Janvier 2015 (06/15)

Je fais une pause à mi- longueur, pour la laisser reprendre ses esprits. Avant de reprendre ma progression pour la pénétrer bien à fond. Encore une petite pause pour qu’elle prenne bien la mesure de ce qui lui remplit le cul. Et je me lance à fond dans une baise de folie, lui labourant les entrailles en m’accrochant à ses hanches. Sans aucune retenue, je sors complètement de son cul qui reste grand ouvert pour la reprendre à fond. Elle hurle une première fois sous l’orgasme qui l’envahit, mais cela ne m’arrête pas pour autant. Je veux la faire jouir encore et encore, et surtout jouir avec elle. Je m’accroche à sa poitrine, malaxant ses globes majestueux. Je sens enfin les prémices d’un tsunami qui nous emportera toutes les deux vers des paradis lointains. Je jouis enfin, et elle avec moi, dans un bel hymne à l’amour. Elle s’écroule sur le lit et je glisse à ses côtés, toujours enfoncée dans son cul. J’ai encore quelques spasmes qui font que je l’encule encore plus. Elle semble réagir et prête pour un nouvel orgasme. Je bouge doucement en elle, presque tendrement. Elle tourne son visage vers moi, suppliant de la faire jouir encore une dernière fois. D’une main, je caresse ses tétons tandis que l’autre titille son clito gonflé de plaisir. Et elle et moi repartons dans un nouvel orgasme, qui nous anéantit entièrement. Enfin, nous sommes comblées.

Après un tel bonheur, nous sommes restées sans voix, juste à se câliner. Puis, je l’ai portée sous la douche, tellement elle était exténuée, elle tenait à peine debout, je la soutenais tout en la lavant, puis elle me lava à son tour, restant appuyée le long de la faïence, et c’est moi qui présentais une face ou l’autre pour ses mains agiles. Après s’être essuyées, je l’ai soutenue jusqu’à sa chambre où se trouvaient mes vêtements. Je lui passais sa robe, sans rien dessous. On a mis nos manteaux avant de rejoindre sa voiture. L’air frais nous a fait du bien et elle m’a raccompagnée chez Amélie. Un dernier tendre baiser et elle me fit promettre de passer la voir chaque fois que je reviens à Saint -Malo. Le samedi matin, Francis m’amena à la gare. Nous étions le 03 Janvier et je rentrais à Nantes pour le week-end. J’arrivais en début d’après-midi chez moi. Je sautais dans les bras de ma mère pour lui souhaiter tous mes vœux, plus calmement pour mon père mais avec autant de ferveur. Puis, je prenais contact avec mes amies, Anna entre autres, pour savoir ce qu’elles avaient organisé pour la soirée. J’allais fêter dignement avec elles la nouvelle année. Rendez-vous fut pris chez Anna. J’arrivais en fin de soirée à son appartement. Elle était déjà prête et elle m’annonça que son amie, Alexandra, serait là très bientôt. Je savais bien évidemment qu’elle n’était plus seule depuis quelques mois et je les avais aperçues un après-midi au centre commercial Beaulieu. Mais j’arrivais comme elles partaient. J’avais pu m’apercevoir qu’elles semblaient très heureuses toutes les deux. D’ailleurs, Anna était vraiment resplendissante ce soir.

Un coup de sonnette bref et Anna se leva pour faire entrer sa jeune amie. 17 ans, blonde, magnifique. Des chaussures vernies sur des bas blancs, des Dim Up je pense, une jupette écossaise, un corsage blanc et une cravate écossaise assortie à la jupette. Une splendeur. Je me levais pour l’accueillir et elle me serra dans ses bras. Deux bises, tout près de la bouche. Anna apporta les rafraîchissements et me présenta sa petite chérie. Elle me rappela comment elles s’étaient rencontrées. Je me dois de vous présenter mon amie. Anna est née à Saratov, en Russie. Fille unique, et brillante dans ses études. Presqu’une surdouée. Avec en plus un physique de top model. Plusieurs fois, on lui a proposé de poser pour des photos, mais elle a toujours refusé. Elle ne souhaitait surtout pas de cette vie incertaine. Avec tous les risques que cela suppose. Anémie, drogue, prostitution. Elle est suffisamment intelligente pour éviter la plupart des pièges. Sa mère travaillait comme pharmacienne dans un hôpital, son père ingénieur dans la grande société des transports ferroviaires russes, la RZD (RJD maintenant) Il avait un second emploi comme garde forestier. Petite, Anna l’accompagnait dans de longues promenades. Elle adorait se promener en forêt, dans la nature en général. Elle est toujours restée simple malgré, ou grâce, à son intelligence. Sa pure beauté aurait pu en faire une pimbêche, mais là aussi, elle a su rester humble.

Étant fille unique, son plus grand plaisir en dehors de l’école, c’était de partir en vacances, en week-end, chez sa cousine Darya et sa famille. Ils vivaient tout près d’une forêt et y avaient une datcha. Toute la famille était naturiste et ils passaient tout le temps entièrement nus. C’est une coutume très répandue en Russie. D’autres familles vivaient de la même manière un peu plus loin, sur les bords du lac. Pas vraiment un lac mais une rivière nommée Yeruslan, qui forme comme des lacs naturels dans cette partie de la forêt. Ils y allaient le plus souvent possible, quelques fois la grande sœur de Darya, Polina et son mari Ilia les rejoignaient pour passer un peu de temps en famille. Anna a donc toujours été entourée de corps nus, principalement des femmes, ce qu’elle appréciait au plus haut point, sans vraiment comprendre ce que cela impliquait. Les hommes, quand ils avaient un peu trop bu, avaient parfois un geste déplacé, mais elle savait très bien les remettre à leur place. Par contre, quand sa cousine, ou sa tante, la frôlait, elle se sentait comme aspirée par ce contact. En espérant qu’il dure plus longtemps. Les plus proches voisins avaient deux fils, du même âge que les deux cousines. Darya étant plus âgée d’un an par rapport à Anna. C’est Polina qui fut la première à lui donner des sensations plus qu’agréables. Anna était penchée en avant pour ramasser quelque chose au sol et sa grande cousine lui empoigna ses fesses à pleines mains. Anna n’osait plus bouger, se laissant caresser les fesses. Polina l’aida à se redresser et en profita pour lui peloter les seins. Ses tétons tous durs lui faisaient mal mais pour rien au monde, elle ne voulait que ça s’arrête.

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