Mon père, mon Maître (15/24)

Chantal ? Était-ce celle que j’avais rencontrée, lors du mariage de notre cousine ? Je laissais maman continuer son récit, sans l’interrompre.

« Il avait prévu un plan pour qu’elle soit réceptive. Il avait remarqué qu’elle me couvait littéralement des yeux, chose que je n’avais jamais vue, ou devinée. Sur ses conseils, je l’ai attirée dans ma chambre sous un prétexte futile et, lorsque nous avons été seules, elle a enfin osé m’avouer ses sentiments. Ses désirs, ou ses envies plutôt. Il faut dire que j’avais fait fort. Sur les consignes de Roger, j’avais décidé de me changer devant elle. J’avais donc ôté tous mes vêtements, à l’exception de ma petite culotte. En me voyant presque nue devant elle, elle avait craqué en me disant qu’elle me trouvait très belle. Si Roger n’avait pas été derrière la porte, je l’aurais certainement rembarrée, mais je voulais voir jusqu’où elle était prête à aller et je rentrais dans son jeu. Elle s’est approchée, a commencé à me toucher, puis à me caresser. Je jouais la petite fille sage et timide. Mais qui acceptait tout ce qu’elle faisait. De petites caresses sur ma joue, elle est descendue sur mes épaules, mes bras pour finalement caresser mes seins. Je faisais à peine semblant de résister, en lui souriant béatement.  »

« Puis, j’ai baissé les bras, m’abandonnant totalement. Elle l’avait compris et je vis son sourire carnassier de gagnante. Elle savait que tout était possible pour elle et elle prit encore le temps pour m’apprivoiser. Je résistais tout de même un peu plus lorsqu’elle tenta de baisser ma petite culotte. Mais elle posa enfin ses lèvres sur les miennes et je me livrais entièrement à ses mains divines. Ses lèvres dans mon cou, sur mes seins. Elle me tétait avidement en baissant mon dernier rempart. J’étais nue et elle avait gagné. Roger avait ouvert la porte pour assister à la suite mais elle était tellement intéressée par ce qu’elle le faisait qu’elle ne l’a pas vu. Elle m’a poussée jusqu’à mon lit, m’a fait asseoir. Ses lèvres sont descendues sur mon ventre, puis entre mes cuisses, que j’avais ouvertes. J’étais son jouet, sa chose, et j’adorais ça. Elle commença à me brouter divinement et je pense que j’aurais pu jouir rapidement si elle n’avait soudain senti la présence derrière elle. Elle tourna la tête vers Roger, qui lui dit.  »

« Continuez, les filles. Ne vous dérangez pas pour moi.  »

« J’avais attrapé ses cheveux, tout près de ses oreilles, pour plaquer à nouveau sa tête sur mon intimité. Elle en avait tellement envie qu’elle accepta la présence de mon frère qu’elle connaissait bien. J’étais allongée sur mon lit, les pieds en-dehors, et Chantal était à genoux, sa tête entre mes cuisses. Quand je compris que la belle ne s’arrêterait plus, je me redressais légèrement sur mes coudes. Je vis Roger qui soulevait la jupe de la copine, découvrant une jolie culotte rose, en satin. Il caressa ses fesses et elle se laissait faire à son tour.  Accroupi derrière elle, il se frotta contre ses fesses et ses mains se saisirent de sa poitrine. Chantal ronronnait sous les caresses de mon grand frère. Peut-être avait-elle rêvé pareille situation ? Du coup, c’était bien réel. Elle grogna légèrement lorsqu’il baissa sa culotte. Une bonne claque sur ses fesses et elle reprit son léchage. Il lui ôta définitivement sa culotte en soulevant alternativement ses genoux. Il commença à la doigter et je savais que c’était un véritable expert en la matière. J’avais été son terrain d’entraînement et je peux dire que j’avais aimé tout ce qu’il m’avait fait découvrir. Il avait sorti sa grosse queue qu’il frottait désormais contre la fente de Chantal. Je savais qu’elle était trempée aux bruits que j’entendais. Elle n’a aucunement résisté quand il a pointé son gland à l’entrée de sa chatte. Peut-être espérait-elle ce moment où il ferait d’elle, une femme ? Elle ouvrit la bouche tout le temps que dura la pénétration. Roger l’avait si bien préparée qu’elle ne ressentit aucune douleur. Il était planté en elle et commença à la baiser. Elle replongea sa tête entre mes cuisses et me fit jouir intensément au bout de quelques minutes. Ensuite, elle profita pleinement de la queue qui la martelait sans relâche. Roger était infatigable et il la baisa très longtemps. Je relevais sa tête vers moi lorsqu’elle jouit intensément la première fois. Roger l’a ensuite positionnée sur le lit, près de moi, et il a continué à la prendre très fort. Elle a joui encore deux fois avant que Roger ne présente son gland devant sa bouche.  »

« La pauvre Chantal n’avait pas d’expérience en cette matière et c’est donc moi qui lui ai tout appris. Et elle apprenait très vite. Nous étions toutes les deux à genoux devant Roger lorsqu’il a arrosé nos deux visages de sa semence.  Je léchais tout ce que je pouvais, même sur le visage de Chantal, qui en fit de même. Chantal revint très souvent à la maison après cette première expérience. Toujours le même scénario. Elle me déshabillait, me caressait avant de me faire jouir avec sa bouche. Roger entrait en action et il la baisait activement pendant des heures. Plusieurs fois, il tenta de me baiser moi aussi, mais je refusais catégoriquement. Nous en avions déjà parlé, je voulais quelqu’un d’autre que lui pour ma première fois.  Un garçon que j’aurais choisi, qui m’aimerait autant que je l’aimerais. C’était mon désir le plus cher. Chantal profitait de moi, de mon corps, et ensuite de mon frère. Ou bien était-ce lui qui profitait de nous ? Je ne m’étais jamais posé la question avant ce soir. Il est vrai que, à force de le voir avec Chantal, j’avais de plus en plus envie de vivre moi aussi de tels moments d’extase. J’étais toujours une jeune fille sage, tandis que Chantal était un peu plus libertine. Comme nous étions souvent ensemble, dans la cour de l’école, c’est elle-même qui, un beau jour, me fit remarquer qu’un beau jeune homme semblait plus intéressé par moi que par elle, qui captivait pourtant beaucoup de regards. « 

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