Julie, ma voisine adorée (04/05)

Elle se pencha pour l’aspirer à son tour, jouer avec son clito sorti des nymphes. L’une comme l’autre, avides de plaisir, elles jouirent dans un merveilleux concert de soupirs.

De les voir si heureuses, tellement comblées, donna des envies à Julie qui attira son soumis entre ses cuisses. Il savait pertinemment ce qu’on attendait de lui. Je ne voyais que la tête qui bougeait sous sa jupe, mais dans les yeux de Julie, le bonheur qui l’illuminait. Amélie, remise de son orgasme, pensa à raison qu’il était temps qu’elle s’occupe un peu de moi. Elle prit place entre mes cuisses que je lui ouvrais bien volontiers. Je me laissais gagner par le plaisir à mon tour, un œil sur ma chère tante, toujours dans les vapes. Elle avait gardé la même position, les cuisses grandes ouvertes. Vu la position qu’elle occupait, Amélie avait glissé sa main entre les cuisses du garçon et lui malaxait les couilles, quand elle ne le branlait pas. N’ayant pas eue l’autorisation de jouir cette fois, il se retenait le plus possible, tout en procurant de délicieuses caresses à sa maîtresse. Elle ne tarda pas à jouir, et moi juste après. Nous sommes restées de longs moments à récupérer, tandis que les deux lécheurs finissaient de nous nettoyer.

Au bout d’un moment, Enzo se leva et débarrassa la table. Il releva aussi la chaise d’Angélique. Amélie dégrafa sa robe, boutonnée devant, avant de lui délier les poignets. Elle nous apparut alors dans le plus simple appareil. Nue comme au premier jour. Désirable, les seins encore gonflés de la jouissance qu’elle venait de ressentir. Angélique passa à son tour les mains sous la robe d’Amélie qui se laissa déshabiller. Puis, celle-ci l’enjamba pour lui donner sa poitrine à lécher. Elle se frottait sur son ventre, on voyait déjà sa mouille qui brillait sur le ventre nu. Amélie se dirigea vers le canapé, entraînant Angélique. Elle s’allongea dessus et plaça ma tante devant l’accoudoir. Celle-ci se pencha doucement pour boire directement à la source du plaisir. Julie s’approcha plus près pour mieux voir et participer aussi. Elle s’amusa à tirer sur le plug dans le cul de ma tante, mais sans le sortir totalement, puis elle fit signe à Enzo d’approcher, le saisit par la queue pour le branler. Quand elle le jugea prêt, elle guida elle-même la queue vers la chatte ouverte, non sans lui avoir enfilé un préservatif au préalable. Il s’y engouffra avec un vrai soupir de contentement et commença à la baiser. Julie sort son gode ceinture du sac et me le présenta pour que je le lui mette. Elle savait à quel point cela me faisait plaisir.

Je m’approchais derrière elle, la laissant profiter du spectacle. Je la pris par la taille, puis mes mains remontèrent sur sa poitrine gonflée de plaisir. Je dégrafais son chemisier, mes doigts s’immisçant petit à petit sur ses seins. Le chemisier ôté, je défis l’attache de la jupe qui glissa au sol. Des bisous sur ses épaules accompagnaient son soutif qui rejoignit les autres habits. Doucement, embrassant son dos, je m’agenouillais, entrainant sa culotte. Elle était nue, frémissante de désirs. Je lui enfilais enfin le gode ceinture, l’ajustant parfaitement. Je savais quelles étaient ses intentions. Je pris le tube de lubrifiant pour en badigeonner le membre bien raide. Puis, je déplugais son soumis et je l’aidais dans son délire. Elle le pénétra d’un coup d’un seul. Je me replaçais derrière elle, bien collée à son corps que j’accompagnais dans ses coups de queue, mes mains bien accrochées à sa poitrine. C’était divin, j’avais vraiment l’impression de baiser moi-même le jeune homme, tout en caressant un corps de femme. Voyant que j’étais la seule encore habillée, j’ôtais mes vêtements pour me retrouver nue comme tout le monde. Je pris place sur le canapé en relevant la tête d’Amélie que je posais sur ma cuisse. Sa voluptueuse poitrine à portée de mes doigts. Elle me sourit, m’indiquant qu’elle appréciait. Puis, elle ferma les yeux pour profiter pleinement de sa jouissance. Puis, ce fut le tour d’Enzo de se lâcher, ce qui déclencha l’onde de choc qui parcourut le corps de ma tante.

