Hortense (11/18)

Il caressa les cuisses qui s’écartaient, remonta jusque sur les fesses qu’elle lui abandonna totalement. Elle s’est même penchée en avant pour bien tendre ses fesses vers lui. Elle profita un instant de ce moment magique avant de tourner son visage souriant vers lui. Un sourire coquin illuminait son visage. Il prit alors son courage à deux mains et osa de nouveau poser sa main gauche sur son sein gauche. Elle ferma ses doux yeux pour lui confirmer que c’était bien cela qu’elle espérait. Elle se laissa peloter les fesses et la poitrine, jusqu’à ce que le téléphone ne sonne et ne vienne briser la magie de l’instant. Il prit le combiné et elle se redressa, remit de l’ordre dans sa tenue et quitta le bureau.

Je n’étais évidemment pas présente avec eux, dans le bureau. C’est maman qui m’a raconté tout ça bien plus tard. En fait, elle voulait, ou souhaitait, aller plus loin avec lui mais elle avait peur de perdre Mr Lambert. Je la rassurais sur ce point, jamais il ne l’a quitterait. Je recevais les confidences de l’une et de l’autre et je savais qu’elle n’avait rien à craindre. C’était un homme bon et généreux. Tout ce qu’il désirait à présent, c’était de ne pas finir sa vie tout seul, abandonné. Et, de plus, c’était bien après que nous soyons retournés lui et moi rendre visite à Carole. Je l’ai assisté tandis qu’il faisait l’amour avec elle, comme il le faisait avec ma mère.

Mais parfois, c’était plus violent, plus sauvage, et Carole adorait ça, surtout quand il lui tirait les cheveux en la baisant. Je profitais de moments de répit pour lécher et caresser sa voluptueuse poitrine, et pour me faire lécher moi aussi. Il faut dire qu’elle était très douée. Depuis la première fois que j’étais venue la voir, elle avait énormément progressé. Mais là où j’ai été surprise, c’est lorsqu’elle a demandé à son amant de lui prendre son cul. Je le connaissais bien maintenant et j’ai vu immédiatement à son sourire qu’il n’attendait que cela. On avait déjà joué avec son petit trou, qui ne l’était plus vraiment, petit. Hihihi.

Mr Lambert s’est donc placé derrière elle. Ses bras positionnés sur le lit, la tête cachée dans le creux, elle attendait impatiemment la saillie. Car c’était bien de cela qu’il s’agissait. C’était bestial mais terriblement émouvant, tant elle le voulait en elle. J’étais face à elle tout le temps de la pénétration et je peux vous jurer qu’elle adore ça, de faire défoncer le cul. D’ailleurs, lors de nos visites suivantes, il finissait toujours par éjaculer dans son fondement. Il était épuisé après cette cavalcade et je profitais de moments de tendresse entre ses seins merveilleux pendant qu’il se reposait. Plus tard, sur le chemin du retour, il me demandait très souvent de ne pas en parler à ma mère, sans doute ne comprendrait-elle pas son attitude.

Moi, j’avais compris qu’il avait parfois des envies de se défouler et qu’il n’osait pas avec ma mère. Comme certains hommes vont voir des professionnelles pour assouvir leurs envies, lui il allait voir sa maitresse. Ou plutôt son amante occasionnelle. Car Maîtresse, elle ne l’était pas du tout. Je dirais même que c’était plus une soumise dans l’âme. Ça, je l’ai appris par moi-même en osant téléphoner un soir à Dominique. Je ne l’avais aperçue qu’une fois, dans l’escalier de l’immeuble, et elle m’avait priée de la rappeler. J’avais réfléchi aux risques que je prenais en allant chez elle, seule et sans rien dire à personne. Tout ce que je savais d’elle, c’était qu’elle était belle et sophistiquée, comme la maman de Chloé ou celle d’Alysson.

Elle ne fut nullement surprise par mon appel, pensant même que je mettrais plus de temps avant de me décider à le faire. Elle me rassura immédiatement en me disant qu’on serait seules, toutes les deux. Elle voulait juste parler, apprendre à me connaître et elle m’avoua qu’elle désirait surtout savoir comment j’étais arrivée à soumettre sa voisine. C’est donc en rentrant du lycée que je passais chez elle. Elle habitait deux étages au-dessus de l’appartement de Carole. Elle m’invita à la suivre dans son salon, très classe, tout comme elle et elle m’offrit un rafraîchissement ou, si je préférais, un thé comme elle. C’est le thé que je choisis et cela sembla beaucoup lui plaire. J’ignore pourquoi.

Elle est revenue très vite avec deux tasses sur un plateau, accompagnées d’une soucoupe remplie de gâteaux secs. Elle se présenta, elle travaillait elle aussi dans le même magasin que Carole mais c’était elle qui supervisait les achats. Carole était donc sous ses ordres, en quelque sorte. Sachant cela, j’hésitais maintenant à lui expliquer comment je l’avais rencontrée. Il a fallu qu’elle m’assure que son employée ne risquait aucun désagrément pour que je lui confie les circonstances de notre première rencontre. Pour la seconde, elle en avait eu un aperçu quand j’avais quitté l’appartement de Carole. Dominique insista pour avoir plus de détails sur l’anatomie de Carole. En plaisantant, je lui proposais de venir la revoir ensemble. Elle ne plaisantait pas du tout en me répondant.

« Je n’en attendais pas moins de ta part »

Je me sentais prise à mon propre piège. Elle s’avança vers moi pour poser un chaste baiser sur mon front. Puis sur mon nez. Et enfin, sur ma bouche. Je ne desserrais pas les lèvres, elle reprit place dans le canapé. Mais, à peine était-elle adossée à son dossier que je fondais sur elle à mon tour. Je forçais le verrou de ses lèvres pulpeuses qu’elle finit par m’abandonner. Ce fut un baiser tendre et passionné. J’avais même osé poser ma main droite sur sa poitrine. Elle me laissa la peloter à ma guise. Sans résistance de sa part, c’est avec deux mains que je continuais, m’attaquant directement aux boutons de son corsage, qui fut très vite ouvert entièrement, me dévoilant un soutien-gorge fantaisie mauve et banc.

C’est elle-même qui le dégrafa dans son dos et je pus caresser ses seins divins à même la peau. Ma bouche ne tarda pas à prendre le relais de mes doigts. Je léchais, suçais, aspirais ses tétons qui grossissaient à vue d’œil. Elle se pâmait littéralement sous mes caresses buccales mais une seule question me préoccupait. Et je devais en avoir le cœur net. Lentement, très lentement, je quittais sa poitrine pour descendre entre ses cuisses.

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