Elle tenta de se cacher, puis se tourna, lui exposant ses fesses pulpeuses. Elle lui demanda de sortir mais, au lieu de cela, il prit une chaise et s’installa. La sortie était bloquée. Elle comprit qu’elle était piégée.
« Tu es venue pour te laver. Eh bien, lave-toi. Et n’essaie pas de te cacher. Je veux tout voir. Allez ! Vas-y. »
Effectivement, il l’observa attentivement tandis qu’elle se lavait. Si elle se tournait, il la rappelait à l’ordre et elle dut s’exposer intégralement. Une fois bien propre, c’est lui qui prit la serviette pour l’essuyer. Il en profita sans vergogne pour la caresser partout. Sa poitrine surtout lui plaisait énormément. C’est le vendredi suivant que le véritable calvaire commença pour elle. Il l’appela dans sa chambre, les parents étaient en bas. Il lui montra la paire de bas déchirée et lui lança un ultimatum. Si elle tenait à sa sortie, prévue le lendemain, elle devrait lui obéir, sans aucune réticence. Dans ce piège psychologique où il l’avait attirée, elle ne pouvait qu’accepter. Elle pensait qu’il voulait simplement la voir nue, encore, peut-être la caresser. Ou bien elle devrait le caresser. De toute façon, elle était prise au piège et elle accepta docilement.
Intérieurement, elle se disait que c’était aussi une possibilité d’en apprendre beaucoup plus sur les choses du sexe. Sujet au combien tabou dans la famille. Forcée d’obéir mais en même temps curieuse d’apprendre. Voilà exactement son état d’esprit à ce moment précis dans cette chambre. Il s’approcha d’elle, par derrière. Posa ses mains sur ses épaules, descendit vers sa poitrine. Offerte. Il la pelota un instant avant de lui ôter son tee-shirt. Puis il dégrafa le soutif. Les seins laiteux apparurent alors. Ils n’avaient jamais vu le soleil. Et surtout il avait la chance d’être le premier à les admirer, à les toucher, les caresser. Murielle commençait à ressentir du plaisir dans ces attouchements, dans la soumission à son nouveau Maître. La soumission, surtout lorsqu’elle n’est pas consentie, a surtout l’avantage de dédouaner la soumise.
« Mais maman. Je ne pouvais rien faire. Je devais lui obéir. Sinon … »
Il n’a jamais proféré de menaces, ni usé de violences mais elles étaient supposées. Que serait-il arrivé si elle avait refusé ? La seule menace avérée consistait à la dénoncer. Mais, dans ce cas, il perdait tout avantage sur elle. Pour n’en récolter aucun. Il la retourna face à lui et commença à téter sa divine poitrine, comme si du lait pouvait en sortir. Il malaxait son cul en même temps, tenta de relever la longue jupe mais abandonna, préférant défaire le zip et le bouton. Le vêtement glissa sur le sol. Elle n’avait plus que sa culotte comme dernier rempart à son intimité. Mais que pouvait-elle faire devant l’avidité de cet adulte, bien plus fort qu’elle. Ce n’était plus son frère mais un étranger, un pervers qui profitait intensément de chaque parcelle de son corps de jeune fille. Le pire, c’est qu’elle ressentait du plaisir à se laisser manipuler de la sorte. Mais consciente qu’elle était obligée d’obéir. La culotte ne résista pas longtemps, elle était nue et entièrement à sa merci. Il la bascula sur son lit et ôta son tee-shirt. Son pantalon aussi. Elle pouvait très nettement distinguer le sexe qui forçait sur le tissu du boxer. Elle se demandait ce qu’il allait encore exiger d’elle.
Il s’agenouilla entre ses cuisses et lui offrit un premier orgasme avec sa bouche. Il n’avait pas fallu la lécher très longtemps pour obtenir cette première satisfaction pour lui. Aussi, continua-t-il encore un moment, caressant sa poitrine gonflée de désir. Elle avait joui, deux fois. C’était son tour à lui. Il la releva pour approcher sa bouche de son boxer. Il le baissa enfin et la jeune pucelle découvrit enfin le membre de son seigneur et maître. Elle n’eut pas le temps de l’admirer qu’il pénétrait la barrière de ses lèvres. Elle n’était pas totalement nunuche, elle avait entendu les autres filles parler de sexe, de fellations. Sous couvert de soumission, elle découvrait ce que ses camarades, certaines seulement, disaient avoir déjà pratiqué. Mis à part le fait qu’elle était forcée de le faire, maîtrisée psychologiquement, son frère n’était pas violent. Il prenait du plaisir à la soumettre, mais sans violence inutile. Il baisait sa bouche, ne se souciant que de son plaisir personnel. Comme beaucoup d’hommes, me direz-vous. Il la laissa respirer quelques instants, reprendre ses esprits et il était déjà installé entre ses cuisses ouvertes.
Murielle redoutait ce moment mais elle ne pouvait rien faire pour l’éviter. Dans les cas de viol, la victime n’a que peu de choix. Elle peut se rebeller, se débattre, donner des coups, et en recevoir aussi. L’attitude passive est l’autre choix, celle que Murielle avait adoptée. C’est donc en fermant les yeux qu’elle laissa son grand frère la pénétrer. Il était doux, et tendre dans ses gestes, même si cela restait un viol. Elle le sentait coulisser en elle, commençait même à ressentir du plaisir. Elle avait beau se défendre contre elle-même, elle prenait son pied, tout comme lui. Son corps réagissait contre sa propre volonté. Ses jambes enlacèrent la taille de son violeur, limitant ses mouvements. Mais, pour lui, c’était un encouragement à continuer, un consentement inavoué. Elle n’avait ressenti aucune douleur, tout juste un pincement quand l’hymen a cédé. Patrick éjacula enfin et elle jouit une nouvelle fois, honteuse de ressentir du plaisir alors qu’il l’avait violée. En ressortant de sa petite chatte, elle aperçut le préservatif rempli de semence. Il y en avait une quantité impressionnante. À aucun moment, elle ne l’avait vu enfiler sa capote. Il la porta jusqu’à la salle de bains et prirent une bonne douche ensemble.
Prétexte à de nouvelles caresses. À ce moment-là, elle restait partagée entre deux sentiments. Elle haïssait son frère pour l’avoir violée, mais en même temps, elle aurait voulu le remercier de l’avoir faite femme. Ils regagnèrent chacun leur chambre ce soir-là. Le lendemain, elle put aller à la soirée d’anniversaire. À minuit, permission exceptionnelle, c’est son frère qui vint la chercher avec la voiture de leur mère. Il roula un moment avant de s’arrêter dans une rue proche de chez eux. La nuit était sombre, lui également. Il lui ordonna de baisser sa culotte, ce qu’elle fit aussitôt. Puis, elle s’agenouilla sur le siège passager pour lui offrir la fellation qu’il demandait. Il avait relevé sa jupe pour la doigter en même temps. Il lui maintint la tête au moment d’éjaculer et, la surprise passée, elle dut de résoudre à tout avaler pour ne pas étouffer.