rigueur. Il ne pourrait pas se libérer tout seul. Je retirais le sac plastique qui couvrait sa bouche, lui permettant de respirer normalement. Quelques minutes de répit, pas plus, avant de lui mettre un bâillon boule en cuir. Personne ici ne voulait entendre ses jérémiades. Chemise arrachée, Sophie lui posa des pinces à linge sur les tétons. Il hurla dans son bâillon pour chacun des tétons. Sophie s’amusa ensuite à les bouger, lui arrachant de nouvelles plaintes. Elle lui baissa pantalon et slip. Il était bien peu viril, le violeur de jeunes filles. Sa queue pendait misérablement entre ses cuisses. Sophie continua la prise en mains en lui fixant une barre de contrainte entre les chevilles. Il était totalement à notre merci. Des petits coups de cravache sur la queue le faisaient réagir. Sophie termina le bondage par une cage à pénis en acier inoxydable qui l’empêchera de bander, de prendre du plaisir. Elle le retourna, juste le torse posant sur le lit. Patient, il attendit la suite.

C’est à une Dominique estomaquée que j’ordonnais de lui lécher le cul. Devant sa moue dégoûtée, je levais la cravache, lui redonnant du cœur à l’ouvrage. De son côté, Sophie la doigtait habilement. Édith était restée debout sans rien dire, à la regarder faire. Je passais derrière elle pour la caresser. En glissant une main sous sa jupe, je la trouvais déjà bien humide. La jupe tomba au sol, suivie de sa culotte. De petits bisous sur ses fesses, puis sur sa chatte, je l’aidais à enfiler un gode ceinture. Je l’approchais ensuite de sa cheffe. Peu habituée à ces pratiques, elle entra directement au fond de la chatte qui n’attendait que ça. Sous la douleur, Dominique mordit violemment le cul de celui qu’elle léchait avidement. Édith s’accrocha aux hanches de sa chef de rang et, tranquillement, commença à imprimer un rythme soutenu. Elle se vengeait enfin de toutes les humiliations qu’elle avait subies. Toutes sauf une. Et elle prenait un plaisir monstrueux à dominer celle qui l’avait tant faite souffrir. Dominique, essoufflée par les coups de queue qu’elle recevait, ne s’occupait plus de Rémi. Sophie, toujours bien avisée, lui mit un gode entre les doigts et l’enfonça dans l’anus bien préparé. Très vite, elle imprima à son bras le même mouvement qu’elle subissait. Le torse frottant sur le lit, les tétons devaient être ravagés par ces mouvements de grande amplitude.

Il se plaignait toujours, comme tous les hommes, mais je remarquais qu’il bandait très fort, signe que cela devait lui plaire également. Sophie avait installé le trépied pour la caméra numérique. Face au trio. Je la prenais en mains pour zoomer sur le visage de Rémi, puis plan large pour apercevoir Dominique près de son cul. Me déplaçant lentement, l’œil électronique découvrit ce qu’elle faisait. On voyait parfaitement l’œillet de l’anus avec le gode qui entrait et sortait. Me reculant encore un peu, c’est le corps entièrement nu de Dominique que je filmais pendant qu’elle se faisait baiser sauvagement par une Édith déchaînée, tout en godant le cul de Rémi. Zoom sur la chatte défoncée, puis sur le visage de Dominique, embelli par le plaisir. Du visage de Dominique à celui d’Édith qui exprimait tant de bonheur. Je reculais jusqu’au trépied en attrapant au passage le visage extasié de Rémi qui ne pouvait cacher le plaisir qu’il ressentait à être dominé, godé par une femme. Il était au bord de la jouissance quand Dominique interrompit ses mouvements.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *