J’enlevais mon tee-shirt pour lui dévoiler mes seins encore très excités par la caresse buccale qu’ils venaient de subir. Ingrid pensa sûrement que j’étais excitée simplement par la vision de son accouplement avec Jérôme. Elle plongea sa tête entre mes seins et les lécha, comme Jérôme lui faisait actuellement. Heureusement qu’elle n’a pas vue la main de son mari remonter sous ma jupe pour atteindre mes fesses. Pas sûre qu’elle aurait compris. Quoi que !!! C’était certainement la première fois qu’elle léchait une poitrine de femme et je dois dire qu’elle s’en sortait plutôt bien. Et même mieux que bien. Comme si elle avait toujours voulu essayer sans jamais n’avoir pu expérimenter en situation réelle. Elle ne s’offusqua d’aucune manière lorsque je plongeais ma main sur son ventre, puis entre ses cuisses, tout en haut de sa chatte maltraitée par son mari. Je trouvais évidemment son bourgeon, déjà sorti de sa cachette. Toute à mon plaisir, de donner et de recevoir, je tournais la tête vers la porte de la salle où nous étions et j’aperçus Céliane qui nous observait en cachette. Je lui fis signe de retourner immédiatement dans sa chambre. J’imaginais la colère de ses parents s’ils savaient qu’elle nous regardait. Elle me fit un clin d’œil en levant son pouce, pour me faire comprendre à quel point elle appréciait ce que je faisais avec ses parents. Avec sa mère, principalement, puisque la relation avec son père, elle la connaissait depuis le début. Elle a disparu en silence, sans se faire remarquer.
Ingrid venait d’inonder les cuisses de son mari. Elle se leva difficilement, je l’aidais en la maintenant et elle se jeta littéralement sur ma bouche. Sa jupe glissa sur le sol, sûrement Jérôme qui l’avait dégrafée. Contre toute attente, c’est Ingrid elle-même qui m’entraina dans sa chambre et qui défit ma jupe avant de s’accroupir devant moi. Méticuleusement, elle baissa mon string avant de poser un tendre baiser sur mon pubis. Jérôme nous avait évidemment suivies et observait son épouse qu’il n’avait jamais vue aussi dévergondée. Et ce qu’il voyait lui plaisait au plus haut point. J’attirais la tête de ma belle-sœur entre mes cuisses et, malgré une toute légère hésitation, elle commença à me lécher divinement. Jérôme était nu désormais et se plaça derrière moi. Sa queue contre mes fesses et ses mains enveloppant mes seins. Ingrid savait parfaitement que son mari était collé à moi. D’ailleurs, elle attrapa sa queue et commença à le branler gentiment. Le gland venait parfois heurter mes fesses et j’en éprouvais un vif émoi. Surtout quand il s’approchait de mon petit trou. Ingrid était-elle consciente de ce qu’elle faisait ? Qu’elle allait permettre à son mari de m’enculer ? Que c’était le frère et la sœur qui allait faire l’amour devant ses yeux, qu’elle en serait l’instigatrice ?
Je pense que, perdue dans son plaisir, elle voulait juste aller au bout de ses envies, faire l’amour avec une femme, et avec son mari. Pour ne pas le tromper. Pas vraiment. Elle s’arrêta un instant de me lécher pour glisser le sexe de son époux à l’entrée de mon cul. C’est moi-même qui me suis empalée sur son membre démesuré. Lentement. Profitant pleinement du moment présent. Ingrid reprit son léchage en règle pendant que Jérôme s’enfonçait profondément en moi. Ingrid glissa deux doigts en moi pour me baiser au même rythme que son mari imposait à mon p’tit cul. Elle embrassait parfois mon clito, ou bien l’aspirait voluptueusement. Même si j’appréciais énormément ce qu’ils me faisaient l’un et l’autre, c’est surtout la situation qui me fit jouir intensément. Ma belle-sœur venait d’offrir mon cul à son propre mari ! C’était hallucinant et tellement fantastique que j’en voulais plus encore. Je me libérais de leur étreinte, j’aidais Ingrid à se relever en la poussant sur son lit. Elle s’écroula, cuisses grandes ouvertes et je plongeais à mon tour entre ses cuisses. Dans cette position, Jérôme n’avait plus qu’à s’approcher et choisir l’entrée qui lui convenait le mieux. Vous ne serez pas surpris si je vous dis qu’il a repris mon cul. Il voulait me remplir les intestins. Ingrid n’était pas restée inactive.
Elle avait agrippé mes cheveux pour maintenir ma tête collée à son intimité. Il était grand temps pour elle de jouir à nouveau. Je buvais son nectar abondant et je titillais son clito sorti de son capuchon. Je mouillais deux doigts en elle pour les poser sur sa rondelle. Je me doutais que mon frère l’avait déjà initiée par derrière et j’en eus la preuve immédiatement. Mes deux doigts furent aspirés littéralement par son cul et je rajoutais un troisième qui fut plus difficile à faire pénétrer. Elle avait relevé ses jambes à la verticale pour m’offrir toute son intimité. En entendant ses cris de plaisir, Jérôme ne put résister et éjacula abondamment dans mon p’tit cul. Il vint s’écrouler sur le lit près de nous et il put voir directement ce que sa femme subissait allègrement. Il avait besoin de repos, de reprendre des forces. J’avais toujours envie de plus et, une fois de plus, je fus surprise que ce soit Ingrid qui prit de nouveau l’initiative. Elle me tira sur le lit, m’obligeant à m’allonger et vint se placer au-dessus de moi. Elle plongea immédiatement entre mes cuisses largement ouvertes et je profitais pleinement de sa chatte offerte sous mes yeux. Je pense que c’est la vision de son gros cul, pas si gros que ça, qui réveilla les instincts primaires de Jérôme. Il se leva et vint se placer derrière sa femme.
Sa grosse queue était parfaitement bandée et prête à investir n’importe quelle place. C’est ma bouche qui eut cet honneur en premier, puis la chatte dégoulinante de sa femme. Il retourna quelques instants dans ma bouche avant de s’approcher de son anus frétillant. J’étais aux premières loges pour voir sa queue impressionnante disparaître, centimètre après centimètre dans le fondement d’Ingrid. Elle stoppa son léchage tout le temps de l’introduction, et le reprit une fois qu’il fut profondément ancré en elle. C’était un spectacle hallucinant et terriblement érotique auquel j’étais en train d’assister, et même de participer.