Été 2020 (03/30)

J’allais sortir quand elle ajouta qu’elle aimait garder les enfants, faire du baby-sitting, et qu’elle cherchait de nouvelles occasions pour aider les parents qui souhaitaient se libérer quelques heures, pour une soirée par exemple. Je lui dis que je penserais à elle si j’en entendais parler. Je passais voir Ingrid pour lui dire que je passais quelques jours chez Fanny, qui m’avait invitée. Jérôme était sorti avec les enfants. Je retournais donc chez Fanny qui m’attendait impatiemment. Joël avait déjà mangé et était parti se coucher. Il savait évidemment que je restais quelques jours chez eux et qu’il aurait certainement le temps de me connaitre intimement. Justine avait fait manger les deux autres enfants du couple et s’apprêtait pour aller se coucher à son tour. Je lui demandais de rester un peu avec nous et elle accepta, sachant très bien ce qui allait arriver. Et je ne l’ai pas fait attendre.

« Justine, ma chérie. Fanny et moi, on a parlé très longuement par téléphone et elle me disait sans cesse à quel point elle avait aimé sucer ta poitrine. Tu veux bien lui faire à nouveau plaisir ?  »

Ce n’était pas vraiment une question qui demandait de réponse. La seule chose qu’elle pouvait faire, c’est partir, ou bien ouvrir sa blouse. Que croyez-vous qu’elle a choisi ? Elle s’est approchée de sa patronne et elle l’a laissée déboutonner sa blouse, jusqu’en bas. C’est Justine toute seule qui a dégrafé son soutien-gorge pour offrir de nouveau sa merveilleuse poitrine aux lèvres gourmandes de Fanny. Je passais derrière elle pour ôter définitivement sa blouse et son soutien-gorge inutile. Fanny était heureuse comme tout avec cette poitrine qu’elle dévorait littéralement. Justine aussi était comblée, je le savais aux gémissements qu’elle ne parvenait pas à étouffer. Et j’en eus la preuve indéniable en glissant ma main entre ses cuisses. Sa culotte était déjà trempée de son nectar. Elle ne résista pas une seconde lorsque je commençais à lui descendre aux chevilles. Une bonne odeur de jeune fille emplissait la pièce. Fanny l’avait déjà goûtée précédemment, mais c’est un nectar dont on ne peut plus se passer, quand on y a pris goût. Mais c’était impossible dans cette position.

Fanny regagna le canapé et Justine la suivit. Elle monta sur les coussins pour offrir son intimité à une Fanny qui n’en attendait pas moins. Elle savourait son dessert avec un plaisir intense. Elle caressait les fesses, ou bien les seins, de son apprentie qui acceptait tout, sans rechigner. Pour ma part, j’écartais les genoux de Fanny pour me placer encore ses cuisses. Elle savait pertinemment ce que je désirais et elle avança ses fesses au bord du canapé. Sa tête avait glissé sur l’appui-tête du canapé et Justine s’était replacée en conséquence. Nouveau concert de gémissements dans ce salon. Fanny était vraiment à fleur de peau et elle jouit très rapidement. Ce fut un peu plus long pour Justine qui retenait son plaisir le plus longtemps possible pour qu’il soit monumental. Elle haletait, les bras posés au mur, sa tête dessus. Elle contenait son plaisir jusqu’à ce qu’il éclate enfin, magistralement. Elle s’écarta légèrement pour s’effondrer sur le canapé, près de Fanny qui avait repris des couleurs. Il était temps pour Justine de nous quitter, elle aussi devait se lever tôt, le lendemain. Je la raccompagnais jusqu’à sa petite chambre et l’aidait à se mettre au lit. Comme une enfant, qu’elle n’était plus depuis déjà longtemps. Je déposais un tendre baiser sur son front avant de partir. Elle retint ma main pour me demander.

« Tu seras toujours là, quand je vais revenir ?  »

« Mais bien sûr, ma chérie, que je serais encore là. Et nous ferons encore l’amour. À deux, ou à trois. Peut-être avec un garçon, ou un homme, tu en penses quoi ?  »

Je l’ai vue rougir mais je savais parfaitement que c’était ce qu’elle désirait. Elle a dû s’endormir avec cette pensée. Devenir femme réellement. J’ignorais, par contre, si elle pensait à un garçon en particulier, ou bien préférait-elle un homme, comme Joël, ou Jérôme ? Je savais, de la bouche même de Fanny, que son apprentie prenait quelques jours de vacances dans sa famille. C’était un peu la raison de ma présence auprès d’elle. Je retournais auprès de la maitresse de maison pour l’accompagner jusqu’à sa chambre à elle. Elle avait décidé que nous partagerions le même lit, chaque fois que son mari n’y serait pas. Pour ne pas la réveiller chaque matin, lorsqu’il se levait, il dormait paisiblement dans une autre chambre. C’est seulement en la voyant nue, dans son environnement, que je compris l’engouement des hommes pour les femmes enceintes. Presque tous les hommes. Et Jérôme était de ceux-là. Il me disait, en plaisantant, qu’il n’avait jamais autant aimé sa femme que lorsqu’elle était enceinte. Un autre jour, ou était-ce une nuit, il m’avoua avoir eu des pensées obscènes en me voyant enceinte de Dylan, moi aussi. S’il n’avait pas été marié, et déjà papa …

J’avais lu un article qui parlait justement des femmes enceintes et de leurs corps qui changeaient. Dans cet article, la journaliste avançait même qu’elles devenaient plus lumineuses, comme si un halo de lumière diffuse les entourait. Cette lueur, ce halo, je pouvais maintenant le distinguer autour du corps de Fanny. Jusqu’à ce qu’elle se couche. Je me déshabillais rapidement pour la rejoindre et la serrer dans mes bras. Elle était évidemment comblée par la soirée passée mais je pense que, par-dessus tout, c’est ma présence, auprès d’elle, dans son propre lit, qui lui donnait le plus de satisfaction. Je sais qu’elle n’osait pas en parler mais l’absence de son mari avec elle lui pesait énormément. Sa présence, et son empressement. Il avait tellement peur de lui faire mal, à elle ou au bébé, qu’il refusait catégoriquement de la toucher. Il avait fallu mon intervention, il y a quelques jours, pour qu’il ose enfin la toucher de nouveau. J’ai su, un peu plus tard, qu’il n’avait toujours pas osé recommencer. Fanny attrapa ma main pour la poser sur son sein et c’est ainsi qu’elle s’est endormie. Pour une nuit calme et reposante.

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