Été 2020 (28/30)

Quand les enfants furent couchés, j’aidais Fanny à monter dans sa chambre et je la couchais, après l’avoir déshabillée. Elle aurait bien voulu que je reste un peu plus longtemps mais elle me renvoya à ma mission. Justine dormait déjà paisiblement lorsque j’entrais dans sa chambre. Mais elle se réveilla aussitôt. Je lui demandais si elle était prête. Elle n’osa pas répondre mais elle se leva, simplement vêtue d’une nuisette transparente. Qui ne cachait pas grand-chose de son corps désirable. Une seule chose était en trop, c’était sa culotte de jeune fille sage, que je baissais entièrement jusqu’aux chevilles. Elle releva la tête, fière de me faire savoir qu’elle était prête. J’avais confié une petite mission à Gaëtan au cours de l’après-midi. Je lui avais demandé d’aller à la pharmacie d’à côté acheter une boite de préservatifs. Surpris, et étonné par ma demande, il l’a quand même fait, me montrant fièrement la boite qu’il venait d’acheter à son retour. Je crois que, dans sa tête, il s’imaginait une folle nuit entre lui et moi. En entrant dans sa chambre, la boite était posée sur la table de chevet, ouverte, prête à être utilisée. Un sourire illumina son visage lorsque j’entrais, aussitôt assombri quand il vit Justine derrière moi. Je la fis passer devant moi pour qu’il puisse l’admirer à son tour dans toute sa splendeur de jeune fille vierge. Son regard changea, admiratif devant le corps offert et, en même temps, ses yeux semblaient me remercier du cadeau que je lui apportais. Il se leva pour accueillir Justine, semblant ignorer l’érection qui déformait son boxer. Justine, par contre, ne regardait bizarrement que cette protubérance qui allait bientôt faire d’elle une femme.

Ils étaient là, debout l’un devant l’autre, s’admirant, apprenant à se connaître d’une nouvelle façon. Gaëtan n’osait pas toucher le corps qui lui était offert, c’est pourquoi je décidais de relever moi-même la nuisette de la jeune fille. Elle n’eut aucun geste pour tenter de se cacher, exhibant son corps parfait. De même, je descendis le boxer du jeune apprenti qui tenta, malgré lui, de cacher son érection. Mais très vite, il se ravisa, laissant Justine étudier de plus près son dard luisant. Je poussais sa main vers cette queue tendue pour qu’elle la prenne enfin entre ses doigts. Les mains de Gaëtan se posèrent délicatement sur la poitrine face à lui. Il avait déjà eu l’occasion de me caresser les seins et il répétait ce que je lui avais appris. Tout en tendresse. Il descendit ses mains sur les hanches de Justine et, s’approchant plus près d’elle, déposa un tendre baiser sur ses lèvres. Baiser qui devint de plus en plus passionné. Justine aussi participait et se donnait corps et âme dans cette offrande. Lentement, il allongea Justine sur le lit avant de glisser entre ses cuisses ouvertes. Elle se laissa caresser avec les doigts, puis les lèvres du garçon qui découvrait son corps de cette façon. J’étais accroupie près de lui et je glissais ma main entre ses cuisses pour le branler doucement. Je serrais sa queue un peu plus fort lorsqu’il devenait trop empressé. Il redevenait tout doux pour sa partenaire qui finit par jouir intensément dans sa bouche.

Il aurait bien voulu la prendre aussitôt mais elle voulait à son tour le récompenser. Elle se redressa et se retrouva le visage face à cette queue bien bandée. Elle l’embrassa tendrement avant de la prendre en bouche. Elle avait vu faire Ingrid et Fanny avec leurs amants respectifs, la veille. Je lui chuchotais quelques conseils mais elle se débrouillait déjà très bien pour une novice. Mais l’était-elle vraiment, novice en la matière ? Gaëtan n’en pouvait plus et il était au bord de la jouissance. Je le signalais à Justine qui s’allongea enfin, offrant son corps à son jeune amant. Elle avait préalablement sorti un préservatif de son emballage pour habiller le sexe de son jeune amant. Il se plaça entre ses cuisses et je le guidais jusqu’à l’antre tout chaud. Il l’a pénétra doucement, jusqu’à l’hymen. Et il stoppa. C’est Justine elle-même qui donna un coup de rein vers l’avant pour déchirer définitivement cette petite membrane. Elle était tellement bien préparée qu’elle ne ressentit aucune douleur. Gaëtan pouvait maintenant la pénétrer totalement. Il resta un petit instant, bien enfoncé au plus profond de son intimité. Puis il ressortit pour la pénétrer à nouveau. J’avais accompli mon but, permettre à ces deux jeunes de vivre pleinement leur jeunesse. Je restais un moment sur le pas de la porte à les admirer faire l’amour, puis je refermais la porte sans bruit, les laissant entre eux. Je retournais auprès de Fanny, heureuse. Toute la nuit, il me sembla entendre les gémissements de ces deux-là.

Je me levais beaucoup plus tard, ce dernier jour, profitant pleinement du corps alangui de Fanny. Elle avait envie, elle avait besoin de jouir et d’exulter. Et je pus la faire jouir plusieurs fois avant que Lucie ne vienne nous rejoindre dans le lit parental. Je laissais la mère et la fille ensemble pour retrouver Justine à la cuisine, qui préparait le petit déjeuner des enfants. Renan arriva et je déjeunais avec lui, Justine devant retourner à la boulangerie. Son visage resplendissait de bonheur après la nuit passée avec Gaëtan, son amoureux. J’allais chercher Lucie pour qu’elle déjeune avec son grand frère et j’assistais Fanny pour sa douche. Je dus me déshabiller entièrement pour la rejoindre sous le jet, à sa demande expresse. C’était un véritable plaisir de frictionner ce corps de femme enceinte, ces seins emplis de bon lait maternel, ces fesses pleines et bien rondes, tout comme le ventre, qui allait bientôt donner la vie à un petit être. Je comprenais parfaitement les hommes, et Jérôme mon frère en particulier, qui étaient subjugués par la vision d’une femme enceinte. Je comprenais aussi la frustration de Fanny qui s’était sentie abandonnée, délaissée par son époux. Lui qui avait trop peur de lui faire du mal, à elle et au bébé. Fanny exulta une nouvelle fois sous mes caresses et nous avons fini par nous laver, l’une l’autre. Elle ne put s’empêcher de rester plus que de raison sur mes seins.

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