Et sa poitrine, principalement. Je suis certaine qu’il aurait voulu la toucher, lui aussi. À un moment, il fit un pas de travers et il faillit boire la tasse. Marie-Rose, impeccable, avait réagi immédiatement en le rattrapant contre elle. Il n’avait évidemment pas cherché ce contact mais il était aux anges, sa tête entre les seins qu’il convoitait. Je suis presque certaine qu’il commençait à bander. J’aurais bien voulu vérifier. Mais on décida de sortir de l’eau, lui préféra rester, pour cacher sûrement ce qu’il ne voulait pas que l’on voit. Nous avons rejoint nos serviettes et Fanny en a profité que nous étions tous présents pour inviter Jérôme et Ingrid à dîner le soir même. Précisant immédiatement que Marie-Rose se proposait pour garder les enfants, toute la soirée. Devant l’enthousiasme général, celui de sa fille en particulier qui pensait déjà à cette soirée avec Marie-Rose, Ingrid dut s’incliner et dit oui. Heureuse que mon plan marche à merveille, je retournais dans l’océan pour nager cette fois. Jérôme m’accompagna et on s’éloigna du rivage vers un ponton, au large. C’était une plateforme en bois, équipée d’une échelle pour y monter, qui servait aux nageurs pour se reposer et venir bronzer tranquillement, à l’abri de tout voisin. Je fis le tour de ce ponton pour trouver l’échelle et je m’y accrochais. Jérôme arriva juste derrière moi et se colla contre mes fesses. Je sentais son envie grossissant, surtout lorsqu’il sortit sa queue de son maillot. Il prit appui sur un barreau de l’échelle et força, jusqu’à trouver le passage sous mon maillot. Il était en moi en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Il me baisait divinement, accroché à cette échelle. Je repensais à ce que j’avais prévu pour la soirée et, si cela se déroulait parfaitement, ce que je vivais actuellement n’était qu’un avant-goût, juste un petit apéritif pour me mettre en appétit. Jérôme souhaita changer de position. Il se mit dos à l’échelle, toujours sur le dernier barreau, et je suis venue m’empaler de nouveau sur son sexe. Il pouvait voir tout le plaisir qu’il me procurait, me caresser les seins en même temps qu’il me remplissait bien profondément. J’avais passé mes jambes derrière son dos, et donc derrière l’échelle, et j’étais ainsi complètement écartelée.
J’ai joui intensément dans ses bras et j’ai pu enfin grimper sur le ponton lorsqu’il m’a enfin libérée. Il est monté ensuite pour se reposer aussi, sachant que lui, n’avait pas encore éjaculé. Malgré ses questions, je ne donnais aucun détail sur ce que j’avais prévu pour le soir-même. Mais il me connaissait parfaitement et il savait que cette soirée pourrait être inoubliable. Nous étions vraiment très loin du rivage et je ne pouvais pas distinguer où se trouvaient Ingrid et Fanny. Personne ne pouvait nous voir, sauf avec des jumelles, mais nous sommes restés plutôt sages. Je dis « plutôt » car il avait glissé sa main sous mon maillot pour me doigter. Et ça, il le faisait à merveille. Je posais gentiment ma main sur son maillot à lui pour tester son érection. Il avait encore envie et moi aussi, du coup. Je suis redescendue dans l’eau, prudemment, et il m’a rejointe. Il s’est repositionné derrière moi et j’ai tout de suite compris ce qu’il désirait. J’ai baissé mon maillot pour lui donner accès à mon cul. C’était son fantasme le plus délirant, m’enculer partout où nous faisions l’amour. Et, vu que moi, j’adorais ça, il ne s’en privait pas. Il m’a donc pénétrée lentement, mais sûrement, jusqu’à la garde. Je le sentais contre mes fesses et je savais qu’il était entièrement entré en moi. J’ai joui encore une fois et, cette fois-ci, il n’a pas pu se retenir et il a balancé tout sa semence en moi. Heureusement que nous étions dans l’océan !
Nous sommes retournés sur la plage en nageant tranquillement. Son érection avait déjà disparu en sortant de l’eau. Nous sommes repartis plus tôt que d’habitude, tout le monde était impatient pour cette soirée qui s’annonçait sous les meilleures augures. Seuls les plus jeunes ne comprenaient pas notre soudain empressement. Même Renan aida sa petite sœur et Lisa à ranger leurs jouets de plage. Il avait conscience qu’il allait passer une soirée entière sans ses parents, auprès de Céliane, qu’il semblait apprécier plus que de raison, et surtout, auprès de Marie-Rose dont il admirait la poitrine sans que presque personne ne s’en rende compte. Il était toujours assez près d’elle pour pouvoir admirer ces deux rotondités qui se balançaient au rythme de ses pas. Il était si peu discret que Marie-Rose finit par s’en apercevoir. Mais cela sembla lui plaire, d’être le fantasme d’un jeune garçon. Jamais son propre fils ne l’avait regardée ainsi. Et heureusement, sans doute. Elle était tellement attentionnée envers lui qu’elle se serait laisser aller à en montrer plus que nécessaire. Quand elle me parla de tout cela, je ne pus absolument pas savoir si elle le regrettait, ou bien si l’inceste lui faisait horreur. Nous l’avons laissée devant son bungalow, ainsi Ingrid et Fanny savaient où seraient leurs enfants pendant la soirée chez Joël. Ingrid et Jérôme rentrèrent se changer et préparer les jeunes enfants avant de nous rejoindre.
Fanny et moi avons rejoint Joël qui était déjà réveillé. Il ne put s’empêcher de poser sa main sur mes fesses, sans que Fanny ne le voie. Il devait se douter qu’il aurait bien plus, dans la nuit. Il ignorait évidemment à quel point je pouvais être perverse et calculatrice. Il fut enchanté lorsque Jérôme lui présenta enfin sa femme, qu’il avait aperçue quelques fois au magasin. Tout le monde prit place à la table que nous avions préparée, Fanny et moi. Joël face à Ingrid et donc Jérôme faisait face à Fanny, les deux hommes étant assis côte à côte. Très vite, son regard fut attiré par la poitrine impressionnante de la femme de son ami. Fanny aussi s’en aperçut et elle me regarda bizarrement. Moi, je jouais l’innocente et d’ailleurs, j’étais trop occupée à faire le service. Il avait été décidé que c’était moi, et moi seule qui devrait m’occuper des plats à servir.