Seules Julie et moi n’avions pas joui, pas encore, bien que le spectacle offert valait tous les films que j’avais pu voir. Amélie fut la plus prompte à réagir. Elle s’agenouilla devant le jeune homme qui retrouva très vite sa vigueur sous la langue experte. Puis elle l’allongea sur la table basse, continuant à le pomper vaillamment. Quand elle estima qu’il était suffisamment dur, elle s’empala sur le vit, de nouveau bien bandé et encapuchonné. Puis elle se déchaîna sur la queue de plus en plus dure. Vu qu’il venait de jouir, il pouvait tenir des heures maintenant. Il avait de l’entraînement. Julie se mit de la partie, ôtant le plug dans le cul d’Amélie pour prendre la place bien préparée. Elle s’agrippa aux hanches généreuses pour bien la prendre à fond. Angélique attendait son tour assise sur le canapé. Je lui présentais mon gode ceinture, le plus gros, qu’elle avait déjà goûté, lui demandant de m’équiper. Elle était tellement ouverte que je n’eus pas besoin de lubrifiant. Je la pénétrais d’un coup. Puis je la limais à fond, comme j’avais vu Enzo le faire. Elle succomba bien vite sous mes coups violents, rejoignant Amélie dans la jouissance. Les deux femmes hurlaient leur bonheur. Sans honte. Juste heureuses.

Julie, exténuée, s’affala sur le canapé, tout près d’Angélique. Amélie vint s’assoir de l’autre côté. Angélique se tourna vers Julie pour la remercier de ce moment magique. Elle approcha sa bouche, Julie ouvrit la sienne, pour recevoir le plus tendre des baisers. Amélie prit la main droite de Julie qu’elle emprisonna entre ses cuisses, puis caressa son ventre pour enfin remonter sur sa poitrine, divine. La réaction de Julie me surprenait, un peu, mais me ravissait. Elle rendait son baiser à Angélique et se laissait caresser par Amélie. Mieux, elle écarta les cuisses, prise par l’ambiance hyper sensuelle qui régnait dans son salon. Ainsi offerte, je ne pouvais qu’accepter cette offrande de son corps. Je m’agenouillais entre ses cuisses qui s’ouvrirent un peu plus, me donnant l’accès à son paradis. Je profitais pleinement de sa chatte magnifique, léchant et aspirant ses lèvres intimes, jouant avec son clito, gorgé de sang, puis ma langue partit à la découverte de son cul, sa rondelle qui frémissait sous mon souffle chaud. Elle gémissait de plaisir, tout son corps gémissait. Tendue comme un arc, elle souleva ses fesses du canapé quand la vague l’envahit. Je glissais mes mains sous ses fesses pour mieux plaquer ma bouche contre son minou que je dévorais. Rarement, je n’avais eu l’occasion de profiter autant de son corps, si bien fait pour l’amour. Une fleur magnifique s’ouvrait entre ses cuisses. Sa fleur d’amour. Les bouches d’Amélie et d’Angélique se retrouvèrent sur sa poitrine qu’elles se mirent à téter goulûment. Je me relevais pour admirer ce spectacle. Je n’avais pas ôté mon gode ceinture, contrairement à Julie. Quand elle aperçut cette queue énorme entre mes cuisses, ses yeux s’illuminèrent soudainement.

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