Wendy, ma petite sœur très coquine à qui je ne peux rien refuser, s’est mis en tête de s’occuper de perruches. Elle avait vu un reportage dans lequel une femme en avait trois couples et souhaitait commencer son élevage par un couple. Elle s’était abondamment renseignée sur les diverses variétés sans pouvoir vraiment décider l’une ou l’autre. Papa étant d’accord, elle avait un budget (presque) illimité. Je l’emmène donc dans une animalerie pour acheter une cage, la nourriture et les deux oiseaux, bien sûr. La cage, elle prit la plus grande. Et la plus chère, lol. La nourriture pouvant varier d’une variété à l’autre, elle se retrouva devant les différentes variétés d’oiseaux, incapable de choisir.
Une cliente du magasin, voyant son désarroi, décida de l’aider. Elle lui conseilla, en tant que débutante, de prendre des mandarins pour commencer. Ce ne sont pas vraiment des perruches mais ils sont très résistants, faciles à élever et produisent rapidement des petits quand ils sont dans un environnement favorable. Par contre, les prix pratiqués dans ce magasin étaient exorbitants, selon ses dires, sans pour autant garantie de succès. Elle aussi avait commencé avec des oiseaux achetés en magasin mais elle s’était rendu compte qu’ils mourraient très vite. Elle en parla à un éleveur qui lui avait ri au nez, traitant ce type de magasins des attrape-nigauds. Elle l’avait suivi dans son petit élevage pour acheter un couple. Effectivement, la différence était flagrante, même au niveau du prix. Elle n’achetait plus que chez des éleveurs depuis cela. Quand Wendy lui demanda l’adresse d’un éleveur, elle lui sourit en lui disant qu’elle en avait un, une en l’occurrence, devant elle.
Par chance, elle avait justement des petits mandarins qui venaient de naitre il y a peu, et pouvait donc lui en vendre un couple. Avant de la suivre, on lui montra la cage que Wendy avait choisie. On ajouta les divers éléments nécessaires et la nourriture. Je passais à la caisse en demandant à être livrée. Pas de problèmes, vu la somme que l’on dépensait chez eux. Carolyn se présenta à nous et nous invita à la suivre chez elle. Elle habitait aux alentours de Vence, dans le moyen pays niçois, entre mer et montagne. Sur son terrain, près d’une dépendance, elle avait fait bâtir une grande volière de 20 mètres carré à peu près, séparée en trois éléments distincts. Il fallait séparer certaines variétés des autres. Les petits, aussitôt sevrés, étaient également séparés des autres.
Wendy était en admiration devant les couleurs chatoyantes des perroquets, perruches et autres variétés. Carolyn nous montra où elle stockait la nourriture, à l’abri des rats très friands de ce type de graines. Elle en sortit une dose qu’elle demanda à Wendy d’aller la donner aux perruches. Elle se pencha à nouveau pour se resservir et me bloqua contre le mur avec ses fesses. Elle était collée à moi. J’allais m’excuser et tenter de me dégager quand je sentis qu’elle y prenait un certain plaisir. Je posais mes mains sur ses hanches et me frottais contre son cul. Elle se laissa faire. Wendy demanda si elle devait aussi nourrir les perroquets et vint chercher une nouvelle dose. Carolyn s’était redressée, la dose dans une main, mais elle était restée collée à moi. Mes mains n’avaient pas quitté ses hanches. Wendy disparue, mes mains emprisonnèrent sa délicieuse poitrine. Une bonne poitrine, volumineuse comme je les aime. Carolyn était visiblement en manque de caresses et d’attentions. Je lui demandais de se tourner vers moi, lentement. Puis, j’osais.
« Embrasse-moi ».
Elle n’hésita qu’une seconde et, fermant les yeux, elle colla ses lèvres aux miennes. Délicieux et tendre baiser que je lui rendais. Nos langues jouaient l’une avec l’autre. C’était, elle me l’avoua plus tard, son premier baiser avec une femme. Nous nous sommes séparées à regret, puis elle a préparé une petite cage pour le transport du couple de mandarins. Nous sommes toutes passées dans son salon pour boire un rafraîchissement et régler ce que nous lui devions. Encore une fois, nos doigts entrèrent en contact et je sentais bien qu’elle était en attente d’un geste, d’un mot. Je lui laissais ma carte de visite avec mes numéros de téléphone, je notais les siens sur une autre carte, promettant de l’appeler pour lui rendre la cage de transport. Wendy fut livrée trois jours plus tard et j’appelais aussitôt Carolyn pour lui restituer son bien. Elle me donna rendez-vous le lendemain, vers 18 heures. J’étais devant son portail dix minutes avant l’heure, cinq minutes avant qu’elle n’arrive. Je rentrais la voiture juste derrière la sienne, descendais la cage pour la lui rendre.
Elle alla la ranger dans une dépendance et, en se retournant, elle me retrouva face à elle. Inutile de dire un mot, ou de faire un geste, elle attendait ce moment depuis que je l’avais quittée. Elle se jeta dans mes bras, me serrant contre elle. Ses lèvres cherchaient les miennes, les trouvèrent et se collèrent encore une fois pour un baiser interminable. Mais cette fois mes mains ne restaient pas inactives. J’avais relevé sa robe et glissé mes doigts dans sa culotte, sur son cul adorable. Mon autre main caressait ses seins de déesse grecque, ou romaine. Sa culotte descendit progressivement et je pus enfin atteindre sa fente juteuse. À peine l’effleurais-je qu’elle partit dans un orgasme ultra violent. Ses pieds se dérobaient sous elle et je l’aidais à s’asseoir sur le bac contenant la nourriture de ses oiseaux, celui-là même où, en se penchant exagérément, nous avions connu notre premier contact. Elle se remettait doucement, cherchant à reprendre sa respiration. Sa culotte à ses chevilles, je me baissais pour la ramasser, me retrouvais devant sa vulve brillante, et odorante.
Elle n’eut pas la force de me repousser, d’ailleurs, le voulait-elle ? Au lieu de cela, elle écarta les cuisses au maximum et posa une main sur ma tête, acceptant son premier cunni. Elle était vraiment délicieuse, un vrai nectar coulait de sa chatte et, plus je léchais, plus elle en produisait. Comme une corne d’abondance, une source intarissable. Le second orgasme la prit complètement par surprise. Jamais de toute sa vie, elle n’avait éprouvé deux orgasmes aussi rapprochés. Et aussi forts. L’un et l’autre étaient au-delà de tout ce qu’elle avait connu avec son mari, et avant lui, les quelques copains qui avaient eu l’honneur de ses charmes. Je la laissais reprendre ses esprits avant de l’aider à regagner sa maison. Elle prit les clés dans son sac mais ne trouva pas la serrure. J’ouvrais moi-même la porte et l’emmenais direct sur son canapé. Je pris place près d’elle et elle se serra contre moi. La tête sur ma poitrine, je l’écoutais se confier.
« Emma. Tu sais … C’est la première fois … Avec une femme … Je veux dire … Toi … Tu es la première. Même l’orgasme. C’est la première fois aussi violent. Tout ce que j’ai connu avant. Rien à voir avec aujourd’hui. Tu peux me promettre que ce sera toujours aussi fort ? »