SABRINA (04/07)

Les bosses qui déformaient leur pantalon en témoignaient. Au lieu de s’asseoir, elle se dirigea vers moi, et m’entraina sur la piste de danse improvisée. Elle dansait collée serrée contre moi, ce qui excitait encore plus les mâles. Subrepticement, elle glissa deux doigts sous sa minijupe et baissa son string juste à la limite. Ensuite, en dansant, tous les mecs purent assister à la descente progressive, jusqu’aux chevilles. Elle l’ôta et me le fit sentir. La danse se termina et elle choisit un seul partenaire, un des deux allemands, et n’accepta plus de caresses que de lui. On a appris, le lendemain, que les deux allemands avaient passé la nuit avec elle. Nous étions tous logés dans le même hôtel et on se retrouvait pour le petit déj.

Le second soir fut plus calme. On est sortis manger au restaurant. Les deux filles étaient là, et presque tous les mecs. Juste un français pantouflard qui restait à l’hôtel et discutait avec sa femme via Skype. Ambiance sympa entre nous. Inga, la jeune néerlandaise, ne s’intéressait plus aux deux allemands. Mais elle regardait très souvent vers moi. Avait-elle senti que j’aimais surtout les femmes ? La jeune anglaise se montra sous son meilleur jour, bien qu’il fasse nuit, lol. On rentra tous ensemble à l’hôtel, à pied. Amber, la jeune anglaise, ne paraissait pas avoir bu plus que les autres mais, tout le long du chemin, elle s’appuya sur moi pour marcher. Ce n’était pas désagréable de sentir sa poitrine contre mon bras. Même si je savais que cela n’irait pas plus loin. On était tous à des étages différents, aussi je la raccompagnais jusqu’à sa chambre.

Elle s’écroula sur le lit en y entrant. J’aurais pu profiter de la situation. J’aurais dû, mais je n’ai pas osé. Peut-être était-ce justement ce qu’elle voulait ? Que je profite d’elle. Je lui ai juste ôté ses chaussures et l’ai recouverte du plaid. Je retournais dans ma chambre mais, à peine entrée, on frappa à la porte. J’ouvrais pour me retrouver face à Inga. Avant que je ne dise un mot, elle s’était déjà jetée sur mes lèvres entrouvertes, serrant son corps contre le mien. Elle dansait à nouveau contre moi mais cette fois, je sentais son désir de me faire l’amour. Doucement, elle m’avait guidée jusqu’à mon lit sur lequel elle me poussa. Le temps que je me redresse sur les coudes, elle avait déjà ôté sa robe et s’avançait vers moi, féline et sauvage. Elle, juste en string. Elle plongea entre mes cuisses restées entrouvertes et fit remonter ma robe. Elle s’attaqua à mon string tandis que je finissais de me dévêtir. Sa bouche sur mon clito était parfois tendre, parfois plus sauvage. Elle le prit entre ses dents et me regarda droit dans les yeux. Ses yeux magnifiques justement qui semblaient me dire :

« Je te veux, je te mange ».

Et elle l’a fait. Plusieurs fois. J’ai atteint l’extase plusieurs fois sous ses caresses avant qu’elle ne me laisse lui faire plaisir à mon tour. Nous n’avons pas eu besoin d’artifices, nos bouches, nos doigts, suffisaient à notre bonheur. Elle est restée jusqu’à 6 heures du mat. On a pris notre douche ensemble avant qu’elle ne regagne sa chambre pour se changer. On s’est retrouvée pour le petit déj, en bas. Amber était déjà attablée et semblait avoir oublié sa fin de soirée. Elle n’était pas si saoule que cela, enfin, je crois. Je lui racontais comment on était rentrées et que je l’avais couchée. Rassurée, elle se leva pour déposer un bisou sur mon front avant de regagner sa chambre. Je restais seule un instant avec Inga face à moi et je pouvais lire dans ses yeux le désir qu’elle avait de me prendre là, sur la table, devant tous. Les hommes arrivèrent et l’étincelle s’éteignit. La journée fut éprouvante pour tous et le soir, je décidais de rester dans ma chambre à l’hôtel. Je retrouvais Jenny sur Messenger, et Sophie via Skype.

Le lendemain, au petit déj, je vis arriver Inga avec sa tête des mauvais jours. Pas un mot, ni une explication. L’un des français, par contre, semblait très heureux de sa nuit et s’en vantait devant ses collègues, qui eux, mataient la jeune néerlandaise. Cela me donna l’explication. Elle avait choisi un nouveau partenaire pour la nuit mais n’avait certainement pas été comblée. Pas autant que lui. C’est elle-même qui m’en reparla, plus tard, à la pause de 10 heures. Elle regrettait la nuit passée avec moi. « Marvelous night » comme elle la qualifiait. Ou bien, il lui fallait de multiples partenaires pour enfin pouvoir prendre son pied. Le jeudi soir était censé être notre dernière soirée entre nous et nous nous retrouvâmes tous ensemble au restaurant, même le pantouflard, lol. Amber s’installa d’autorité près de moi. « Pour que je contrôle sa consommation d’alcool » m’avait-elle dit. Sans vraiment la surveiller, je constatais qu’elle buvait autant que moi. Pourtant, au moment de se lever, la tête lui tourna et elle faillit tomber. Je la rattrapais de justesse, la serrant contre moi. Comme l’avant-veille, je dus la soutenir pour retourner à l’hôtel. Inga et la plupart des mecs avaient décidé de continuer en boite de nuit. J’aime faire la fête, et même plutôt deux fois qu’une, mais je n’oubliais pas que je représentais mon entreprise et, au-delà, l’enseigne qui nous avait formé ces quelques jours. Donc, j’avais décliné leur invitation et ils étaient partis. Comme l’autre nuit, je raccompagnais Amber dans sa chambre. Cette fois, je la déshabillais entièrement. Il ne lui restait que ses sous-vêtements. Je lui murmurais « bonne nuit, ma belle » et je m’apprêtais à éteindre la lumière quand elle saisit mon poignet.

« Stay with me, honey ».

Et elle m’attira sur elle. Je me laissais tomber sur le lit, près d’elle, et elle se jeta sur ma bouche. Son baiser était passionné, et sauvage. Elle semblait se libérer d’une tension immense. Celle qui l’obligeait à cacher sa préférence pour les femmes. Elle me déshabilla rapidement et se positionna tête-bêche sur moi. Je baissais sa culotte pour atteindre sa grotte d’amour, déjà bien lubrifiée. On se bouffait mutuellement la chatte avec passion. Elle m’amena très vite au plaisir suprême. Pas elle. Pas encore. Elle récupéra un sac contenant ses sex-toys. Elle en sortit un gode ceinture qu’elle enfila, me demandant de le lui fixer.

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