Clara et sa famille (08/11)

Jamais, au grand jamais, il n’aurait supposé que ce pouvait être Adrien, son propre fils, qui le volait ainsi pour des raisons très érotiques. Clara était véritablement comblée. Tout ce qu’elle voulait, elle finissait par l’obtenir. Avec ses parents d’abord, puis avec Flora. Il y avait eu Sabrina ensuite, et d’autres filles que Flora sélectionnait avec une quasi-certitude. Il y avait bien quelques pimbêches qu’elle aurait aimé avoir dans son harem mais il lui fallait plus d’autorité, plus de maîtrise. Et certainement quelques bien tuyaux sur leur vie privée pour les amener à faire ce que, elle, elle avait envie. Elle en était presque certaine, leur tour viendrait, fatalement. En attendant ce jour, elle se permit de chercher, parmi les adultes de son entourage, quelle femme, ou homme, pourrait se soumettre à ses désirs de domination. C’est Flora qui lui donna l’idée pour l’homme, et c’est elle-même qui choisit la femme qu’elle voulait soumettre. Son objectif en ligne de mire, elle mit tout en œuvre pour accéder à ses désirs les plus profonds. Flora lui avait parlé de son « tonton Robert », qui n’avait aucun lien de parenté avec elle. C’était surtout un ami de la famille. Il venait souvent chez eux et Flora avait pris l’habitude de s’asseoir sur ses cuisses. En tout bien, tout honneur. Lui-même n’avait jamais tenté quoique ce soit sur elle. Ce n’était qu’une enfant. Mais une enfant devenue perverse au contact de Clara. Ou bien avait-elle cela déjà en elle et Clara n’avait fait que découvrir sa véritable nature ? Toujours est-il qu’un jour, Flora lui parla de son « tonton Robert » qui était venu les voir, la veille.

Comme toujours, elle s’était assise sur ses cuisses. Elle avait déjà pris sa douche et elle était habillée pour la nuit. Un simple short en mousseline, et sa petite culotte dessous. Un haut de pyjama complétait sa tenue. Sans manche. C’était la première fois, ou presque, qu’elle sentait le sexe de l’homme grossir contre ses fesses. C’était surtout la première fois qu’elle en parlait à quelqu’un. Clara semblait vraiment très intéressée par cette relation entre les deux et elle voulait que Flora pousse l’expérience un peu plus loin. Elle lui donna des défis à réaliser, que Flora exécuta dès que cela était possible. Elle dut, par exemple, prendre la main de son tonton, qui pendait à son côté, et la poser sur sa cuisse, nue évidemment. Il résista, pour la forme, mais quand la jeune fille commença à promener la main à l’intérieur de ses cuisses, il se laissa convaincre et il caressa longuement cette peau douce et juvénile. Il bandait encore plus fort, bien sûr, et Flora ne pouvait ignorer cette bosse qui grandissait sous ses fesses. Elle s’en amusait, le plus souvent, et elle se frottait à lui, lascivement. Une autre fois, elle glissa la main de son tonton sous son vêtement, directement sur son petit ventre. Tonton Robert respirait difficilement lorsque sa main caressait sa jeune proie. Il croyait la posséder, c’était exactement l’inverse. Il connaissait son âge et il savait bien qu’il ne pourrait pas l’avoir avant quelques années. Ce que Flora ignorait, c’est qu’après avoir eu sa mère, Melody, il rêvait maintenant de sa fille. La grande, Aline et ses gros seins. En attendant, il se contentait des moments de tendresse avec la plus jeune des filles. Quand il avait ainsi, sa grande main sur le ventre de la petite, son petit doigt, parfois, tentait de progresser sous le short. Sous la culotte. Il n’y était jamais parvenu mais il savait que cela viendrait. Pourquoi ? Parce que Flora ne l’empêchait absolument pas de continuer dans cette direction. C’était principalement la présence des parents qui le retenait. Et la morale aussi, un peu.

Un jour, Clara voulut assister aux progrès de sa complice. Elles se rendirent ensemble sur son lieu de travail. Flora était bien connue dans le magasin et dans la réserve. Elle pouvait s’y promener comme si elle était chez elle. En respectant tout de même les consignes de sécurité, avec la circulation des chariots élévateurs. Elle arriva sans encombre devant le bureau de Robert, qui fut surpris mais très heureux de la voir. « Dommage qu’elle ne soit pas seule.  » pensa-t-il un court instant. Flora était rayonnante, et tellement exubérante lorsqu’elle lui présenta son amie Clara. Elle portait ce jour-là des leggings et un maillot, à même la peau. Robert, très observateur, remarqua immédiatement que les leggings lui collaient parfaitement au corps et il pouvait deviner la forme de ses lèvres intimes, dessinées sous le tissu. Il ne manqua pas non plus ses tétons qui semblaient bien érigés. Il fut néanmoins courtois et il leur proposa de s’asseoir, face à son bureau. Flora lui fit immédiatement la moue et elle demanda ce qu’elle avait fait de mal pour qu’il lui interdise de prendre place sur ses cuisses. Devant l’insistance de la jeune fille, il céda et elle posa délicatement ses petites fesses sur son sexe déjà tendu. Elle se frotta gentiment dessus, jouant les ingénues, mais elle savait pertinemment ce qu’elle faisait. Elle sentait bien qu’il était encore un peu réticent et qu’il n’osait rien faire. Flora prit alors la parole pour lui avouer.

« Clara est ma meilleure amie. Elle sait tout de moi. Ce que j’aime, et ce que je n’aime pas.  »

Elle ajouta, un peu plus bas.

« Elle sait aussi ce que tu me fais quand je suis assise sur tes cuisses.  »

Robert fut très étonné par cette confidence et il resta méfiant, jusqu’à ce qu’elle ne prenne ses mains pour les poser sur son petit ventre, juste en-dessous de son maillot. Il n’osa pas les retirer mais il observait les réactions de Clara. Vu qu’elle lui souriait, il reprit confiance en lui et, lorsque Flora remonta ses mains vers ses petits seins, il ne résista plus du tout. Enfin, il pouvait caresser librement ces petits seins en voie de développement. Ce que Flora ignorait, encore à ce moment-là, c’est que Robert avait été l’amant de sa mère, Melody. Qu’il l’était encore un peu, parfois. Surtout lorsque Gilles, son père, était loin d’elle, pour son travail. Clara s’était levée pour voir de plus près les mains de l’homme caresser les seins de sa soumise. Et lui, c’est sa poitrine à elle qu’il observait attentivement, espérant sûrement y goûter un jour prochain. Clara était maintenant toute proche du couple. Si proche. Dans un geste très élégant, Flora passa son maillot par-dessus sa tête.

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