Après les effusions, elle expliqua sa présence en disant qu’elle avait été invitée par sa cousine, Nathalie, mais qu’elle était tombée en panne avec sa voiture en venant. Le temps de trouver un dépanneur … On se retrouva sur la piste toutes les trois à danser comme des folles. Dans un moment de calme, j’avais pu glisser dans son oreille que je savais TOUT de sa première rencontre avec Charlène, et la nuit qu’elles avaient partagées. Anne rougit légèrement avant de me faire un grand sourire.
« Et toi, tu dois être celle qui les a fait se rencontrer, elle et Lucie. »
Je confirmais. Une série de slows commença et c’est tout naturellement qu’elle se lova dans mes bras. Je sentais ses tétons durcirent sous l’effet de l’excitation grandissante. La salle était pratiquement plongée dans le noir, juste quelques spots éclairaient la piste, mais pas suffisamment pour distinguer ce qui s’y passait. Je profitais de cette semi-obscurité pour glisser ma main sous sa minijupe et la doigter. Elle semblait n’attendre que ça et elle se donna entièrement. Nathalie dansait tout près de nous dans les bras de son mec. Elle semblait avoir remarqué ma main mais, avant qu’elle ne dise un mot, son mec lui en faisait autant. Elle se faisait doigter tout comme sa cousine. On dansait si près d’eux que personne d’autre ne pouvait voir ce que nous faisions. Les deux coquines jouirent en même temps. L’excitation due à la situation, je suppose. Elles se regardaient les yeux dans les yeux en redescendant de leur petit nuage. Puis Nathalie embrassa son mec, Anne n’eut pas le courage de le faire également, aussi je ne la forçais pas. Maryline m’avait vue danser langoureusement avec Anne qu’elle connaissait bien, du moins le croyait elle. Pour la seconde série de slows, qui arriva bien plus tard, elle se précipita vers moi pour m’entraîner sur la piste. Elle dansait collée littéralement contre moi et j’adorais. J’osais seulement caresser le bas de ses reins, pas plus. La maintenir dans un état de manque pour la cueillir mûre à point le moment venu. La fin de la soirée approchait. La mère de Maryline venait d’apporter la soupe à l’oignon, recette ancestrale. Elle retourna se coucher chez elle, rassurée. Maryline était trop fatiguée, ou trop impatiente, elle m’entraina dans sa chambre.
« C’est ici que nous allons dormir, toutes les deux. »
« Dormir ? Tu ne penses pas qu’on aura mieux à faire ? »
Elle baissa les yeux, rougissante.
« Déshabilles toi. Entièrement. »
« Maintenant ferme les yeux et laisse toi faire. Je vais te bander les yeux mais aies confiance en moi. C’est uniquement pour ton plaisir, et le mien. »
« On m’appelle là-bas. Ne bouge surtout pas. Je reviens très vite. »
Je retournais dans la salle et j’attrapais Anne qui me suivit. Je lui demandais la plus grande discrétion et je lui bandais également les yeux avant d’entrer dans la chambre.
« Pas d’inquiétude. C’est moi. »
Maryline laissa tomber les bras, en toute confiance. J’amenais Anne juste devant elle et lui dit.
« Déshabille-moi, doucement. »
Anne était sensiblement de la même taille que moi, cheveux longs, petite poitrine tout comme moi. Aveugle, Maryline ôtait les vêtements de la cousine de son amie, pensant me dévêtir moi. Anne ignorait qui était en train de la déshabiller, mais elle savait que j’étais là, toute proche, et cela lui suffisait. Elle se laissait faire, docilement. Maryline, qui me connaissait plus active, pensa que je restais inerte pour que ce soit elle qui prenne les initiatives. Elle approcha ses lèvres de la bouche qui s’offrit impunément. Elle caressait ce corps qu’elle croyait mien. Plus les gémissements augmentaient, plus elle devenait sûre d’elle et coquine, osant doigter l’anus de sa partenaire. Elle l’entraina sur le lit qu’elle savait tout proche et se positionna tête-bêche au-dessus d’elle. Anne commença à réagir et butina la fente qu’elle sentait toute humide. L’une comme l’autre se déchaînaient dans un tourbillon des sens qui les emmena au paradis. Elles finirent par s’écrouler de plaisir et s’endormirent l’une contre l’autre. Je rejoignais Pénélope qui finissait de ranger après le départ des derniers danseurs. Elle était penchée en avant sur la table pour ôter la nappe en papier. Je m’approchais derrière elle et j’agrippais sa poitrine. Elle posa ses mains sur les miennes, acceptant la caresse. Nous étions seules, légèrement alcoolisées et surtout une grosse envie l’une de l’autre. Je réussis à l’allonger sur la table et remontais sa jupe, et la mienne, pour me frotter à elle. Même à travers le tissu, je la sentais trempée, tout comme moi. Ma bouche se colla à la sienne pour étouffer ses petits cris. Je relevais son top et mes lèvres embouchèrent ses tétons durcis, l’un après l’autre. Puis je descendis sur son ventre avant de descendre sa culotte et de, enfin, pouvoir boire à la source de son plaisir.
Elle se mordait la main pour rester discrète, j’avais posé ses pieds sur la table, l’obligeant à écarter les cuisses au maximum. Elle était totalement offerte, presque nue et tout à fait indécente, mais tellement belle et désirable. Elle jouit intensément, libérant toutes les tensions de la soirée. Je la laissais reprendre un peu ses esprits tandis que j’allais fermer la porte d’entrée et éteindre toutes les lumières mis à part celle du couloir menant aux chambres. Je l’aidais à se relever et elle me suivit en silence. On entra dans la chambre où Maryline et Anne dormaient encore. Je laissais la porte entrouverte pour avoir un minimum de clarté. Pénélope entra sans voir qui dormait là. Je la déshabillais entièrement et me mis nue également. Je chuchotais à son oreille.
« Tu voulais connaître les différents moyens que j’utilisais pour faire jouir une femme. Tu as jouis sous mes doigts, puis dans ma bouche. Prête pour une nouvelle expérience ? »
Elle acquiesça vivement de la tête. Je la fis se retourner et se pencher sur un fauteuil présent. Les deux mains sur les accoudoirs et les jambes écartées. Elle resta dans cette position sans voir que je m’équipais de mon gode ceinture. De retour près d’elle, je caressais ses jolies fesses, les embrassait puis ma langue descendit dans sa raie fessière jusqu’à l’anus que je titillais.
« Oh non. Pas là … Hummmm. C’est trop bon … »