Saint-Sylvestre 2014 (09/15)

Amélie s’était couchée en arrivant, tout comme son père. On savait de qui elle tenait. Lucie et Charlène montèrent un peu plus tard, et elles s’endormirent très vite. Je restais un moment avec Corinne, à discuter. Elle alla se coucher vers 7 heures du matin. Je rejoignais Amélie qui dormait profondément. Installée au bureau, j’échafaudais des plans futurs. Pas envie de dormir pour moi. Ce qui me donna le temps d’envoyer mes meilleurs vœux à toutes mes amies. SMS ou bien mails. Un peu plus tard, j’appelais Barbara, sur répondeur, puis Geneviève qui, elle, était déjà levée. Elle m’apprit qu’elle avait passé le Nouvel An à Avoriaz. Avec Barbara. Où elle possédait également un chalet. Puis, j’appelais Francine. Elle était super heureuse de mon appel et je lui proposais de passer la voir le lendemain après-midi, Vendredi 2 Janvier. Elle était déjà impatiente de me revoir. Elle avait des choses à me dire. J’allais prendre une douche vers 9 heures, en faisant le moins de bruit possible. Un coup d’œil dans la chambre des petites qui dormaient profondément. La couette était baissée et je voyais leurs jolis petits culs. Et le string qu’elles portaient. Je m’approchais pour les recouvrir. Deux adorables petites coquines.

9 heures 30, je descendais pour déjeuner. Peu habituée à me retrouver seule dans cette cuisine. Seconde fois, pour être précise. Je lavais, puis rangeais le peu de vaisselle en attente. J’allais remonter quand Corinne apparut dans une nuisette presque transparente. Elle me serra dans ses bras, tout simplement. Pas un mot, pas un geste de plus. Juste elle et moi, serrées poitrine contre poitrine. Je ne faisais aucun geste risquant de briser ce charme. Je ne sais combien de temps cela dura. Elle finit par s’écarter, les yeux brillants, emplis de joie. Je la fis asseoir et je lui servis son café. Quand elle put parler enfin, ce fut pour me dire qu’elle avait passé une excellente soirée, la plus belle depuis longtemps. Puis, comme souvent, je l’aidais à préparer le repas, dresser la table. Francis se leva et vint me faire un bisou sur le front, avant d’embrasser sa femme. Il souhaitait juste un café qu’il boirait dans son bureau. Corinne étant occupée, c’est moi qui le lui portais. Un peu avant de passer à table, je montais voir les filles. Lucie et Charlène sortaient de la douche et se séchaient mutuellement. Chacune vint m’embrasser, puis j’allais réveiller Amélie. Je la bousculais un peu pour qu’elle prenne sa douche rapidement. Le repas se passa de manière très conviviale, comme toujours. Vers 13 heures, un coup de téléphone. Corinne se leva.

« Mais oui, bien sûr, tu peux venir maintenant. On a fini de manger. À tout de suite. Et Meilleurs Vœux à toi aussi.  »

Elle revient à table et, se tournant vers Amélie.

« C’était Delphine. Elle demandait si elle pouvait passer te voir. Je lui ai dit oui, évidemment. Mais, dis-moi, cela fait bien longtemps qu’elle n’est plus revenue.  »

« Oui, mais je l’ai vue hier et elle m’a demandé pardon.  »

Elle arriva peu de temps après, et cette fois, ce fut moi qui me  suis levée pour aller l’accueillir. Je pris sa veste pour l’accrocher dans le vestibule et je lui fis la bise. Elle sentait bon le gel douche parfumé au jasmin. Elle portait la même robe, sans soutif, et je vérifiais, sans culotte non plus. Logique, puisqu’elle venait entre autres, chercher ses sous-vêtements que je n’avais pas pu lui rendre hier. Enfin, ce matin. Je la conduis dans la salle et elle fit le tour de la table pour saluer tout le monde et souhaiter ses vœux. Les jeunes restèrent pour aider à débarrasser la table et Amélie conduit Delphine dans sa chambre. Je la suivais dans l’escalier. Sur le palier, je coinçais sa robe autour de la taille et c’est cul nu qu’elle se dirigea vers la chambre d’Amélie. Quand elle la vit ainsi, elle se jeta sur sa bouche, une main déjà entre ses cuisses. Je dézippais sa robe pour la retrouver nue de nouveau. Mais cette fois, nous avions la place, et le temps pour bien nous occuper d’elle. Fière de son corps, elle se laissait faire et, aux bruits venant de sa chatte, je savais qu’elle y prenait beaucoup de plaisir. Je malaxais ses seins avec une joie non dissimulée. J’adorais ça, caresser une poitrine, surtout quand sa propriétaire s’abandonnait totalement à mes caresses. Petit à petit, on l’approcha du lit avant de la basculer. Amélie plongea entre ses cuisses et ma langue jouait avec ses tétons, bien durs déjà. Delphine était une vraie poupée entre nos mains. Et Amélie, d’habitude soumise, goûtait enfin les joies de la domination.

Entendant les soupirs de la jeune fille, Lucie et Charlène vinrent nous rejoindre. Charlène prit un des tétons en bouche, me laissant l’autre, et se mit à la téter. Lucie disparut un instant dans sa chambre pour revenir équipée du gode ceinture que je venais de lui offrir. La voyant ainsi, Amélie lui laissa sa place avec plaisir.

« Baise-la, à fond. Fais-la jouir, cette chienne.  »

C’est bien la première fois que je l’entendais être aussi grossière. Elle se prenait au jeu, totalement. Et tout le monde y trouvait son compte. Lucie s’approcha et imbiba le gode du jus de Delphine avant de la pénétrer d’un coup. Elle sursauta sur l’attaque mais très vite, le plaisir prit le dessus, l’emmenant au septième ciel. Lucie continuait pourtant à la baiser, accrochée à ses hanches. Charlène se déshabilla entièrement et s’allongea sur le corps nu de Delphine. Lucie avait maintenant le choix entre une chatte, ou l’autre. Elle alterna entre les deux grottes, toutes aussi humides. Charlène se frottait sur le clito de Delphine quand sa grotte était vide, Delphine reprenant le même geste quand Lucie remplissait Charlène.

Les deux coquines arrivèrent à jouir en même temps. Lucie, toujours équipée, entraina ensuite Charlène dans sa chambre, nous laissant toutes les trois. Une question me chiffonnait un peu. Delphine s’installa entre nous deux de façon à ce que nous puissions encore la caresser.

« Dis-moi, tu es partie bien vite ce matin. Je ne t’ai pas revue. Comment s’est passé le retour chez toi ? « 

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