FANNY (07/09)

Elle se mit à jouir une nouvelle fois, très fort cette fois. Elle ne tenait presque plus sur ses jambes. Tout le monde aida à débarrasser la table pour l’allonger dessus. Exposée ainsi à nos yeux, il ne fallut pas longtemps pour que tous se jettent dessus, une dernière fois. Après qu’elle eut joui encore plusieurs fois, c’est Fanny qui prit sa place, plus excitée que jamais. Luc avait porté Édith sur un des canapés pour qu’elle se repose, la nuit était loin d’être finie. Helena et Jacinta se partageaient chacune un des seins de ma collaboratrice, les garçons, eux, s’occupaient de sa chatte, brillante de mouille. Quand elle eut joui plusieurs fois, c’est une vorace, elle proposa de tous se retrouver dans la piscine. Tous les cinq, ils jouaient à se peloter, se caresser, sans se préoccuper de moi. J’étais debout, tout près du bord, à les observer. De ma position surélevée, je les dominais encore telle Cléopâtre surveillant les ablutions de ses esclaves avant de les utiliser pour son plaisir personnel. Reposée, Édith vint nous rejoindre et c’est elle-même qui décida d’ôter ma robe. Il était temps que je rentre dans le jeu, moi aussi. Voyant cela, les deux hommes cessèrent tout mouvement pour m’observer à leur tour. Contrairement aux jeunes filles, c’était la première fois qu’ils me voyaient nue. Ils étaient vraiment sous le charme, incapables de prononcer un mot. De ma position, je les invitais à m’aider à descendre dans l’eau, ce qu’ils firent avec beaucoup de délicatesse.

Dès que je fus dans l’eau, dans leurs bras musclés, ce furent les caresses qui commencèrent. Timidement d’abord, ne sachant pas comment j’allais réagir, puis plus franchement. Leurs doigts, leurs bouches, exploraient mon corps sans aucune retenue. Pour mon plus grand plaisir. Les filles, se sentant abandonnées, firent plus ample connaissance. Fanny avec Jacinta, Helena avec Édith. Je m’aperçus, au bout d’un moment, qu’elles avaient interverti leurs places, Fanny avec Helena et Édith avec Jacinta. Les duos, très proches, finirent en un magnifique quatuor, les mains caressant les corps à leur portée, les langues se mélangeant amoureusement. Pour une fois, ce qui est rare depuis ma rencontre avec Jenny, j’avais envie, j’avais besoin d’un homme, d’un sexe qui me transperce, qui m’envoie loin, loin, dans les paradis du plaisir. Mais j’étais incapable de choisir entre l’un ou l’autre. Il me fallait les départager. Pour cela, rien de tel qu’un petit jeu. Même si je n’aime pas beaucoup, je savais comment faire sans les vexer, tout en leur donnant du plaisir. Je les invitais donc à s’asseoir l’un et l’autre sur le rebord de la piscine, les pieds dans l’eau, jambes écartées. Sans vouloir le croire, ils me voyaient approcher et prendre place entre leurs cuisses. Mes mains entrèrent en action, caressant chaque queue comme si c’était un trésor. Tout en les masturbant gentiment, je leur annonçais, avec ma petite voix coquine, que celui qui tiendrait le plus longtemps aurait le droit de me faire l’amour en premier, le perdant aurait aussi droit à mon corps, mais seulement quand le vainqueur en aurait fini avec moi.

Je vis tout de suite leurs visages se fermer. Ils n’étaient plus copains, mais adversaires pour ce jeu. Et chacun voulait gagner, prouver à l’autre, et à moi-même, qu’il était le plus beau, le plus fort. Après mes mains, ce fut ma bouche qui entra en action, même traitement pour l’un comme pour l’autre. Je leur jetais des œillades, de temps en temps pour deviner qui lâcherait prise le premier. Un petit clin d’œil malicieux vers Hafid. Il se raidit dangereusement, mais se retint juste à temps. Pareil pour Luc. Qui se retint lui aussi, avant de tout lâcher. Il arrosa ma gorge de son sperme délicieux. J’avalais avec difficulté, tant la dose était puissante, et abondante. Le regard dépité de Luc, heureux pourtant d’avoir eu l’honneur de ma bouche. Que dire du regard de vainqueur de Hafid !!! Ni une, ni deux, il m’attrapa sous les aisselles pour me sortir de l’eau. J’atterrissais directement sur ses cuisses musclées, sa queue pointait déjà vers ma grotte. Humide, je l’étais, et prête à l’accueillir en moi, sous réserve qu’il soit doux. Il m’agrippa par les hanches pour m’attirer plus près de lui. Instinctivement, son gland se retrouva à l’entrée de ma grotte et, lentement, inexorablement, il prit possession de mon corps. Ma position, totalement ouverte, avait facilité sa progression. Je me sentais parfaitement bien, remplie. Heureuse quoi. Il était en moi mais ne bougeait pas, pas encore.

Il avait l’habitude, avec la taille de son gourdin, de laisser le corps de sa proie s’habituer à l’intrus. Oui, c’est exactement ça, j’étais devenue sa proie, il me tenait par sa queue bien fichée en moi. Moi qui avais dirigé presque toute la soirée, je subissais le bon vouloir de son mandrin qui commençait à s’agiter en moi. Par de petites impulsions, il prenait la mesure de mes envies, de mes besoins et, voyant que je répondais favorablement, il sauta dans l’eau pour regagner la liberté de ses mouvements. J’accrochais mes jambes autour de sa taille, mes bras autour de son cou. Il continuait à avancer dans l’eau et, à chaque pas, s’enfonçait un peu plus en moi. Ce n’était qu’une sensation car il y a bien longtemps qu’il était rendu au plus profond de ma petite chatte. Mes fesses étaient hors de l’eau désormais et il en profita pour donner quatre ou cinq coups de rein qui déclenchèrent mon premier orgasme. Content de lui, il se fit plus calme, plus posé. Plus tendre aussi. Je ne peux pas, (ne veux surtout pas) en être certaine mais je pense qu’à ce moment précis, un mot, un geste, et il tombait littéralement amoureux de moi. Ce n’était pas ce que je voulais, pas plus que lui. Nous étions arrivés au bord de la piscine. Il m’aida à me retourner, posa mes mains sur le muret avant de me reprendre, par derrière. De cette façon, j’avais l’impression qu’il rentrait encore plus loin en moi. Il me défonçait à toute vitesse, voulant en finir enfin. Il ressortit, ôta le préservatif et arrosa mon dos de sa semence. Cela semblait ne jamais s’arrêter. Je le repris en bouche pour le remercier des multiples orgasmes que j’avais pu ressentir entre ses mains. Luc s’était facilement consolé entre Fanny et Helena. Il bouffait les seins de l’une tandis que l’autre le chevauchait. Puis, ils changeaient les rôles. Lui restait allongé et les filles changeaient leurs places.

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